C'est le pouvoir d'exercer sa puissance de penser. Tous les individus en sont capables et en ont le droit. Il est obligatoire que dans une vie ils philosophent plus d'une fois. Nous ne pouvons pas vivre sans philosopher, aussi bien du point de vue éthique ou de la personne, que du point de vue social et politique.
Il faut philosopher, c'est-à-dire penser pour penser, pour agir et pour exister, pour assumer une existence authentique, consciente d'elle-même, de ses valeurs, de ses fins et de sa raison d'être.
Pourquoi des philosophes ? Comme nous allons le montrer, la philosophie constitue le cadre dans lequel l'homme peut comprendre le monde et agir sur sa propre vie. Elle fournit les outils par lesquels il peut découvrir la vérité et utiliser son esprit pour améliorer sa vie.
1« L'homme ne peut se passer de philosophie, dit avec raison Jaspers. Aussi est-elle présente, partout et toujours... La seule question qui se pose est de savoir si elle est consciente ou non, bonne ou mauvaise, confuse ou claire » [1] JASPERS, Introduction à la philosophie, trad.
Elle est inutile en tant qu'elle ne propose aucun choix pratique, aucune option particulière en dehors d'elle-même. Elle ne donne pas un sens particulier, elle est une certaine orientation de la pensée. Par conséquent, la philosophie n'est pas tout. Elle ne permet pas de vivre, encore moins de survivre.
Le but premier de la philosophie est de contribuer à la conversation démocratique nourrissant les grands débats de notre société, comme celui sur la laïcité.
Quand le philosophe n'est pas, comme le dit F. Nietzsche, un être servile professant un enseignement officiel, il est réduit à constater que son utilité sociale est très réduite voire vaine.
C'est en ce sens que la philosophie est éminemment utile : elle nous apprend à utiliser tous les savoirs dont nous pouvons par ailleurs disposer, et qui seraient, sans cela, des connaissances qui ne nous apprendraient rien.
Il faut donc démontrer en tout premier lieu que tous les hommes sont « philosophes », en définissant les limites et les caractères de cette « philosophie spontanée », propre à « tout le monde », c'est-à-dire de la philosophie qui est contenue : 1.
Certes, si tout le monde peut philosopher, tout discours et toute activité de la pensée n'est pas de la philosophie. Il y a par exemple des discours d'opinion. Mais, à l'usage, le danger n'est pas si grand pour la philosophie qui, de toute façon, sait très bien reconnaître l'opinion et la comprendre.
La philosophie n'est pas une théorie mais une activité. Une œuvre philosophique se compose essentiellement d'éclaircissements.
“Philosopher n'est qu'une façon de raisonner la mélancolie.” “L'amour sans philosopher C'est comme le café Très vite passé.” “Quand on chérit le plaisir, il ne faut pas philosopher pour le diminuer.” “Philosopher comme parler et vivre est un engagement et ne peut être que cela.”
Philosopher aujourd'hui, c'est de la philosophie jeune et d'actualité vue à travers les enjeux de la société contemporaine qui rejoignent les préoccupations et les intérêts des cégépiennes et cégépiens.
La tâche de la philosophie sociale s'esquisse d'emblée : assurer l'ajustement réciproque entre les mœurs et les institutions, restaurer les croyances et les pratiques qui renforceront le fonctionnement des institutions démocratiques.
« Philosopher », c'est travailler à élever l'âme vers le ciel des Idées ; or, elle est enchaînée à la réalité de la matière, en particulier à celle du corps humain.
L'introduction, essentiellement, est une invitation.
Donc voici quelques pistes pour cerner ce qu'est la philosophie et ce à quoi elle peut bien servir, enfin surtout permettre d'aller plus loin : Voici certaines des questions auxquelles les philosophes tentent d'apporter des réponses : Qu'est-ce que le Réel ?
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Si elle est obligatoire c'est qu'il y a une raison. Au fond, elle nous apprend à réfléchir, elle remet en question les sentiments, et elle développe l'esprit de critique ; il semble qu'elle nous apprend à réfléchir, c'est prétentieux de la part de la matière et c'est faux car on réfléchissait avant.
L'homme est appréhendé comme subjectivité pensante, il a la capacité de se saisir réflexivement, de s'écarter de lui-même pour s'appréhender comme un de ses objets, introduisant ainsi en philosophie, le thème de la conscience.
En général, on distingue un système philosophique, avec ses sciences particulières, et le philosopher lui-même.
La conclusion d'une dissertation de philo sert à résumer votre devoir et à donner votre réponse définitive à la problématique. Vous avez exposé un problème en introduction et avez étudié ce problème dans le développement. En conclusion, vous devez lui apporter une solution.
La philosophie est un mot d'origine grec qui signifie "amour de la sagesse". Elle étudie des problèmes fondamentaux liés à l'existence, à la connaissance, à la vérité, aux valeurs morales et esthétiques, à l'esprit et au langage humain.
En passant par le thème du syndicalisme, du travail, de la pédagogie ou encore du féminisme, la philosophie apparaît comme la pierre angulaire nécessaire pour passer à l'action et penser les finalités de nos actes.
« La philosophie joue un rôle central dans l'éducation. »
L'étude de cette matière devrait permettre aux élèves d'avoir des discussions approfondies sur des idées, encourager l'ouverture d'esprit et développer des compétences de communication et de pensée », a-t-elle déclaré.
La philosophie a encore un mérite plus grand, une valeur plus haute. Non seulement elle fait respirer l'air de la liberté intellectuelle et morale mais elle a encore l'avantage d'élargir les intérêts du Moi à une dimension telle que ceux-ci perdent toute consistance.