Placez vos mains, l'une sur l'autre, au milieu du thorax. Vos bras doivent être tendus et les épaules positionnées au-dessus de la poitrine de la victime. Comprimez verticalement le sternum en l'enfonçant de 5 à 6 cm. Appuyez avec l'ensemble de votre corps et pas seulement avec vos bras et vos mains.
Puis-je tuer la victime si je masse un cœur qui bat ? Il a été démontré que le risque de blessure grave du fait de compressions thoraciques aux victimes qui ne sont pas en arrêt cardiaque est négligeable.
Cessez toute activité. Asseyez-vous ou allongez-vous dans la position la plus confortable possible ; Si vous prenez habituellement de la nitroglycérine, prenez une dose normale ; Si vous ressentez des douleurs thoraciques, mâchez et avalez un comprimé pour adultes de 325 mg d'aspirine.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Bras tendus, comprimez verticalement le sternum en l'enfonçant de 5 à 6 cm. Après chaque pression, laissez la poitrine de la victime reprendre sa position initiale afin de permettre au sang de revenir vers le cœur. Maintenez vos mains en position sur le sternum.
Pour cela, il faut contrôler que la poitrine se soulève et se rétracte régulièrement, on peut également mettre son oreille près de la bouche de la victime pour entendre des bruits de respirations. S'il s'avère que la victime respire encore, il n'est pas préconisé de réaliser un massage cardiaque.
Si vous avez aimé bouger sur « Stayin' Alive » des Bee Gees ou « Girls just want to have fun » de Cindy Lauper et que vous avez le sens du rythme, vous allez surement pouvoir réaliser des massages cardiaques facilement.
"Nous n'enseignons plus le bouche-à-bouche pour deux raisons. La première étant que le bouche-à-bouche est un geste qui n'est pas si simple à réaliser. La deuxième raison : on s'est rendu compte que quand on demandait aux gens de faire du bouche-à-bouche, cela était un peu rédhibitoire.
Le sternum est un os plat situé en avant du thorax, sur la ligne médiane du corps, c'est-à-dire au milieu. Il s'articule de chaque côté avec les sept premières côtes ainsi qu'avec les clavicules au niveau desquelles il forme l'articulation sterno-claviculaire.
Quels sont les risques d'un massage cardiaque externe sur une personne inconsciente qui n'est pas en arrêt cardiaque ? Les réponses avec le Dr Jean-Marc Agostinucci, médecin urgentiste à la Croix-Rouge française : "Il n'y a pas de risque à pratiquer le massage cardiaque.
Le bouche à bouche n'apparaît pas comme un élément fondamental dans la réanimation cardio-respiratoire des patients en arrêt cardiaque sans asphyxie. La réalisation de compressions continues semble la méthode la plus efficace, en particulier lorsque le patient est pris en charge par des témoins non formés.
Si la victime est inconsciente et qu'elle ne respire pas, commencez tout de suite la réanimation cardio-respiratoire ou réanimation cardio-pulmonaire, c'est-à-dire le massage cardiaque en alternance avec la respiration artificielle.
Un bon massage cardiaque doit être effectué à une fréquence allant de 100 à 120 compressions par minute. Ce rythme correspond donc à environ 2 compressions par seconde. La réanimation cardio-pulmonaire doit donc être maintenue à ce rythme jusqu'à l'arrivée d'un défibrillateur automatisé externe ou des secours.
– Prenez votre souffle en inspirant sans excès. – Appliquez votre bouche, largement ouverte, autour de celle de la victime en appuyant bien pour éviter les fuites. – Réalisez une première insufflation : soufflez progressivement dans la bouche de la victime et vérifiez que sa poitrine se soulève bien en même temps.
D'autres traitements peuvent être administrés par les équipes d'urgence lors d'infarctus du myocarde : antalgiques (pour lutter contre la douleur), anticoagulants (fluidifiants du sang), anti-arythmiques (pour régulariser les battements du cœur), par exemple.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Appeler le 15, le SAMU, pour prévenir les secours. Commencer immédiatement le massage cardiaque. Si d'autres personnes sont présentes, leur demander de s'informer : un défibrillateur est-il disponible à proximité ? Si oui, aller le chercher aussi vite que possible.
Essoufflement. Pâleur, sueur et faiblesse générale. Nausées, vomissements et parfois indigestion. Peur et anxiété.
sensation de serrement dans le thorax et/ou difficultés à respirer lors d'un effort physique ; douleurs dans la poitrine irradiant vers le bras gauche, le dos, les omoplates ou le maxillaire inférieur ; brusques douleurs dans la partie supérieure de l'abdomen.