Les départements les plus touchés par la présence de méduses sont les Bouches-du-Rhône, le Var, la Corse-du-Sud, la Haute-Corse et les Alpes-Maritimes. Si vous craignez la présence de méduses, il vaut mieux pour vous que vous optiez pour la côte atlantique, la Bretagne ou la Normandie cet été.
Avec la hausse des températures, elles se développent le long du littoral, affectionnant particulièrement les bords de plage. Et elles ne se cantonnent plus aux eaux chaudes de la mer Méditerranée, même si elles y font souvent l'actualité.
La température de l'eau augmentant, les précipitations se faisant plus rares et les vents d'est ou sud-est se levant, elles sont portées vers les plages par le courant. La chaîne alimentaire et ses cycles entrent aussi en jeu, puisque les méduses sont des mets appréciés, notamment par les poissons-lunes.
Les méduses vivent dans tous les océans et les mers du monde, de la surface jusqu'au fond, y compris dans les abysses ! Quelques espèces vivent dans les mangroves et les lacs salés, d'autres se sont adaptées aux eaux douces.
France, Italie, Espagne, Australie, Nouvelle Zélande.
Comment les éviter ? Évitez les zones très fréquentées par les méduses en vous renseignant au préalable auprès des sauveteurs-nageurs du poste de secours. Soyez également attentif aux signaux d'avertissements et panneaux d'informations présents sur les plages.
À force de tuer les méduses, elles vont disparaître et leur écosystème sera détruit. Tout être vivant est utile et sert à quelque chose pour la planète.
La solution, c'est de consulter la carte des méduses, qui répertorie la présence de cet animal marin gélatineux et bien souvent translucide aux terribles filaments urticants.
Il n'est pas rare qu'un nageur se noie sous l'effet combiné de la panique et de la douleur. Rincez la plaie avec de l'eau de mer, si possible de l'eau de mer légèrement chauffée (au dessus de 40°C, le venin perd de son efficacité). N'utilisez jamais de l'eau douce, car celle-ci stimulera la libération du venin.
Les méduses prolifèrent aussi bien dans les eaux chaudes que dans les eaux froides. Bien qu'elles préfèrent les profondeurs marines, elles peuvent parfaitement se retrouver au niveau des côtes. Depuis 600 millions d'années, ces créatures ont su s'adapter à tous les biotopes.
Utiliser des vêtements anti-UV ; S'abriter sous un parasol ; Aller à la plage en dehors des heures les plus chaudes de la journée ; Mettre une crème solaire d'indice de protection élevé.
Ces méduses effectuent des migrations verticales la nuit. Et lorsqu'elles sont prises par un vent soufflant de la mer vers la terre alors elles se retrouvent poussées à la côte.
La durée de vie des méduses va généralement de quelques jours à deux mois pour les petites espèces, un à deux ans pour les plus grandes.
Commencez par rincer la partie atteinte avec de l'eau de mer. Si la partie touchée se trouve sur votre visage ou sur votre poitrine, préférez les sérums physiologiques. Après quoi, appliquez du sable sur la plaie afin d'ôter les restes de cellules urticantes de votre peau.
Elle se reconnaît facilement à sa forme de petite cloche rose globuleuse. Elle est couverte de minuscules points rouges: ce sont des cellules urticantes.
Parmi ses principaux prédateurs, on trouve de gros poissons comme le poisson-lune et le thon rouge, certaines anémones de mer, mais leurs plus gros prédateurs restent les tortues marines, comme la tortue caouanne ou la tortue Luth.
La méduse la plus venimeuse. Les Chironex fleckeri ont tué environ 70 personnes pendant les 100 dernières années rien qu'en Australie, en particulier le long des côtes du Queensland, soit en moyenne un mort chaque année.
Même si la méduse est morte depuis longtemps, les cellules urticantes restent actives. Il ne faut donc jamais toucher une méduse, même échouée sur la plage.
Pour se nourrir et se défendre ! Les méduses mangent des petits poissons, des larves de crabes, des crevettes…
Les départements les plus touchés par la présence de méduses sont les Bouches-du-Rhône, le Var, la Corse-du-Sud, la Haute-Corse et les Alpes-Maritimes.
Elles sont partout cet été dans les Bouches-du-Rhône, le Var et les Alpes-Maritimes. S'il n'y a pas de recensement précis, les Sudistes ont constaté la prolifération des méduses. Elles ont envahi les côtes de la Méditerranée, non sans conséquence.
De nombreuses méduses ont été aperçues à Antibes, Nice et jusqu'au Cap-d'Ail. C'est une conséquence de la température de la mer qui est chaude et du vent qui a soufflé ces derniers jours. Sur de nombreuses plages du littoral azuréen les méduses sont là !
Or, cette idée reçue est complètement fausse. L'urine, de même que l'eau douce, facilite la propagation du venin si elle est versée sur la plaie. Elle fait éclater les résidus de tentacule encore présents sur la peau et, de fait, amplifie l'effet de la morsure.
Au Japon, consommer de la méduse est un rituel : 13 tonnes de méduses y sont consommées en moyenne chaque année. La méduse asiatique, dont l'espèce la plus connue est la Rhopilema esculentum, de petite taille et de couleur orangée, est appréciée pour son apport en protéines et sa faible teneur en calories.
En effet, le venin de la méduse est thermolabile : il se se dissout à la chaleur. Le vinaigre constitue aussi une solution, surtout qu'on en trouve assez facilement dans les postes de secours des plages.