« La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres » est un célèbre adage qui signifie, en général, qu'un individu doit pouvoir faire l'exercice de sa liberté sans que celui-ci limite la liberté des autres ou soit nuisible aux autres.
L'incitation à la discrimination, à la haine, à la violence ou à la ségrégation* à l'égard d'autrui, en public, intentionnellement et pour une raison précise.
D'après la citation de John Stuart Mill : « La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres », l'intérêt du collectif prime sur l'intérêt individuel.
Ces limites sont nécessaires car elles permettent d'assurer le bon fonctionnement de la société. Toutes les libertés sont concernées, y compris par exemple la liberté de conscience. Ainsi, dans le cadre de la démocratie française, chacun est autorisé à croire ou non en un Dieu.
L'homme libre, c'est celui qui dispose librement de sa personne et de ses biens. Il faut distinguer différents niveaux pour penser la liberté : Le niveau physique : c'est la liberté comprise comme absence de contrainte physique. Le niveau moral : c'est la liberté comprise dans un contexte politique et social.
La liberté, le plus simplement possible peut-être définie par l'absence de chaînes. Un esclave par exemple est un homme qui n'est pas libre. L'homme libre ne peut être soumis, c'est celui qui fait ce qu'il veut, qui ne souffre d'aucune contrainte.
Pourtant, la liberté est ce qui fait l'homme ; la liberté est considérée par John Locke comme étant l'un des droits fondamentaux de l'homme. Cela signifie que si l'on prive l'homme de sa liberté, alors, il n'est plus vraiment un homme. En effet, nous sommes des êtres doués de raison.
Cette expression est à la fois un précepte et un proverbe : il apprend à restreindre ses libertés en communauté, mais il est aussi utilisé pour mettre en garde contre tout abus de pouvoir. Si tu veux qu'on t'épargne, épargne aussi les autres.
Vous avez le droit à la vie, à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté. Par exemple, vous avez le droit d'être protégé contre les menaces d'agression ainsi que contre les agressions physiques et psychologiques. Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.
Il y a des limites d'ordre juridique qui concernent certaines catégories de personne dans la société nationale : L'âge et la majorité → Les droits politiques ne seront effectifs qu'à la majorité, pour la France, c'est en 1974 qu'on a décidé que la majorité était de 18 ans.
La liberté est le pouvoir qui appartient à l'homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d'autrui; elle a pour principe la nature, pour règle la justice, pour sauvegarde la loi; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te soit fait.
Dès lors, si le libre arbitre est une illusion, la liberté humaine est bien une réalité. La vraie nature liberté humaine consiste à « agir par la seule nécessité de sa nature ». La liberté ne s'oppose plus à la nécessité, mais elle est une forme de déterminisme, un certain type de causalité.
Par ailleurs la liberté semble illusoire parce que nous sommes occupés à chercher ce qui nous est utile et à satisfaire nos désirs, nous avons conscience des fins que nous poursuivons, nous avons l'impression d'être libre, mais c'est une illusion, car nous ignorons en général les causes qui nous déterminent à désirer ...
La liberté absolue n'existe pas. La liberté, toujours relative à l'histoire de chacun, est réponse à un jeu de contraintes. Il existe tout au plus une liberté optimale dans une situation donnée pour un individu donné. Perdre de vue ce fait, c'est s'aventurer en terrain dangereux, car totalement idéaliste.
La liberté est un idéal et aussi le pire des pièges. La liberté de se regrouper peut mener à l'enfermement; celle de proclamer la vérité, à l'exclusion; et celle de dénoncer violemment peut entraîner la répression. La liberté est un instrument dangereux quand elle n'est pas accompagnée par la réflexion.
En effet, de par sa structure et son fonctionnement, tout pouvoir étatique est incompatible avec la liberté et les aspirations de l'individu. Par conséquent, l'Etat à travers ses lois et ses principes contredit l'épanouissement de l'homme.
Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
la liberté de pensée, de conscience et de religion. le droit de vote et d'être candidat à des élections.
Une liberté sans bornes ne peut aboutir qu'à la loi du plus fort. Si la liberté de chacun est sans limite, une personne ne tardera pas, au nom de sa propre liberté, à empiéter sur celle des autres.
Parce que Victor Hugo c'est une valeur sûre. Déjà en 4ème pendant les dissert' de français je sortais une citation d'Hugo c'était la moyenne assurée. « La liberté commence, là où l'ignorance finit » qu'est ce que j'ai pu la caler celle là !
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
Intuitivement, la liberté s'expérimente comme absence de contraintes : on se sent libre quand on ne subit ni contrainte physique, ni interdiction morale, ni pression psychologique. Le sentiment de liberté naît alors du fait que le principe de l'action est en nous et n'est pas déterminé par un principe extérieur.
Celle-ci est indépendante de toute cause extérieure. La volonté peut donner consentement à telle ou telle chose, quand bon lui semble. Elle « est tellement libre de sa nature qu'elle ne peut jamais être contrainte ».
La liberté est une notion clé en philosophie. Elle se définit, négativement, comme l'absence de contrainte; positivement comme l'état de celui qui fait ce qu'il veut.
On peut définir la liberté comme la capacité de faire ses propres choix et d'agir selon ceux-ci. C'est donc la faculté de nous autodéterminer en nous appuyant seulement sur notre libre-arbitre. La liberté semble être, pour l'homme, une évidence.