En limitant leurs mouvements, les passagers produisent très peu de chaleur corporelle, à l'inverse des membres de l'équipage qui se déplacent régulièrement et ne souffrent généralement pas du froid ressenti par les passagers (qui militent souvent pour l'augmentation de la température intérieure !).
Température de la cabine
La température à bord est maintenue entre 23 et 25 °C.
Pour être à l'aise durant ton voyage en avion, opte pour un haut dans une matière naturelle et confortable qui ne te fera pas transpirer : coton, soie, cachemire, laine, suffisamment long ou rentré dans ton pantalon.
Une étude réalisée par ASTM International et relayée par Metro UK explique que la climatisation permet d'empêcher les passagers d'être victime d'hypoxie et de tomber dans les pommes. Explications. L'hypoxie est un manque d'apport en oxygène au niveau des tissus de l'organisme, ce qui provoque un évanouissement.
Lorsque l'on s'apprête à voyager en avion, on prend souvent un pull pour le trajet, en prévision. L'habitacle de ce dernier est toujours climatisé, très fraîchement. Ainsi, pour éviter de tomber malade, on se couvre, surtout lorsque l'on rentre d'une destination estivale.
Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol. Il y a des feux de navigation situés aux extrémités des ailes.
Si vous voulez ressentir le moins possible les mouvements et les turbulences de l'avion, la meilleure place sera au milieu de l'appareil au niveau des ailes. Cependant, cette place est la plus exposée en cas d'accident puisqu'elle se trouve au niveau des réservoirs.
La turbulence, c'est un mouvement, un remous de l'air. Lorsqu'elle se produit à de très hautes altitudes, elle est souvent due à un phénomène météorologique qui créé des différentiels de pression. Le flux de l'air est modifié et l'avion, qui suit ce dernier, peut, dès lors, connaître quelques perturbations.
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
En conséquence, choisissez plutôt des chaussures confortables comme des sneakers ou des baskets. L'important étant qu'elles soient à votre taille et pas trop ajustées. Si vous partez pour un vol long-courrier, vous pourrez les remplacer par des chaussettes épaisses que vous aurez pris le soin d'emmener avec vous.
Les vêtements à éviter quand on fait un long trajet en avion. Parmi les fausses bonnes idées courantes : les shorts, débardeurs et autres vêtements courts. Même si on est confortable dedans, je déconseille pour une raison simple : vous risquez d'avoir froid.
«Le contenu des valises sera peut-être froid, mais pas gelé. Les liquides dans les valises ne risquent pas de devenir solides. La température ne descendra pas à - 50 degrés, comme à l'extérieur.»
Dans notre parc aérien, la température en soute varie. Dans un Boeing 767, il fait toujours plus de 7 °C dans la soute à bagages, mais la soute à vrac (où sont logés les animaux) peut être chauffée à plus de 18 °C. Des casiers à température contrôlée sont aussi prévus pour l'envoi de marchandises thermosensibles.
La soute de l'avion est-elle climatisée ? La soute des avions utilisées pour le transport des animaux est généralement climatisée, la température moyenne de la soute est alors de 20 °C.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Le décollage et l'atterrissage d'un avion peuvent causer un véritable stress et de la tension. Il peut alors être judicieux d'opter pour un vol sans escale, si vous avez le choix (et le budget) pour cela.
Les turbulences ne sont pas signes de danger. Elles ne peuvent pas provoquer de crash à elles seules, l'avion ayant été conçu pour résister aux plus fortes. Il faut donc intégrer le fait que l'avion résiste aux turbulences pour ta sécurité mais il ne peut pas pour autant t'offrir un confort douillet en tous temps.
Une étude de l'American College of Chest Physicians publiée le 7 février dans la revue Chest, montre que les passagers qui voyagent côté hublot lors d'un vol de plus de six heures, ont plus de risques de développer des caillots de sang dans les jambes selon le site 121doc.net.
Concernant les anxiolytiques, vous pouvez rendre visite à votre médecin traitant avant le vol afin de lui exposer votre problème. S'il juge cela opportun, il pourra vous prescrire des médicaments (de type alprazolam, Lexomil...).
Essayez-vous à la relaxation
Apprendre quelques exercices de relaxation peut vous aider à surmonter votre peur de l'avion et notamment lors du décollage et de l'atterrissage – deux moments critiques pour les phobiques de l'avion. Avant de voler, apprenez des exercices de respiration.
Ils signalent de jour comme de nuit l'intention de décoller ou d'atterrir. Ils sont généralement éteints en vol de croisière. Ils peuvent être utilisés sporadiquement pour vérifier les conditions atmosphériques : si l'avion est dans la couche, celle-ci est éclairée, alors qu'en ciel clair, les phares n'éclairent rien.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.