Car la conquête des mers et de l'espace sont étroitement liées. Ces projets ont au moins prouvé qu'une autre vie était possible. Même si on reste loin des grands complexes sous-marins, l'idée d'habiter sous les flots est envisageable. À condition de faire quelques concessions dans un premier temps bien sûr.
Les humains sont des mammifères. Leurs poumons captent de l'oxygène (appelé plus justement dioxygène) quand il est sous sa forme gazeuse. Mais les humains ne peuvent pas utiliser ce même dioxygène quand il est dissout dans l'eau.
La pêche dans les grands fonds détruit les organismes qui reposent dans les profondeurs et qui sont souvent des organismes qui vivent sur de très grands pas de temps. Donc si l'on passe au chalut au même endroit régulièrement, on va détruire sur le long terme.
Des poissons, pieuvres, calamars, anguilles, dauphins et baleines naviguent dans les eaux libres, tandis que crabes, homards, étoiles de mer, huîtres et escargots rampent au fond de l'océan. Des créatures telles que les méduses voguent au gré du vent et des courants.
limiter la pêche, prévenir les marées noires, protéger la faune et la flore, créer des aires marines protégées.
Le réchauffement de la température des eaux, l'acidification du milieu, la désoxygénation, et l'élévation du niveau de la mer, combinés aux impacts de la surpêche, de la pollution, et de la destruction des habitats, aboutissent à une érosion de la biodiversité marine, menacée avant même d'être même totalement ...
Elle cite notamment “la pêche illégale et non durable, le trafic maritime, la pollution sonore, l'exploitation minière des fonds marins, la pollution plastique et chimique” mais aussi “l'acidification et le réchauffement des eaux”.
Qui vit dans les fonds marins? Il existe deux types d'organismes des fonds marins : Les organismes benthiques sont ceux qui passent la majeure partie de leur vie sur le plancher océanique. Certains organismes benthiques, comme les homards et les crabes, peuvent se déplacer librement sur le plancher océanique.
L'Océan a été traditionnellement subdivisé en trois grands ensembles (Atlantique, Indien et Pacifique), séparés par des limites de continents, mais aussi distingués par leurs caractéristiques structurelles, composition et circulation de l'eau.
A ce jour, la fosse des Mariannes qui se trouve dans le Pacifique Nord-ouest est la fosse océanique la plus profonde et l'endroit le plus profond de la croûte terrestre : en 2014, la profondeur maximale retenue est de 10 984 m ± 25 m.
Les conditions de vie dans les profondeurs de l'océan sont extrêmes : pas de lumière, peu de nourriture, une température glaciale et une pression écrasante ! Elles n'empêchent pas la vie de s'y développer : on y trouve des poissons, des bactéries, des méduses, des invertébrés, des requins.
Le pétrole
On estime à six millions de tonnes par an la quantité d'hydrocarbures introduite dans les océans par l'activité humaine, ce qui constitue une cause fondamentale de la pollution des océans.
Seulement 5 % des océans de la planète ont été explorés à ce jour. Si les explorations à la surface des océans sont pratiquées depuis de longues années, celles des fonds marins ne furent possibles que récemment.
De tous les océans, l'Atlantique est le plus salé et possède le courant le plus fort du Gulf Stream. Il a donc longtemps réussi à rester le plus propre grâce à son autonettoyage. Quelle est la situation aujourd'hui, les scientifiques ont du mal à le dire sans équivoque.
Des mers plus salées que les oécans
Autre critère à prendre en compte, les mers sont beaucoup plus salées que l'océan à cause d'une plus forte évaporation. À titre d'exemple, la salinité de l'océan tourne en moyenne autour de 35 grammes/litre. En mer Rouge, cela monte à 41 g/l. C'est 275 g/l pour la mer Morte !
Le record de la plongée la plus profonde est détenu par l'américain Victor Vescovo qui a atteint 10 927 mètres lors de son exploration en 2019. Le submersible chinois quant à lui, a atteint la profondeur de 10 909 mètres.
Le vaquita (Phocoena sinus) vit uniquement dans les eaux chaudes de la mer de Cortez, à l'abri dans le golf de Californie. Ce petit marsouin, réputé timide et insaisissable, mesure environ 1.50 m et pèse en moyenne 48 kg. On l'observe le plus souvent en couple nageant étroitement avec son ou sa partenaire.
Et c'est à cause de cela que l'on n'a pas encore vraiment visité ces profondeurs. Si l'on descendait ne serait-ce qu'à -3 000 mètres, sans un entraînement très perfectionné et un équipement adéquat, les effets de la pression seraient tels que notre corps ne pourrait le supporter (par exemple : notre tête exploserait).
Les océans sont également de véritables « pompes à carbone » : ils absorbent environ 30 % des émissions mondiales de CO2, ce qui les rend indispensables à la lutte contre les changements climatiques.
Fondée en 1977 par le capitaine Paul Watson, SEA SHEPHERD est l'ONG de défense des océans la plus combative au monde.
La haute mer couvre 64 % du globe, recèle une grande partie de la biodiversité mondiale - entre un et dix millions d'espèces y vivraient - et renferme d'immenses richesses énergétiques, minières et biologiques. Elle est aujourd'hui l'objet de grandes convoitises.
En cause : le trafic maritime, le forage des sols, les parcs éoliens, les opérations militaires… On pensait au départ que seuls les cétacés étaient affectés, mais toute la chaîne alimentaire est touchée.
Les facteurs de risque de l'eau comprennent le stress hydrique (lorsque la demande locale en eau dépasse la disponibilité d'eau douce dans la région), la sécheresse, les précipitations insuffisantes, les inondations et la pollution.