Une technique militaire pour s'endormir en 2 min
Déposez vos épaules le plus loin possible, suivies des parties supérieures et inférieures de vos bras, un côté à la fois. Expirez, détendez votre poitrine, puis vos jambes, en partant des cuisses vers le bas.
La vie dans les tranchées se résumait à de longues périodes d'ennui ponctuées de brefs moments de terreur. La menace de la mort obligeait les soldats à être constamment sur le qui-vive alors que les conditions de vie difficiles et le manque de sommeil minaient leur santé et leur endurance.
Une cache est un lieu de vie temporaire utilisée dans le secteur militaire afin de dissimuler des unités mobiles, des appareils de transmission, des armes… On retrouve parfois ce genre d'habitat sous le nom de cabane dans le scoutisme, mais en ce cas le nom, la forme et l'usage diffèrent.
Les conditions de vie des « poilus » dans cet univers sont excessivement dures : outre le froid, les rats, les poux, les odeurs pestilentielles et l'absence d'hygiène, l'ennemi le plus redoutable des combattants est la pluie, qui transforme les tranchées en fondrières malgré les caillebotis qui en garnissent le fond.
Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées, parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux. Les intempéries et la promiscuité favorisent la prolifération des rats et des poux.
Fossé permettant au combat la circulation et le tir à couvert. (En cas de guerre de position, les tranchées sont équipées de postes d'observation et de commandement, d'abris et de boyaux les reliant à l'arrière ; elles deviennent alors de véritables positions fortifiées.)
Un homme se tenait sur la surface et creusait la tranchée. Cette méthode était la plus efficace car plusieurs hommes pouvaient creuser simultanément. Cependant, les soldats étaient complètement exposés aux tirs ennemis, cette méthode était donc utilisée la nuit ou à l'arrière du front.
Corvées quotidiennes
Pendant qu'il faisait jour, ils effectuaient tous les travaux sous terre et à l'abri des fusils des tireurs d'élite. Entre les corvées, il y avait souvent du temps pour des loisirs. Les soldats lisaient, rédigeaient leur journal intime, écrivaient des lettres ou jouaient à des jeux de hasard.
Avec la Grande Guerre, l'artillerie inflige jusqu'à 70 %-80 % des blessures. Les éclats d'obus broient les membres, éventrent les corps, détruisent les visages. En cas d'impact direct, ils peuvent pulvériser un combattant, dont il ne reste finalement plus rien.
Les souffrances psychologiques: Les poilus vivent dans la peur de mourir. Ils voient leurs compagnons mourir sous leurs yeux, dans des combats toujours plus violents. Beaucoup sont traumatisés à vie par toutes les horreurs subies.
La guerre est partout, et la France part au front pour défendre son pays et ses alliés. Qui part en premier? Les forces opérationnelles immédiatement mobilisables, c'est-à-dire 77.000 femmes et hommes de l'armée de terre, 34.000 de la marine et 40.000 de l'armée de l'air et de l'espace.
Relâchez vos épaules en les abaissant le plus possible. Détendez chaque bras, en les bougeant de haut en bas, l'un après l'autre. 3. Expirez, détendez les muscles de votre torse, puis de vos jambes, en commençant par les cuisses, les mollets puis les pieds.
« Vous devez vous asseoir sur une chaise, les pieds au sol. Puis, fermez les yeux et relaxez votre cou jusqu'à ce que votre menton [tombe] sur votre poitrine. Ensuite, relaxez tous vos muscles, en commençant par le visage, puis concentrez-vous sur votre respiration lente et régulière.
Le principe de sa méthode est donc d'inspirer doucement par le nez, la bouche fermée, tout en comptant jusqu'à 4 dans sa tête, de retenir sa respiration pendant 7 secondes et d'expirer par la bouche en comptant jusqu'à 8. Le tout à répéter 3 fois pour faciliter l'endormissement.
À la guerre, les tranchées, parfois fortifiées et consolidées par des sacs de sable, des branches et des barbelés, étaient utilisées comme lignes de défense et comme chemins de bataille. Elles ont été particulièrement utilisées lors de la Première Guerre mondiale, que certains dénomment « la guerre des tranchées ».
LONGUEUR: 600 km répartis dans toutes la France. MÉTHODE DE CONSTRUCTION: Selon le manuel de construction britannique, il fallait 6 heures à 450 hommes pour construire une tranchée de 250 mètres.
"les Français" c'est "die Franzosen". Il y'a un mot péjoratif, "die Franzaken", l'équivalent de "schleu" en français pour désigner les allemands. Mais "Franzaken" est plutôt rare, et à ma connaissance le seul mot péjoratif pour désigner les Français.
Le soldat reste en contact à l'arrière par les lettres qu'il envoie et reçoit de sa famille. 5) Les combats sont extrêmes meurtriers. Près de 300 000 soldats sont tombés durant la bataille de Verdun ; près de 400 000 ont été blessés.
Chronologiquement, la Grande Guerre, sur le front Ouest, a connu trois grandes phases : la guerre de mouvement, d'août à octobre 1914. la guerre de position, de novembre 1914 à mars 1918. le retour de la guerre de mouvement pour la confrontation finale, de mars à novembre 1918.
Le déroulement des combats s'est effectué en plusieurs phases successives, alternant des périodes de « guerre de mouvement » et de « guerre de position ». Les soldats, pour faire face à l'afflux de nouvelles armes très meurtrières, se sont enterrés dans des tranchées et y ont combattu dans des conditions effroyables.
« Avoir du poil » c'est avoir du courage
A l'époque, le poil est synonyme de virilité, et par extension, de courage. En résumé, être poilu signifie être courageux. Avant 1914, le terme a d'ailleurs déjà servi à désigner les soldats de Napoléon durant la campagne de 1805.