Cette proportion se retrouve dans la nature (le cœur des marguerites ou des tournesols, la disposition des pommes de pin ou les coquilles de certains coquillages). À la Renaissance, elle est identifiée dans les proportions du corps humain, notamment dans le célèbre "Homme de Vitruve" de Léonard de Vinci.
On retrouve aussi le nombre d'or et la suite de Fibonacci dans certaines feuilles d'arbre, dans certaines fleurs et plantes, dans les écailles de pomme de pin, ou encore dans les spirales des tournesols, entre autres.
Ce nombre serait également présent dans les œuvres de Léonard de Vinci, Botticelli, Monet, Degas, Cézanne, mais aussi Dali ou Picasso. Ce nombre magique et omniprésent ne serait pas uniquement caché dans les œuvres architecturales ou artistiques. On le retrouverait dans la nature elle-même (l'œuvre de Dieu).
En termes plus précis, on pourrait dire que le rapport de la hauteur totale du corps humain à la hauteur du nombril est égal au nombre d'or ! De plus, on dit que le rapport de la première phalange à la deuxième, ou de la deuxième à la troisième, est égal au nombre d'or.
Mais aussi dans la faune, notamment à travers les coquillages : le nombre d'or s'agence dans les coquilles de l'ammonite et du nautile, sous la forme d'une spirale logarithmique. Phi 1.618 s'est d'ailleurs inspiré de la coquille du nautile pour créer ses sacs Philia et Philae.
“Le nombre d'or est une définition mathématique d'une fonction proportionnelle à laquelle obéit toute la nature, qu'il s'agisse de la coquille d'un mollusque, des feuilles des plantes, des proportions du corps animal, du squelette humain ou des âges de croissance chez l'homme….”
Le mathématicien italien Leonardo Pisano, dit Fibonacci, né en 1175, est parvenu à élaborer une suite, que l'on appelle communément la suite de Fibonacci. Elle repose sur le fait de diviser un terme par le précédent, chaque nouveau résultat s'approchant de plus en plus… du nombre d'or.
Connu depuis la plus haute Antiquité mais de manière empirique, étudié par Pythagore au 6e siècle avant J. -C., le nombre d'or ne sera théorisé par écrit que trois siècles plus tard par le mathématicien grec Euclide.
Ce nombre vaut exactement (1+√5)/2 ≈ 1,618 et se dessine simplement à l'aide d'un compas et d'une règle non graduée. 1. Tracer un triangle rectangle de rapport ½ où la longueur du grand côté vaut deux fois celle du petit côté.
Plus formellement, un nombre parfait n est un entier tel que σ(n) = 2n où σ(n) est la somme des diviseurs positifs de n. Ainsi 6 est un nombre parfait car ses diviseurs entiers sont 1, 2, 3 et 6, et il vérifie bien 2 × 6 = 12 = 1 + 2 + 3 + 6, ou encore 6 = 1 + 2 + 3.
Le nombre d'or est considéré comme une formule universelle de la beauté, il est censé représenter une harmonie divine (c'est pas rien). C'est pourquoi de nombreux artistes, architectes, peintres, designers l'ont utilisé et l'utilisent encore pour la création de leurs œuvres.
Le nombre d'or est une proportion sur laquelle s'appuient différents artistes pour la création de leurs œuvres que ce soit sous forme d'art, de peinture, de photographie, de musique et d'architecture, disciplines dans lesquelles on retrouve la botanique, l'arithmétique et la géométrie.
la façade occidentale de l'édifice, qui s'inscrit dans un rectangle (fioritures et décorations du toit des tours comprises) par sa largeur, on obtient approximativement le nombre d'or.
En ce qui concerne l'argent liquide, si l'on considère les dernières données disponibles, datant de 2020, publiées par la Banque des règlements internationaux, il y a près de 6 700 milliards de billets de banque ou de devises en circulation dans le monde.
Comment fonctionne le nombre d'or ? Pour obtenir le nombre d'or, vous placez une ligne à la verticale qui divise l'image à la verticale en deux parties représentant respectivement 61,8 % et 38,2 % en largeur. Une autre ligne scinde l'image à l'horizontale en suivant les mêmes proportions de 61,8 et 38,2 en hauteur.
Grâce à une proportion égale à x² = x + 1, le nombre d'or dans l'art crée un rapport équilibré dont l'œil humain raffole. Plus précisément, il s'agit d'obtenir un rapport précis entre les différentes parties d'une œuvre, d'une image, d'un objet.
Au Moyen Âge, les bâtisseurs utilisaient une règle particulière appelée la règle des « maîtres de l'œuvre ». Elle était composée de 5 longueurs inégales représentant des dimensions du corps humain (paume, palme, pied, etc.). Le rapport entre chacune de ces dimensions et celle qui la précède est égale au nombre d'or.
Le nombre π intéresse les scientifiques depuis plus de 4 000 ans. Une des plus célèbres approximations de π a été retrouvée dans le papyrus Rhind, publié par le scribe Ahmès (vers 1540 avant J-C) : Il écrivit ainsi : L'aire du cercle de diamètre 9 coudées est celle du carré de côté 8 coudées.
Du Parthénon à Mélenchon: Sa Majesté le nombre d'or [6]
Reprenons la suite de Fibonacci: 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, etc. Si on fait le rapport de deux termes successifs, on obtient: 5/3 = 1,67; 8/5 = 1,6; 13/8 = 1,625; 21/13 = 1,615.
L'or que l'on retrouve dans la croûte terrestre provient des millions d'astéroïdes, eux aussi constitués en partie de métaux lourds, et qui ont bombardé la Terre depuis 3.8 milliards d'années. C'est cet or météorique qui compose aujourd'hui tous nos bijoux, nos pièces et nos lingots.
Le rectangle d'or
Contrairement à Pi qui est un nombre transcendant (solution d'aucune équation polynômiale), le nombre d'or fait partie des nombres constructibles. Avec une règle et un compas, 3 étapes suffisent à matérialiser le nombre d'or.
L'Homme de Vitruve (ou le proporzioni del corpo umano secondo Vitruvio en italien, les proportions du corps humain selon Vitruve) est un célèbre dessin annoté, réalisé vers 1490 à la plume, encre et lavis sur papier, par Léonard de Vinci (1452-1519), d'après une étude de l'important traité d'architecture antique De ...
L'utilisation du nombre d'or a permis de dresser une cartographie du visage humain. Plus les proportions du visage s'approchent du ratio du nombre d'or, 1,618 et plus ils sont parfaits ce qui rend une personne agréable et plaisante à l'œil qui la regarde.
Le nombre d'or est le rapport entre deux dimensions qui rend un objet ou un être vivant agréable et plaisant à l'œil qui le regarde. Ce rapport est de 1 pour 1.618.