Pour un KO rapide, viser les tempes, le foie ou le menton. Les amateurs du travail de sape préfèrent s'acharner sur le nez. moyenne une vingtaine de coups par round. Assénés de plein fouet par des sportifs d'un quintal, ils ont des conséquences redoutables et parfois fatales.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Frappez votre opposant là où ça fait mal.
Donnez un coup de pied dans l'entrejambe, le genou ou le ventre de votre adversaire. Frappez-le avec votre talon. Frappez suffisamment rapidement pour pouvoir garder votre équilibre : votre adversaire pourrait facilement vous faire tomber pendant que vous frappez.
le cou; la poitrine; l'abdomen et les parties génitales extérieures; les quatre membres.
Donnez un coup de tête à votre adversaire.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Rationalisez la position de votre bras et de votre poing.
Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant. Combinez-les. Donnez votre coup de poing en ligne droite, sans détour.
On peut utiliser toutes les parties de notre corps pour frapper : le coude, les genoux, la paume de la main ou son tranchant, notre front également.
On peut alors frapper avec la main ouverte, le genou ou le pied. « Pour mettre hors d'état de nuire un agresseur, il faut frapper en rafale », conseille Franck Ropers. Au minimum, il faut trois impacts, car, sur ces différentes frappes, « il y en a forcément une qui va toucher ».
Le bout des doigts de la main arrive largement en tête ! C'est un médecin allemand nommé Ernst Weber qui l'a montré dès 1834, en mesurant la plus petite distance perçue entre deux points de stimulation sur différentes parties du corps à l'aide d'une sorte de compas. A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm.
Penchez-vous en arrière de sorte à éviter l'attaque. Attrapez la personne par le bras ou saisissez sa chemise lorsqu'il vous attaque ou essaie de vous porter un coup. Amenez votre agresseur à vous et faites-le tomber. Servez-vous de votre jambe pour le faire tomber lorsque vous l'attirez vers vous.
Les points de pressions sont des pressions effectuées sur une petite zone, généralement sensible, pour diminuer la douleur locale, relâcher les tensions et augmenter la souplesse régionale. Ces petites zones sensibles sont parfois ressenties comme des nœuds, nodules rigides.
Donner un coup de poing à la tempe. Restez relâché. Assurez-vous aussi que vos pieds soient là où ils sont censés être. Comme dans la première méthode, si vous êtes droitier, il faut que votre jambe gauche soit face à vous et que votre jambe droite soit en arrière, légèrement pliée.
Le point d'acupression se situe en-dessous du poignet, au début de l'avant-bras, dans le creux en bas de votre pouce, là où se trouvent les deux tendons.
Les yeux, le nez et la gorge
Attaquer votre opposant sur l'une de ces zones lui provoquera une forte douleur, et, dans le meilleur des cas, pourra l'immobiliser afin de vous laisser le temps de quitter les lieux. Doigt dans l'oeil, coup dans le nez ou dans la gorge, autant de techniques à adopter.
Si vous êtes hors de portée de ses attaques, privilégiez les coups de pied au genou, à l'aine ou à l'abdomen. Si vous êtes à mi-distance, visez sa tête et son corps. Si vous êtes suffisamment proche, vous pouvez lui donner un coup de boule, un coup de genou ou un coup de coude.
Quelques exemples : Pour les mains et doigts : frappes contre différents supports ou matériaux : dans l'eau, sur des sacs de riz, gravier, makiwara, punching ball, supports en bois, etc. Pompes sur les poings ou les doigts. Pour les tibias : musculation des mollets, travail avec un sac de frappe de façon progressive.
Dites fermement et d'une voix très forte « stop » ou « arrêtez » en regardant la personne dans les yeux. Cela paraît stupide, mais un changement de niveau de voix et une injonction si ferme peut déstabiliser et surprendre l'agresseur.
Cela inclut les yeux : appuyez vos paumes de mains contre les joues de l'attaquant et enfoncez vos pouces profondément dans ses yeux. Vous pouvez également mettre votre agresseur hors d'état de nuire en frappant son nez, par en dessous, avec la partie inférieure de votre main.
Pectoraux (Haut du corps)
Leurs plus importantes fonctions est de connecter les épaules, les bras et les muscles latéraux en une seule force combinée. Pour la partie haute du corps, les muscles du torse sont, en grande partie, responsables de la puissance des frappes.
Dana White : Francis Ngannou détient le record du monde pour le coup de poing le plus puissant. Ses coups sont l'équivalent d'une puissance de 96 chevaux. C'est comme être percuté par une Ford Escort lancée à pleine vitesse, et c'est beaucoup plus puissant qu'un marteau de foire lancé par dessus la tête.
Le sac de frappe est l'un des meilleurs outils pour augmenter votre puissance de frappe. Selon les conseils de Tyson, travaillez votre vitesse, votre frappe et votre explosivité. Mike n'a jamais "retenu" les coups de poing sur le sac et l'a toujours frappé aussi vite et aussi fort qu'il le pouvait.
Esquiver ou feinter des coups de poing peut provoquer une réaction de votre adversaire. Continuez à le pousser à vous déplacer latéralement et essayez de rester à l'écart de ses coups. Faites-le essayer de vous frapper en évitant ses coups autant que possible. Évitez le corps à corps avec quelqu'un plus fort que vous.