Le poisson représente le principal risque d'empoisonnement pour les humains, et manger trop de sushis risquerait donc de provoquer des maux de tête et des étourdissements mais aussi des retards de développement, des lésions cérébrales ou encore des défaillances d'organes.
«Les sushis renferment du poisson riche en oméga-3, un bon gras qui contribue à la santé cardiovasculaire, ainsi que des algues, riches en protéines, en minéraux et en vitamines», affirme la nutritionniste Marise Charron.
Privilégiez la diversité plutôt que la quantité
Lorsque l'on commande des sushis pour un repas complet, il faut compter entre 12 et 16 morceaux par personne.
En moyenne, il faut compter environ 50 kcal pour un sushi soit 300 kcal pour 6 sushis. Mais attention car le plus souvent, les restaurants japonais en vogue proposent des menus à volonté et une assiette est composée de 24 sushis soit 1200 kcal par plat.
Comment les déguster ? Contrairement à la croyance commune, les sushi se mangent avec les doigts, et non avec les baguettes. Ces dernières sont alors réservées aux sashimi (刺身), ces morceaux de poisson cru dépourvus de riz, et à la manipulation des accompagnements comme le gingembre et le wasabi (山 葵).
La faible quantité de calories étant l'atout minceur principal du régime japonais. Une portion de sushi classique contient environ 300 kcal quand une assiette occidentale bien garnie peut compter jusqu'à 500 kcal de plus. C'est bien connu : manger doucement, ça fait mincir.
Il n'est pas conseillé de manger japonais plus de deux à trois fois par semaine, selon le docteur Frédéric Saldmann. Manger japonais est-ce bon pour la santé ? Le restaurant japonais que l'on trouve en France est bien et pas bien.
Les japonaises sont culturellement conditionnées pour être minces. Traditionnellement, elles mangent peu de viande, presque pas de produits laitiers ni d'aliments gras. Les produits de la mer, le riz et les légumes sont les bases de leur alimentation et ceci explique en partie leur fine silhouette.
Mangez des sushis, c'est bon pour la santé !
Et c'est un parfait compromis pour les personnes allergiques au gluten. Aussi riche en protéine que la viande, le poisson apporte de nombreux nutriments essentiels au corps humain comme le potassium, le sélénium, le phosphore, le fer, le zinc …
Le poisson cru est un aliment fragile, son altération peut provoquer des intoxications alimentaires telles que l'anisakidose. Il s'agit d'une infection due à l'ingestion de poisson cru contenant des larves d'anisakis.
Alors pourquoi les sushis sont-ils chers ? Pour obtenir des sushis de qualité, il faut des ingrédients de qualité et des chefs hautement qualifiés. Le prix des importations et la préparation de chaque plat de sushi représentent la majeure partie des revenus des restaurants de sushi.
6 sushis saumon (riz vinaigré + saumon cru) = 240 Kcal (à raison d'environ 42 Kcal par sushi) 1 sushi calamar (riz vinaigré + calamar) = 1 sushi surimi (riz vinaigré + surimi) = 1 sushi crevette (riz vinaigré + crevette) = 40 Kcal. 6 makis concombre (algue + riz vinaigré + concombre) = 85 Kcal.
Quand on fait attention à sa ligne, il est recommandé de privilégier les sushis à base de poissons maigres comme la daurade ou de crevettes. Les sushis contenant du poisson gras comme le saumon peuvent tout de même être consommés pour leur teneur intéressante en oméga-3, mais en plus petite quantité.
En effet, contrairement à ce qu'imaginent beaucoup de visiteurs, un « bon » sushi se mange « chaud » ! c'est à dire, à température de la langue. Dans un restaurant digne de ce nom, le riz tout juste cuit est façonné de la main et directement placé face au client.
Le fait d'être suffisamment aéré, permet de ne pas avoir l'impression de mâcher une boule de mastic de riz. Un chef de sushi a d'ailleurs dit que la boule de riz d'un bon sushi, tenue par des baguettes, doit pouvoir se désintégrer toute seule en 10 secondes…
Et parce que nous sommes tous des débutants, il vaut mieux miser sur les makis les plus simples à réaliser : les nigiris! Autrement dit, des bouchées japonaises à base de riz vinaigré et de lamelles de poisson cru.
Selon la farce, les california sont plus ou moins riches. Les plus simples, tels que les california rolls au thon ou au saumon, apportent environ 280 kcal pour un plateau de six pièces. Plus élaborés, certains se composent d'avocat, de mayonnaise ou encore de fromage. Ceux-ci approchent les 300 calories par plateau.
La première manière de manger du riz est nature Hakumai, servi dans un bol en accompagnement d'un plat. Il se nomme alors Gohan, comme le repas. Les règles d'usage veulent que le riz soit mangé petit à petit en même temps que les autres plats et surtout sans ajouter de sauce soja.
Europe : la France, plus grand consommateur de sushis.
Les tarifs commencent à environ 100 yen pour un sushi et peuvent monter à 500/600 yen pour les meilleures pièces. Il est aussi possible de manger des menus à 1500/2000 yen avec plusieurs pièces de sushi ou maki.
"Il faut compter entre 11 et 13 euros par menu pour consommer ce plat", remarque Bernard Boutboul. "En moyenne, un consommateur va y dépenser 11,50 euros, c'est deux fois plus qu'en restauration rapide". Autre écueil : les doutes sur la sécurité alimentaire.
congeler les produits préalablement à leur consommation 7 jours dans un congélateur domestique (3 étoiles ***), ce qui est considéré comme suffisant pour tuer des larves de parasites.
C'est le cas du hareng, maquereau, lotte, flétan et gadidés (lieu, morue, églefin, lingue bleue, merlan, merlu ...). L'homme, par la consommation de poissons ou de céphalopodes parasités, est un hôte accidentel de ces parasites.
Par précaution, il vaut mieux les congeler avant de les consommer cru, au minimum 24h à -20°C. En procédant ainsi, on tue en principe les parasites (y compris les œufs) – attention, ce n'est pas garanti à 100% mais cela réduit considérablement les risques d'attraper une parasitose.