Le praticien insère l'implant sous la peau du bras non-dominant (bras gauche si vous êtes droitière et inversement), au-dessus du pli du coude, à l'aide d'une aiguille comme pour un vaccin. La pose d'un implant contraceptif est rapide et ne fait pas mal.
Il s'agit de la face interne du bras avec lequel on n'écrit pas. La pose prend quelques minutes : elle se fait au moyen d'un pistolet d'injection à usage unique, qui va placer l'implant sous le derme.
Déroulement de l'insertion de l'implant contraceptif
La zone d'insertion est désinfectée, anesthésiée, puis grâce à un applicateur, le praticien insère directement sous la peau l'implant contraceptif, au niveau de la face interne du bras (bras gauche pour les gauchers, et inversement).
Quels sont les effets indésirables ? Le principal risque associé à l'implant, rare mais grave, est la migration dans l'artère pulmonaire. Dans de très rares cas, l'implant peut se déplacer dans le bras voire même dans un vaisseau sanguin.
Bien que le sexe puisse être sans danger après une augmentation, vous devez toujours faire attention à ne pas perturber les implants ou l'incision au cours des six premières semaines.
Parmi les effets indésirables de l'implant contraceptif, l'apparition d'une prise de poids est marquée chez certaines femmes . Elle est liée à une modification de l'équilibre hormonal par la présence constante et permanente de la progestérone.
De même, beaucoup d'utilisatrices de pilules ou d'implant ne prennent pas de poids : on estime que la prise de poids concerne 1 femme sur 5. Autrement dit : 80 % ne prennent pas de poids avec leur contraception, ce qui est tout de même beaucoup.
Il peut être utilisé à n'importe quel âge, de l'adolescence à la quarantaine passée et ne nécessite aucune manipulation et aucune précaution. Les femmes utilisant cette contraception doivent s'attendre à des saignements (importants ou très légers) de façon imprévisible ou alors à une absence totale de règles !
Certaines femmes ont des modifications du cycle avec un implant : - Entre 20 et 30 % des utilisatrices d'implant n'ont pas de règles pendant tout ou partie des trois années d'utilisation. C'est le signe que l'implant a supprimé totalement l'ovulation, comme chez une femme qui prend sa pilule sans interruption.
L'implant contraceptif se présente sous la forme d'un petit bâtonnet de la taille d'une allumette, qui une fois implantée sous la peau diffuse du progestatif. Sa durée de vie est de 3 ans et son prix est d'environ 102 €. Il est pris en charge à 65 % par l'Assurance Maladie.
Les contraceptifs hormonaux, comme la pilule ou l'implant, sont connus pour augmenter très légèrement le risque de cancer du sein hormonodépendant.
L'implant protège la patiente de la survenue d'une éventuelle grossesse pendant une période de trois ans. Parmi les effets indésirables mentionnés sur la notice, on trouve notamment : humeur dépressive, instabilité émotionnelle, nervosité, nausées, fatigue... Rapportés pour 1 à 10 % des patientes.
La plupart des fabricants fixe la durée de vie de leurs implants entre 10 ans et 15 ans, mais dans la pratique on s'aperçoit que la durée de vie peut-être bien plus importante. Sans problème particulier, les implants peuvent ainsi normalement rester en place tout au long de la vie du patient.
AURAI-JE MAL ? La plupart des femmes tolèrent très bien la pose d'un stérilet ou d'un implant. Votre médecin pourra vous conseiller de prendre des antidouleurs pour atténuer la gêne. Pour l'implant, une anesthésie locale est réalisée.
Depuis le 1er janvier 2022, la délivrance de la pilule, du stérilet et de l'implant hormonal en pharmacie est gratuite pour les femmes jusqu'à l'âge de 25 ans. Les actes donnant lieu à la pose, au changement ou au retrait d'un contraceptif sont aussi pris en charge.
Agissant dès les 24 premières heures qui suivent sa pose. Néanmoins, il faut savoir qu'aucune méthode contraceptive n'est efficace à 100 %. Selon les dernières données de l'HAS (2013), l'implant contraceptif est efficace à 99,9% (efficacité théorique).
Selon l'étude, s'il n'existe pas de pilule qui ne présente aucun risque, la combinaison d'hormones la plus sûre serait du lévonorgestrel (deuxième génération) combiné à de l'éthinylestradiol dosé à 20µg (c'est par exemple le cas de la pilule Leeloo Gé).
Le stérilet au cuivre ou dispositif intra-utérin (DIU)
Il s'agit du moyen de contraception le plus utilisé au monde. Le stérilet en cuivre est un petit dispositif en cuivre et en plastique sans hormone. Il existe en plusieurs tailles pour s'adapter à la plupart des utérus.
L'anesthésie locale
Dans la plupart des cas, la pose d'implant dentaire est réalisée sous anesthésie locale. Vous ne ressentez donc aucune douleur lors de l'intervention car la zone concernée par la pose d'implant dentaire est totalement insensibilisée.
Implants dentaires : les inconvénients
Les implants dentaires sont plus coûteux que les prothèses dentaires. Ils sont déconseillés aux patients dont les gencives ou les mâchoires sont faibles. Ils sont déconseillés aux personnes qui fument beaucoup.
Lorsque la pose d'un implant dentaire n'est pas possible ou souhaitable, le patient dispose d'autres solutions : Un pont interdentaire, ou « bridge », une prothèse fixe au prix attractif et qui ne requiert aucune opération.
Dans une étude portant sur des individus utilisant l'implant contenant de l'étonogestrel pendant une période pouvant aller jusqu'à deux ans, 14 % ont signalé des sautes d'humeur et 7 % une dépression attribuée à l'implant (12).
Rarement, ils peuvent conduire à des problèmes plus graves. Si l'implant se casse ou se plie dans votre bras, son fonctionnement ne devrait pas être affecté. Une cassure ou une courbure peuvent survenir en raison de pressions extérieures. L'implant cassé peut se déplacer du site d'insertion.
Le premier avantage procuré par les implants dentaires est bien entendu de remplacer la ou les dents manquantes, rétablissant ainsi le sourire. Ils ont donc un rôle esthétique majeur. Les implants assurent également un rôle fonctionnel en rétablissant la mastication, et donc la nutrition.
Pensez qu'une visite chez votre médecin généraliste, votre gynécologue ou votre sage-femme sera également nécessaire pour poser ce contraceptif hormonal, mais également pour le retirer.