Chez environ 10 % des personnes la crise dure plus de 2 jours. Une sensation de fatigue et des difficultés de concentration, font suite à l'épisode de migraine. La fréquence des crises de migraine est variable d'une personne à l'autre, de quelques-unes par an à plusieurs par mois.
Les maux de tête persistants ou répétitifs peuvent être dus à certains de nos comportements (prise excessive de médicament, manque de sommeil, alimentation…).
Un trouble anxieux ou dépressif peut aggraver la maladie migraineuse et la rendre plus résistante au traitement. L'abus d'antalgiques en vente libre, en parallèle à un traitement de fond, peut non seulement entraîner une céphalée chronique, mais le rendre inefficace.
Les migraines peuvent être déclenchées par un manque de sommeil, des changements de temps, la faim, une stimulation excessive des sens, le stress ou d'autres facteurs. Elles peuvent être aggravées par l'activité physique, la lumière, les sons ou les odeurs.
Les mots utilisés pour décrire la céphalée vasculaire de Horton frappent l'imaginaire. Ce mal de tête, qui peut durer jusqu'à trois heures, est si douloureux qu'on le surnomme tristement « la migraine du suicide » en raison des personnes qui se sont enlevé la vie, incapables de vivre avec cette souffrance.
Des céphalées inhabituelles chez une personne migraineuse
En cas de céphalée inhabituelle (par son intensité, sa localisation ou son début brutal) et si les traitements en cas de crise n'ont aucun effet, mieux vaut aller aux Urgences. Il pourrait s'agir d'un anévrisme, d'une thrombose ou d'une phlébite cérébrale.
On parle de céphalée chronique lorsque les maux de tête apparaissent plus de 15 jours par mois. Les causes des céphalées de tension sont encore assez mal connues, mais le stress et les tensions au niveau des cervicales semblent représenter des causes possibles de l'apparition de ce type de mal de tête.
Les symptômes des migraines sont des douleurs lancinantes du côté droit ou gauche de la tête, parfois pendant des heures, voire des jours. La douleur suit les battements du cœur. Elle est souvent associée à d'autres symptômes : intolérance à la lumière, au bruit et aux odeurs, nausées, vomissements, etc.
Les migraines intenses qui se répètent souvent deviennent un facteur de stress. L'anxiété et la dépression sont souvent associées à la migraine. Le patient migraineux est en effet plus vulnérable aux troubles anxieux et dépressifs, sachant que lorsque ces troubles sont présents ils favorisent la survenue des crises.
Moins courante, la migraine est une céphalée primitive qui survient par crises dont la fréquence est très variable d'une personne à l'autre. Les différences entre la migraine et le mal de tête résident principalement dans l'intensité, la localisation et la fréquence de la douleur.
Les traitements non spécifiques utilisés en cas de crise légère à modérée reposent sur la prise d'antalgiques de niveau 1 : paracétamol, aspirine seule ou associée à un antinauséeux, AINS. Les AINS recommandés dans la migraine sont le l'ibuprofène, le kétoprofène et la naproxène.
Le manque de sommeil ou à l'inverse l'excès de sommeil, grasse matinée ou sieste, déclenche une crise, qui paradoxalement peut céder avec le sommeil. Une relaxation soudaine peut aussi entraîner une migraine, le week-end ou en vacances par exemple.
La migraine se caractérise par des crises répétées se manifestant essentiellement par de pénibles maux de tête (céphalées). Cette maladie neurologique touche 15 % de la population mondiale.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Un grave mal de tête qui commence soudainement (en l'espace d'une seconde ou deux) peut signifier un autre trouble tel qu'un accident vasculaire cérébral. De nouveaux symptômes tels que la fièvre, la faiblesse, la perte de vision, la vision double ou la confusion sont parmi les symptômes les plus préoccupants.
L'avis d'un neurologue est nécessaire si, malgré la prise en charge, des problèmes d'adaptation thérapeutique persistent : les crises sont mal soulagées ou se reproduisent souvent (plus de deux fois par semaine) malgré les traitements prescrits, lorsque la consommation de médicaments augmente ou lorsque les médicaments ...
La douleur migraineuse
La douleur est modérée ou intense et toujours pulsatile . Sa survenue peut être précédée d'une phase d'irritabilité ou de fatigue. La douleur se manifeste généralement d'un seul côté de la tête, au niveau d'une tempe ou au-dessus d'un œil.
On appelle névralgie d'Arnold une douleur d'origine nerveuse, provoquée par la compression du nerf d'Arnold (ou nerf grand occipital). Chargé d'innerver les muscles profonds du cou, ce nerf joue deux grands rôles : un rôle moteur (mobilité du cou) et un rôle sensitif (il nous permet de sentir notre cuir chevelu).
Les céphalées de tension sont, en général, des céphalées d'intensité légère à modérée, décrites comme une sensation d'étau autour de la tête. Le stress, les troubles du sommeil, la douleur cervicale ou mandibulaire ou la tension oculaire peuvent déclencher ces céphalées.
Les céphalées primaires qui incluent les migraines, les céphalées de tension et l'algie vasculaire de la face ; Les céphalées dites secondaires, dans ce cas les maux de tête sont le résultat d'une pathologie qui peut être bénigne comme une infection virale ou plus grave comme une hypertension artérielle.
La Vésicule biliaire, qui fait partie des Entrailles, entretient une étroite relation Yin Yang avec son Organe correspondant, le Foie (voir Cinq Éléments). C'est ce qui explique que le ressentiment provoque les maux de tête.