L'homme, ne peut vivre isolé et solitaire. Il a besoin d'une coopération continue et d'une aide mutuelle. Par exemple, un homme vivant seul dans le désert mourra éventuellement de faim. Seul, il ne peut jamais se procurer tout ce qui est nécessaire à son existence.
En bref, le fait de vivre seul est un facteur de risque d'accident cardiovasculaire mortel, car il augmente les risques d'isolement social. Or l'isolement social est responsable du stress chronique, qui accentue les risques d'accidents cardiovasculaires.
L'homme ne peut exister sans les autres, mais la coexistence a souvent pour effet l'exploitation des uns par les autres. C'est le constat de Marx et de Rousseau.
L'homme seul est l'homme qui doit se faire à la solitude pour parvenir jusqu'à autre chose qu'elle. Une fusion sans confusion. La solitude native est souffrance que l'essentiel soit incommunicable. La solitude réalisée est joie que l'essentiel se rende communicable.
On a besoin des autres pour se sentir exister : on peut exister en soi mais peut-être surtout par rapport au monde qui nous entoure.
Si autrui est bon, ne cherche pas à me nuire mais a être utile, nous pouvons considérer qu'il est nécessaire à notre vie pour d'autres raisons que des dépendance physiques ou sociales, qui sont considérées comme naturelles. Autrui est nécessaire à ma vie car il est peut-être l'un des éléments du bonheur.
Toute fois, notre bonheur n'est pas nécessairement dépendant de l'autre. Dans le quotidien d'un Homme, le rapport à autrui occupe une part considérable. Effectivement, l'homme semble nécessiteux de la reconnaissance d'autrui pour parvenir au bonheur, ainsi que le regard d'autrui permet de mieux se connaître.
Mais la peur du regard d'autrui est une sorte de bouclier protecteur qui sert à se protéger soi-même. Cela-dit, si l'on craint autrui, on craint l'humanité puisque autrui est humain. Donc on craint, en quelque sorte, l'espèce à laquelle on appartient.
Être seul peut être mauvais pour notre santé
Trop de temps seul est mauvais pour notre santé physique. Des études ont montré que l'isolement social et la solitude peuvent augmenter la probabilité de mortalité jusqu'à 30%.
Parmi les autres raisons évoquées, le chercheur a également noté le fait d'être en surpoids, l'indisponibilité des femmes, le fait d'être trop difficile, la dépression, des troubles de l'anxiété ou de santé mentale, des problèmes sexuels, la peur d'être en couple ou encore le fait d'être obsédé par une femme avec qui ...
En effet, vivre seul(e) booste la confiance en soi. Car lorsqu'on est avec quelqu'un et qu'un problème (qui nous semble insurmontable) se dresse face à nous, on a tendance à se reposer sur l'autre personne, sans chercher de solution par soi-même. Lorsque l'on vit en solo, nous n'avons pas vraiment le choix.
Le bonheur est une fin légitime en tant que but ultime de l'existence. Tout d'abord, il est légitime de rechercher son bonheur, car le bonheur est avant tout le but ultime de la vie humaine. En effet, la recherche du bonheur constitue le moteur de notre survie. Chaque individu veut vivre dans le but d'être heureux.
1. On peut prendre en charge le bonheur d'autrui. Pour être heureux, il faut être épargné par les injustices les plus scandaleuses comme, par exemple, ne pas pouvoir être soigné ou éduqué. Le bonheur d'autrui requiert donc l'institution d'une société capable de surmonter ces injustices.
En philosophie, l'absolu est ce qui existe par soi-même, sans dépendance. Ce qui est absolu n'a besoin d'aucune condition et d'aucune relation pour être. L'absolu ne dépend d'aucune autre chose.
« L'enfer c'est les autres » est une citation de Jean-Paul Sartre dans sa pièce de théâtre Huis Clos. Pour commencer, il est intéressant de constater que Sartre disait toujours que cette citation avait été mal comprise. On a cru que Sartre voulait dire que les relations avec autrui étaient toujours infernales.
Lorsque autrui enfreint une loi, qu'elle soit politique, sociale, morale, il devient une menace pour les autres et pour lui-même. Il peut ainsi nuire à la société dans son intégralité car il remet en cause la liberté de chacun, elle-même dépendant du respect de la loi par soi et par tous.
C'est le pouvoir d'exercer sa puissance de penser. Tous les individus en sont capables et en ont le droit. Il est obligatoire que dans une vie ils philosophent plus d'une fois. Nous ne pouvons pas vivre sans philosopher, aussi bien du point de vue éthique ou de la personne, que du point de vue social et politique.
Rousseau avait tort : les hommes sont naturellement violents. Mais contrairement aux apparences, ils sont aussi de plus en plus civilisés ! Rousseau avait tort, l'homme est naturellement méchant. C'est ainsi que s'ouvre un article récent de Nature (1) portant sur l'étude des comportements violents chez l'homme.
En effet, les hommes qui vivent avec une femme ont tendance à avoir un esprit beaucoup plus libéral. Cela est directement proportionnel au nombre de filles qu'ils ont, c'est-à-dire que plus il y a de femmes dans un même foyer, plus un homme développe une idéologie libérale.