Deux "petits» du Keppra (Ucb 34714 et Ucb 44212) sont en développement dans les laboratoires de Braine-l'Alleud, le principal centre de Recherche et Développement d'UCB Pharma.
Plus rarement : perte de poids, pancréatite, insuffisance hépatique, augmentation des transaminases, insuffisance rénale aiguë, réaction allergique, perte de cheveux, blessure accidentelle, troubles du rythme cardiaque, anomalie de la numération formule sanguine (voir Attention).
Le Keppra® peut entraîner quelques effets indésirables, notamment une somnolence, de la fatigue, des maux de tête, une rhinopharyngite et des sensations vertigineuses.
25,18 euros (60 comprimés à 500 mg). 25,18 euros (60 comprimés à 1000 mg). 53,52 euros (flacon de 300 ml, seringue de 10 ml). 26,97 euros (flacon de 150 ml, seringue de 3 ml).
Il agit sur les concentrations calciques intraneuronales en inhibant partiellement les canaux calciques de type N et en réduisant la libération de calcium des réserves intraneuronales.
Pour les personnes souffrant de crises tonico-cloniques généralisées (avec ou sans autres types de crises), le traitement première intention actuel, le valproate de sodium, présente le meilleur profil par rapport à tous les autres traitements.
Deux modalités de décroissance sont possibles : – un arrêt définitif et complet en 2 à 3 mois ; – un arrêt partiel « prudent » pour lequel 50 % de la dose initiale est maintenue pendant 6 mois à 1 an, puis une reprise de la décroissance est proposée en l'absence de récidive.
KEPPRA est indiqué chez le patient épileptique en association dans le traitement des crises partielles avec ou sans généralisation secondaire chez l'adulte et l'enfant à partir de 4 ans. La solution à diluer de KEPPRA est une alternative pour les patients quand la prise par voie orale est momentanément impossible.
Prenez le nombre de comprimés indiqué par votre médecin. Keppra doit être pris deux fois par jour, une fois le matin et une fois le soir, approximativement à la même heure chaque jour.
L'épilepsie est une affection chronique du cerveau qui touche 50 millions de personnes dans le monde. Elle se caractérise par des crises récurrentes se manifestant par de brefs épisodes de tremblements involontaires touchant une partie du corps (crises partielles) ou l'ensemble du corps (crises généralisées).
En général, il vaut mieux éviter les sports solitaires (randonnée et alpinisme seul, planche à voile, équitation en solo, etc.) et préférer les sports d'équipe, la gymnastique ou l'athlétisme. La pratique du vélo est possible avec un casque, même s'il existe un faible risque d'accident.
Le but des médicaments anti-épileptiques est de prévenir la récidive des crises en bloquant l'hyperexcitabilité neuronale, soit en renforçant l'activité inhibitrice GABAergique, soit en inhibant l'activité excitatrice du système glutamatergique, soit en modifiant la conductance ionique (canaux Na+ ou Ca2+).
Il est démontré que le lorazépam et le midazolam sont plus efficaces que le diazépam ou la phénytoïne en première intention pour le traitement des convulsions. Si les convulsions n'ont pas cessé dans les cinq minutes suivant une dose unique de benzodiazépine, il faut en administrer une deuxième.
· fatigue soudaine, perte d'appétit, abattement, somnolence, gonflement des jambes, malaise général, · vomissements répétés, nausées, douleurs dans le ventre et à l'estomac, coloration jaune de la peau ou des yeux (jaunisse), · réapparition des crises alors que vous suivez correctement votre traitement.
Maux de tête, troubles de la vision, tremblements, somnolence, agitation, fatigue, vertiges, troubles digestifs, augmentation paradoxale de la fréquence des crises d'épilepsie.
Ce médicament est un anxiolytique (tranquillisant) de la famille des benzodiazépines. Il a également des propriétés anticonvulsivantes. Il est utilisé dans le traitement de l'anxiété lorsque celle-ci s'accompagne de troubles gênants (anxiété généralisée, crise d'angoisse...) et dans le cadre d'un sevrage alcoolique.
"Le principe de l'épilepsie, c'est que les crises surviennent sans prévenir, un peu au hasard. Mais on sait que des facteurs favorisent, augmentent le risque d'avoir une crise. Parmi ces facteurs, on trouve au premier rang le stress. Il y a aussi le manque de sommeil, les troubles hormonaux, les substances exogènes.
La chirurgie de l'épilepsie (ou cortectomie) est le seul traitement pour guérir l'épilepsie.
Guérison ou accentuation de l'épilepsie
La majorité des personnes épileptiques ne présentent plus de crises grâce au traitement prescrit, parfois au bout de plusieurs années. Lorsque la cause initiale de l'épilepsie peut être traitée, la maladie guérit.
3. «L'épilepsie est contagieuse» L'épilepsie ne peut pas se transmettre d'une personne à l'autre.
Certaines personnes épileptiques ressentent des symptômes annonciateurs de la crise qui vient : ce phénomène d' « aura » peut se traduire par des hallucinations, de la nervosité ou de l'irritabilité, un sentiment de peur ou des impressions de « déjà-vu ».
Dormez suffisamment et évitez les états de stress physique ou psychique. Évitez une stimulation sensorielle excessive en limitant l'exposition à des lumières excessives émises par les jeux vidéo, les lumières clignotantes ou la télévision, en cas d'épilepsie déclenchée par une hyperstimulation lumineuse (5 % des cas).