Ce médicament est un corticoïde. Il est indiqué en cas de rhinite allergique. Il peut être utilisé en injection locale en dermatologie, en rhumatologie et en ORL.
Dose initiale: 1 à 2 ml. A répéter si nécessaire. Administration par injection intramusculaire profonde dans la fesse. Efficace dans de nombreuses affections dermatologiques, respiratoires et dans le traitement de la bursite aiguë ou chronique.
L'infiltration consiste à injecter un produit anti-inflammatoire à base de corticoïdes directement dans l'articulation. Le produit est injecté au plus près de la région douloureuse et reste à son contact. Les effets bénéfiques sont ressentis rapidement (de quelques heures à quelques jours).
Une infiltration, après un repos de 24-48 h, permet une amélioration des symptômes rapide. Celle-ci survient entre 24-48h et une semaine après l'infiltration. Le résultat n'est cependant pas constant et il est parfois nécessaire de réaliser à nouveau le geste pour obtenir un résultat complet.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement. Plus la dose est élevée, plus le traitement est long et plus le risque d'effets indésirables augmente.
Une injection intramusculaire, c'est un médicament qui est injecté dans le muscle. Des médicaments peuvent aussi être administrés dans la peau (intradermique), juste au-dessous de la peau (sous-cutanée) ou dans la veine (intraveineuse).
Tenez la tige de la seringue comme on le fait une fléchette. Tenez le muscle autour de cette région afin qu'elle soit stable et sécuritaire. Insérez l'aiguille directement à travers la peau à l'angle droit (angle de 90°) dans le muscle. Essayez d'exécuter cette action rapidement.
Dans les heures qui suivent l'infiltration, il arrive parfois que la douleur soit majorée ; aussi, ne forcez pas sur votre articulation. Ces troubles disparaissent spontanément au bout de quelques heures et ne contre-indiquent en aucun cas de nouvelles infiltrations.
Douleur locale augmentée suite à l'infiltration : Il est possible que la douleur soit augmentée dans les heures qui suivent une infiltration et parfois jusqu'à 48 heures. Vous pouvez utiliser des analgésiques tels que Tylenol et/ou Ibuprofène ou un médicament precrit par le médecin pour soulager la douleur.
Description : les corticoïdes induisent fréquemment une prise de poids lorsqu'ils sont pris durant plusieurs semaines ou mois. Cette prise de poids est habituellement modérée, de l'ordre de 1 à 2 kilos.
Injectez le médicament dans le milieu de la cuisse où la couche de graisse est plus épaisse. C'est ce qu'on appelle le muscle antérolatéral de la cuisse. Utilisez la face externe du haut de la cuisse. Évitez la face interne ou l'arrière de la cuisse.
Sur votre abdomen, choisissez une zone au moins à 5 centimètres de votre nombril et vers les côtés. Alternez la zone d'injection entre le côté droit et le côté gauche de votre abdomen. 3. Nettoyez (sans frotter) la zone avec un désinfectant vendu en pharmacie.
Insérer d'un geste franc et rapide à peu près perpendiculairement à la peau tendue par l'autre main. Insérer entièrement l'aiguille (si elle bute sur un os, la retirer un peu et injecter). Aspirer via le piston de la seringue, avant d'injecter.
Dans la littérature, il est admis qu'aucune aspiration ne doit être réalisée avant l'injection du vaccin (5) car la mobilisation (obligatoire) de l'extrémité coupante de l'aiguille augmente la douleur liée au geste, peut entraîner des lésions (hématome) et est inutile en l'absence de gros vaisseaux dans les sites d' ...
On le sait : injecter le produit lentement et à rythme constant permet d'éviter la douleur. Plus précisément, l'administration ne doit pas dépasser la vitesse d'1 millilitre en 10 secondes. Suivre cette règle favorise l'absorption du produit et réduit la douleur.
L'injection intramusculaire est utilisée pour administrer de nombreux médicaments et vaccins. Dans son numéro de juin, Prescrire présente les pratiques à privilégier pour limiter le risque d'effets indésirables de cette injection, parfois graves : lésion d'un nerf périphérique, hématome, abcès, gangrène.
La zone que l'on considère généralement comme la plus adaptée pour pratiquer une injection est la partie antérieure de la fesse droite ou de la fesse gauche.
Pourquoi faire une injection intramusculaire ? L'injection intramusculaire est utilisée, car elle favorise une absorption rapide du médicament. Différentes catégories de médicaments peuvent être injectées par voie intramusculaire, et notamment des vaccins, des antibiotiques ou encore des anti-inflammatoires.
Une aiguille de calibre de 22 à 25 est recommandée pour les injections intramusculaires (IM).
Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
La cortisone induit peu d'interactions médicamenteuses et peut donc être associée à la plupart des autres médicaments.
Certains médicaments ou dispositifs médicaux sont à utiliser avec prudence en cas de traitement par corticoïdes : - les anti-inflammatoires dits « non stéroïdiens » (aspirine, ibuprofène…) ont, comme les corticoïdes, de possibles effets indésirables digestifs.