La radiographie standard est primordiale dans l'analyse de la structure osseuse de la colonne vertébrale, mais elle n'est pas utilisée pour confirmer directement une hernie discale, car les disques intervertébraux, étant radiotransparents, n'y apparaissent pas.
Examen(s) d'imagerie
La radiographie du rachis lombaire peut être normale ou mettre en évidence des signes de discopathie sous la forme d'une perte de la hauteur discale normale. L'IRM et le scanner du rachis lombaire permettent d'identifier la hernie, son coté, son niveau et d'évaluer son volume.
"La hernie discale n'est pas identifiable sur des radiographies. Elle est identifiable sur un scanner, sur une IRM ou alors avec un examen plus ancien : la saccoradiculographie."
Le premier symptôme de la hernie discale est évidemment la douleur dorsale, mais aussi la sensation de faiblesse musculaire. En effet, quand le disque vertébral se fend, les zones aux alentours peuvent subir une inflammation. C'est pour cela que l'on ressent de la douleur.
Examen(s) d'imagerie
Ils sont prescrits en cas de sciatique persistante. Les radiographies permettront d'identifier une discopathie ou une arthrose qui oriente vers l'origine lombaire de la sciatique. Le scanner du rachis lombaire permet une analyse sur la taille du canal lombaire ou peut visualiser une hernie.
Dans 8 % des cas, la hernie discale survient au niveau des vertèbres cervicales (entre la 5e et la 6e, ou entre la 6e et la 7e) et provoque des douleurs dans une épaule et un bras ("névralgie cervico-brachiale").
L'IRM, examen de choix pour explorer une lombalgie
C'est un abus de langage : dans la lombalgie commune, l'IRM est l'examen de choix – le scanner et les « radios » (qui utilisent les rayons X) sont des examens par défaut.
Douleur près ou entre vos omoplates. Douleur qui se propage à l'épaule, au bras et parfois à la main et aux doigts. Douleur au cou, en particulier dans le haut du dos et sur les côtés du cou. Douleur qui augmente lorsque vous vous penchez ou tournez le cou.
Les symptômes peuvent varier d'une personne à l'autre, mais voici quelques signes qui pourraient indiquer un nerf coincé dans le dos : une douleur intense, des picotements, des engourdissements, des faiblesses musculaires ou une sensation de brûlure dans la zone touchée.
Lorsque le disque vertébral est endommagé, une inflammation s'installe dans la zone qui l'entoure. Cette inflammation se traduit par des douleurs, souvent peu intenses. Si ces douleurs sont ignorées, l'inflammation s'aggrave, le disque devient de plus en plus fragile et le risque de hernie discale augmente.
Une hernie discale a tendance à régresser toute seule en quelques semaines. Le disque peut reprendre sa place naturellement. Mais une prise en charge est parfois indispensable pour soulager notamment la douleur et l'inconfort de la personne touchée.
Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l'inflammation à l'aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
La première mesure pour soulager une hernie discale consiste à prendre du repos. Pour mettre fin à la douleur, un traitement à base d'analgésiques, d'anti inflammatoires et relaxants musculaires peut être prescrit par le médecin. Lorsque la douleur est insoutenable, le médecin peut injecter les médicaments antidouleur.
Une hernie inguinale se manifeste fréquemment par une gêne, une pesanteur ou une grosseur en bas de l'abdomen. En l'absence d'intervention chirurgicale, la hernie peut "s'étrangler" au niveau de l'orifice et être responsable d'une occlusion intestinale : c'est alors une urgence chirurgicale.
Comment traiter une hernie discale ? En première intention, le traitement repose sur la prise de médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires ainsi que le suivi de conseils de posture, accompagnés ou non de physiothérapie. Dans les cas les plus tenaces, une infiltration de corticoïdes peut être proposée.
Comment éliminer cette compression du nerf sciatique ? Si la pression exercée sur le nerf sciatique est due à une hernie discale, il faut savoir que 60% de cette pathologie peut se résorber d'elle-même sans aucune intervention.
Un professionnel de la santé qualifié, comme un médecin, un chiropraticien ou un physiothérapeute, peut aider à débloquer un nerf coincé. Le traitement dépendra de la cause sous-jacente du blocage du nerf et peut inclure des exercices, des manipulations, des médicaments ou d'autres interventions médicales.
Les étirements et le yoga doux peuvent soulager la tension et la pression sur le nerf. Il est important de ne pas trop forcer pour ne pas aggraver les symptômes. Les personnes dont le nerf pincé se trouve au niveau du dos peuvent soulever leurs jambes pour diminuer la pression de la colonne vertébrale.
L'afflux sanguin est essentiel pour favoriser la cicatrisation du disque vertébral. D'autre part, l'action Champ de Fleurs permet de détendre les muscles et les nerfs. Cette détente permet aux muscles de mieux supporter le poids du corps et de soulager la charge supportée par le disque intervertébral hernié.
Une protrusion discale, c'est-à-dire qu'il déborde uniformément sur toute sa circonférence (comme une roue de voiture dégonflée). Une hernie discale, l'annulus se fissure et le noyau s'exclut du disque. Un pincement discal, le disque est écrasé et met en contact 2 vertèbres.
60 à 80% des personnes ressentiront des maux de dos dans leur vie, et il est probable qu'ils soient causés par une hernie discale. Une hernie discale peut se développer n'importe où le long de la colonne vertébrale, mais elle survient le plus souvent dans le bas du dos.
La lombalgie est une douleur qui touche la région comprise entre le bord inférieur des côtes et les fesses. Elle peut être de courte durée (aiguë), de durée moyenne (subaiguë) ou de longue durée (chronique). N'importe qui peut en souffrir.
Elle permet également de visualiser des anomalies qui n'apportent pas d'informations utiles en début de prise en charge, telles que les troubles dégénératifs ou le rétrécissement de l'espace intervertébral (discopathie). Par contre, elle ne permet pas d'exclure une atteinte tumorale, infectieuse 1 ou traumatique.
Vous souffrez d'un mal de dos inflammatoire ou infectieux si vos douleurs apparaissent progressivement et restent diffuses. Elles ne s'estompent pas au repos, voire vous réveillent la nuit. Le mal de dos inflammatoire peut être dû à des affections inflammatoires des articulations vertébrales.