À Paris, le quartier du Gros-Caillou 6 (7e arrondissement) arrive en première position. Les 10% les plus riches y élisant domicile gagnent au minimum 264 490€* par an. Juste derrière, les quartiers Europe 10 (8e arrondissement, 221 200€* annuels) et Gros-Caillou 7 (7e arrondissement, 212 940€* annuels).
Pour l'organisme, le constat est sans appel : “Le VIIème arrondissement de Paris est le cœur de la France riche. Le seuil d'entrée parmi les 10% les plus aisés y est de 133.000 euros annuels après impôts et prestations sociales pour une personne seule.”
Les banlieues résidentielles de Paris, dans l'ouest notamment, concentrent également une grande partie des populations les plus aisées : Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), Saint-Mandé (Val-de-Marne), Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), Maisons-Laffitte (Yvelines), Sèvres (Hauts-de- ...
La majorité des personnes pauvres à Paris vivent dans les arrondissements du nord-est de la capitale, selon un rapport publié mardi 6 décembre 2022. Ils sont 207 000 à vivre avec moins de 940 euros par mois, dans l'une des villes les plus chères de France.
Le 16e arrondissement
Situé sur la rive droite de la Seine, le 16e arrondissement est l'un des plus bourgeois de Paris. Comme les autres 19 arrondissements parisiens, le 16e compte quatre quartiers administratifs à savoir le quartier d'Auteuil, de la Muette, de la Porte-Dauphine et de Chaillot.
Numéro 1 du classement des rues parisiennes les plus onéreuses, l'avenue Montaigne (8e arrondissement) affiche un mètre carré à 21 504 euros.
1. Bernard Arnault (LVMH) Malgré un léger tassement de sa fortune dû à un cours de Bourse plus indécis cette année, le propriétaire du géant du luxe LVMH demeure l'homme le plus riche de France (et d'Europe).
En détrônant Elon Musk, le Français Bernard Arnault est devenu, en décembre 2022, l'homme le plus riche de la planète. Depuis, le PDG du groupe de luxe LVMH a un peu plus creusé l'écart avec le patron de Tesla mais également avec les autres richissimes hommes d'affaires du monde.
Le Vème, VIème, VIIème et le VIIIème, ambiance chic
Bouquiner en terrasse devant un café ou une noisette est un petit plaisir que l'on s'octroie facilement dans ces beaux quartiers. Découvrir une galerie au coin d'une rue et craquer pour une sérigraphie numérotée arrive également tous les jours.
A Paris, vous êtes riche à partir de « 5.790 euros par mois après impôt pour une personne seule » L'Observatoire des inégalités est le seul organisme en France à publier un seuil de richesse.
En effet dès le 19e siècle les riches souhaitent tout logiquement éviter les fumées noires et polluantes issues des usines à charbon. Or il se trouve qu'en France les vents d'ouest sont souvent dominants. Ils poussent les fumées de la ville vers l'est. Ainsi les riches choisissent d'habiter à l'ouest.
1) L'île de la Cité, place Dauphine, 1er arrondissement
L'île de la Cité remporte la palme du quartier le plus cher de la Ville lumière.
Dans l'est de la capitale, les plus aisés côtoient les plus pauvres. Dans les arrondissements de l'est (2e, 10e, 11e, 13e, 18e, 19e et 20e), la part des ménages pauvres varie entre 16 % et 25 % contre seulement 7 % à 14 % dans les arrondissements de l'ouest.
En tête du classement, Bernard Arnault culmine avec ses quelques 157,5 milliards d'euros de fortune. La capitale française abrite 140 des 500 personnes les plus fortunées du pays.
Les bobos aussi sont dans l'entre-soi, mais à l'est. Le Marais a été récupéré, puis les ateliers et logements ouvriers du faubourg Saint-Antoine, de Ménilmontant, Belleville, des quartiers où n'ont longtemps vécu que des gens de milieu modeste.
Haut-lieu de culture, riche en commerces et bien desservi, le 3e arrondissement a l'air de faire l'unanimité parmi ses riverains. Avec une note de 8,25/10, il arrive tout en haut du classement des « meilleurs arrondissements » de la ville.
Sur le podium des villes d'Ile-de-France avec le plus fort taux de pauvreté, deux « championnes » (tristes championnes) se dégagent sans conteste : Grigny dans l'Essonne et Clichy-sous-Bois en Seine-Saint-Denis, avec des taux respectifs de 44 % et 42 %.
Une seule raison, un seul facteur explique cette situation : la pauvreté endémique de la majorité de la population. Dans le département, 35 000 personnes vivent avec moins de 885 euros par mois, d'après les chiffres de l'observatoire.