1La tombe de Jeanne est encore visible aujourd'hui au cimetière communal de Bagneux (Hauts-de-Seine, ancien département de la Seine), même si le nom qu'elle porte est quasi effacé depuis longtemps. Elle est devenue vestige.
Elle est morte en Lorraine et a été enterrée dans la petite église de Pulligny-sur-Madon, près de Nancy. Certes, Jeanne a bel et bien existé. Il y a beaucoup trop de témoignages de l'époque, trop de documents incontestables et incontestés pour remettre en cause l'existence même de la Pucelle.
Ses cendres sont jetées dans la Seine depuis le pont Mathilde. Une plaque commémorative rappelle cet instant, rive droite, à l'entrée de l'actuel pont Boieldieu. Le procès de réhabilitation de Jeanne, à la demande de sa mère et avec l'accord du pape, se tient à l'archevêché de Rouen, vingt-cinq ans après sa mort.
Le 30 mai 1431, Jeanne d'Arc est brûlée vive sur la place du Vieux-Marché à Rouen, à l'âge de 19 ans. Contrairement à son ancien acolyte Gilles de Rais, elle n'aura pas le privilège d'être étranglée avant de monter sur le bûcher et trouvera la mort dans les flammes.
Avec une troupe de soldats royaux, elle contribue à la levée du siège Orléans, puis conduit Charles VII à Reims où il est sacré. Mais l'année suivante, elle est capturée par les Bourguignons qui la livrent aux Anglais. Jugée pour sorcellerie, elle meurt brûlée vive sur la place du marché à Rouen, le 30 mai 1431.
Le 30 mai 1431, Jeanne d'Arc est brûlée vive à Rouen, sur la place du Vieux-Marché, après un procès inique.
Accusée de sorcellerie, de dévergondage, d'orgueil, elle est condamnée à la prison à vie. Mais le 29 mai 1431, jugée hérétique pour avoir repris des habits d'homme, elle est livrée aux Anglais. Le lendemain elle périt sur un bûcher dressé sur la place du Vieux-Marché de Rouen.
En 1431, le roi Charles VII ne fit rien pour libérer Jeanne d'Arc de prison et empêcher qu'elle soit brûlée vive. Dans cet épisode bonus de "Au cœur de l'histoire", Jean des Cars revient sur la mort de cette héroïne de l'histoire de France.
Le roi d'Angleterre, dans l'acte par lequel il remit officiellement Jeanne au jugement de l'Église en janvier 1431, lui reprochait d'avoir enfreint la loi divine en s'habillant en homme et en s'armant, d'avoir trompé le « simple peuple » en faisant croire qu'elle était envoyée par Dieu, enfin d'être suspecte de ...
Malgré un visage aux traits harmonieux, il semblerait qu'elle ne soit pas vraiment jolie. Pendant son épopée, elle s'est sans doute fait couper les cheveux courts en rond, comme les hommes de guerre de son temps. Charles d'Orléans lui ayant offert des vêtements, on sait qu'elle mesure environ 1 m 60.
Et il s'en est fallu de peu pour que Jeanne d'Arc (1412-1431) ne parlât pas français. Son village, Domrémy, était traversé par un ruisseau qui le divisait en deux. Côté ouest, on parlait le dialecte champenois, proche de celui de Paris; côté est, c'était le barrois, un idiome germanisant.
Sa mère s'appelait Isabelle de Vouthon, mais était surnommée « Romée », en référence à un pèlerinage qu'elle aurait fait à Rome. Le véritable nom de Jeanne d'Arc serait donc Johannette de Vouthon ou Johannette Romée.
La Jeanne d'Arc mesure 181,38 m de long, 24 m de large et son tirant d'air est de 52 m . Son déplacement est compris entre 10 575 t et 13 270 t selon qu'il est lège ou à pleine charge. Quatre chaudières multitubulaires de type dissymétrique fournissent le navire en énergie et ses quatre turbines Rateau-Bretagne.
Dans la forteresse de Chinon (Indre-et-Loire), elle annonce au roi Charles VII quatre événements : la libération d'Orléans, son sacre royal à Reims (ce qu'il n'avait pu faire en raison de la présence des troupes anglaises), la libération de Paris et la libération du duc d'Orléans, frère du roi emprisonné par l'ennemi.
Toujours est-il que lorsqu'elle quitte Lagny en mai 1430, elle n'a qu'une seule épée, celle de Franquet d'Arras. Quelques jours plus tard, elle est capturée et jugée lors d'un procès en hérésie qui la conduit au bûcher. Elle meurt le 30 mai 1431, à 19 ans.
Elle y révèle son intelligence, son tempérament, sa foi ardente. Avec la guerre de 1870, elle apparaît en France comme un symbole de résistance et d'unité nationale. Béatifiée en avril 1909, elle est canonisée le 16 mai 1920 par Benoît XV, qui souhaite une réconciliation du Saint-Siège avec la République française.
Estimant avoir été dupée, elle se rétracte et remets ses habits de soldats. Le tribunal la déclare alors relapse, la condamne et la livre aux Anglais. Elle est brûlée vive à Rouen le 30 mai 1431.
Le 28 mai 1105, jour de Pentecôte, la Sainte vierge, resplendissante de clarté, serait descendue de la voûte de l'église tenant à la main un cierge allumé destiné à guérir 144 malades, en versant de la cire dans de l'eau puis en leur donnant l'eau à boire.
Jeanne d'Arc faite prisonnière à Compiègne.
Hormis l'échevin de Bologne, ceux qui ont approché La Pucelle la décrivent ayant des cheveux noirs. Deux indices matériels confirment cette couleur. Nous savons que Jeanne glissa un de ses cheveux dans le cachet de cire de la lettre qu'elle envoya aux habitants de Riom le 9 novembre 1429.
Ce sont les voix de l'archange saint Michel, de sainte Marguerite et sainte Catherine. Ces voix, qui ne cesseront plus, lui annoncent qu'elle a été choisie par Dieu pour sauver le royaume, venir secourir le roi. Telle est sa mission. Très vite l'action de Jeanne se révèle puissamment efficace.
«Hélas, me traite-t-on ainsi horriblement et cruellement qu'il faille que mon corps net et entier qui ne fut jamais corrompu soit aujourd'hui consumé et réduit en cendres», s'exclame Jeanne d'Arc quand elle apprend que ses juges l'ont condamnée à mourir sur le bûcher le 30 mai 1431.
Capturée par les Bourguignons à Compiègne en 1430, elle est vendue aux Anglais par Jean de Luxembourg, comte de Ligny, pour la somme de dix mille livres. Elle sera brûlée vive en 1431 après un procès en hérésie conduit par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et ancien recteur de l'université de Paris.
Le 8 mai 1429, les Anglais lèvent le siège d'Orléans après que Jeanne d'Arc est montée à l'assaut de leurs défenses. C'est le premier succès de celle qui sera plus tard surnommée la Pucelle d'Orléans (pucelle au sens ancien de jeune fille).
Jeanne. J'ai fait faire des filigranes de ces documents : ils attestent qu'une main anonyme a voulu brouiller les pistes." Mais des documents historiques décrivent Jeanne d'Arc comme une femme avec tous ses attributs.