La culture n'a aucune incidence sur la vie de l'homme, il peut vivre sans.
Un homme sans culture, c'est comme un zèbre sans rayures. L'homme sans culture est un arbre sans fruit. Le monde de l'homme est le monde de la culture et celle-ci s'oppose à la nature avec la même rigueur, quel que soit le niveau des civilisations considérées. La culture est l'âme de la démocratie.
Une société ne peut exister sans culture puisque la culture est une accumulation de normes, de comportements et de pratiques qui déterminent le fonctionnement de la société dans la vie quotidienne. Un certain nombre d'institutions sociales sont impliquées dans la société. Il s’agit notamment des institutions familiales, éducatives, religieuses et politiques.
Encore une fois, sans culture, les gens se révéleraient être des animaux, se déplaçant et faisant des choses basées sur l'instinct humain, qui transcende biologiquement . En termes simples, une culture unique peut avoir la capacité absolue de créer une société avec des traditions, des coutumes et des valeurs différentes.
On peut admettre que l'homme, d'un point de vue biologique, peut vivre sans penser. Comme l'animal, l'homme a des besoins physiologiques qu'il doit satisfaire s'il veut se maintenir en vie.
(Introduction). La question qui nous est posée semble avoir une premiere réponse positive à partir des faits eux-mêmes. Tout ceux qui vivent ne philosophent pas et ceux qui philosophent ne le font pas continuellement. Dès lors philosopher ne peut être considéré comme une condition nécessaire de notre vie.
Il est pratiquement impossible de ne penser à rien. Et pour cause ! L'activité cérébrale d'un être humain vivant ne cesse jamais. En revanche, les images mentales n'accèdent pas toutes à la conscience et cette dernière peut être partiellement contrôlée par la méditation ou l'hypnose.
Élément vital d'une société dynamique, la culture s'exprime dans la manière de raconter nos histoires, de fêter, de nous rappeler le passé, de nous divertir et d'imaginer l'avenir. Notre expression créative nous aide à nous définir et à voir le monde au travers des yeux des autres.
Se cultiver sert avant tout à dépasser ce que vous croyiez être vos limites professionnelles. C'est également ouvrir une porte sur un avenir professionnel prometteur, prendre confiance en soi et en les autres. En vous cultivant, vous élargissez votre champ de vision. La seule limite à votre ambition, c'est vous-même !
La perte de pratiques culturelles peut entraîner une réduction de la cohésion sociale et des problèmes de santé mentale à l'échelle de la société, car la culture d'un individu est étroitement liée à son sentiment d'identité et d'appartenance à une communauté.
inculte adj. Qui n'est pas cultivé.
Précisément parce qu'elle ne sert à rien, et qu'elle constitue l'expression d'une pensée pure, non calculante, en lutte avec la matière. Il faut donc distinguer l'utilité (qui concerne les objets d'usage), et la fonction, la finalité : l'art tend vers quelque chose, il est ek-statique.
La culture n'a aucune incidence sur la vie de l'homme, il peut vivre sans. L'homme devrait vivre à l'état de nature, en dehors de tout repère culturel. L'homme n'apprend pas de la culture, donc il doit s'en éloigner.
CULTURE - En favorisant l'éveil aux richesses que chaque milieu et que chaque individu possède, la culture "établit un trait d'union entre les autres et soi-même" ; elle permet de communiquer, elle est rencontre de l'autre.
Une peuple sans culture est un peuple sans âme», disait l'écrivain Nigérian, Anthony Biakolo. Cette assertion cadre bien avec les motivations des organisateurs de la première «Journée Mondiale de la Culture Africaine & Afro descendante » (JMCA) prévue le 24 janvier 2018 à Bamako (Mali).
Se cultiver est une chose, savoir la démontrer et savoir quoi faire de cette culture en est une autre. "La corrélation entre la culture et l'intelligence est évidente, mais des personnes peuvent être cultivées sans pour autant faire preuve d'intelligence", témoigne Liliane Roudière, journaliste.
Mais pour qui désire s'épanouir, la culture est essentielle : elle représente notre ouverture à l'univers qui nous entoure, à ses multiples richesses, à ses innombrables détails. Se cultiver, c'est se confronter au monde, aux diverses subjectivités qui constituent une société.
Prendre la parole en public, rencontrer de nouvelles personnes, partir seul à l'inconnu, se lancer dans de nouvelles activités… Toutes ces choses permettent de se cultiver (et développent la confiance en soi).
La culture peut ainsi exercer une influence favorable dans des domaines tels que la rénovation urbaine, la cohésion sociale, la prévention pénale, la santé ou la lutte contre la pollution. La société joue un rôle essentiel dans le développement de la créativité.
La culture est un patrimoine informationnel constitué des savoirs, savoir-faire, règles, normes propres à une société […]. La culture s'apprend, se réapprend, se retransmet, se reproduit de génération en génération. Elle n'est pas inscrite dans les gènes, mais au contraire dans l'esprit-cerveau des êtres humains.
En effet l'être humain nait, comme le pense ARISTOTE dans l'Ethique à Nicomaque, avec des dispositions que son existence va permettre de développer pour devenir un être culturel. La culture est alors le moyen permettant le développement de nos facultés jusqu'à leur accomplissement.
Mais le cerveau ne cesse jamais de « penser » dans un sens plus large . La plupart des pensées se produisent en fait en arrière-plan sans que nous en soyons conscients, et "il n'y a pas vraiment de moyen de désactiver ces choses", a déclaré Halassa à Live Science.
Il est donc impossible de ne penser à rien. Cela est dû à une caractéristique de la conscience découverte par le philosophe Allemand Edmund Husserl et qu'il nomme intentionnalité. L'intentionnalité désigne le caractère qu'a la conscience d'être toujours conscience de quelque chose.
La réponse est en fait très simple. If we stopped thinking all the time, we would actually start LIVING . Life is not past, it's not future, it's just combination of all the tiny present moments in our life. Thinking about the past and worrying about the future is the core of humanity's problem.