Le cancer du testicule touche exclusivement les hommes puisqu'il concerne la glande génitale masculine. On distingue principalement deux types de cancer du testicule. Une forme de cancer peut se développer au niveau des cellules reproductrices. Ces tumeurs sont appelées séminomes.
Dans la grande majorité des cas, le patient découvre lui-même la tumeur à l'occasion d'une palpation. Il sent une petite masse dure et indolore localisée dans la glande ou bien une masse qui l'englobe. Le volume de la bourse peut augmenter.
Toute douleur testiculaire brutale, unilatérale, intense, nécessite à une consultation en urgence, car il y a suspicion de torsion. C'est le médecin qui va examiner et décider s'il faut réaliser une échographie ou d'autres examens.
Survie selon le stade
Le cancer du testicule répond souvent bien aux traitements et son issue est très bonne. La survie varie selon le stade du cancer du testicule.
L'orchidectomie est l'opération consistant à retirer un testicule, les glandes sexuelles masculines. Celles-ci servent à procréer et conçoivent les hormones masculines. On peut vivre avec un seul testicule sans problème, et même continuer d'avoir des enfants.
Une ablation des testicules, appelée castration, entraîne chez la plupart des hommes, mais pas tous, une perte partielle ou complète de l'érection.
«Dans 90% des cas de douleur aiguë, il s'agit d'une torsion testiculaire», indique le spécialiste. Suite à un mouvement, un choc ou pour des raisons inconnues, il arrive que le cordon spermatique - contenant notamment les vaisseaux sanguins qui irriguent le testicule - s'entortille.
Peut-on prévenir les cancers du testicule ? Il n'existe pas de moyen de prévenir les cancers du testicule. Mais il est important de palper régulièrement ses testicules à la recherche d'une éventuelle grosseur pour un dépistage le plus précoce possible.
Après un cancer du testicule, l'individu présente un risque accru qu'une tumeur se développe sur l'autre testicule, dit controlatéral... La diminution de taille du testicule, encore appelée atrophie testiculaire, résulte en particulier des oreillons ou d'un traumatisme...
Faites rouler le testicule d'avant en arrière entre le pouce et les doigts. Sentez-vous un durcissement ou des nodules? Attention: Vous pouvez aussi sentir les épididymes, qui peuvent être confondus facilement avec un durcissement.
Le seul facteur de risque connu en lien avec le développement d'un cancer du testicule est la cryptorchidie, c'est-à-dire l'absence de descente spontanée de l'un ou des deux testicules dans leur position normale.
Il faut consulter aux urgences hospitalières, le plus rapidement possible. Pour la torsion d'hydatide : le symptôme principal est une douleur au testicule, cependant moins intense que pour la torsion testiculaire.
Avoir mal à un testicule (ou aux deux) est plus fréquent qu'on ne le pense. Cette douleur ne doit pas être prise à la légère : elle peut être liée à une torsion testiculaire, une urgence nécessitant une prise en charge chirurgicale dans les plus brefs délais.
Le cancer du testicule est le cancer le plus courant chez les hommes âgés de 15 à 35 ans. La plupart des cancers du testicule sont diagnostiqués chez des hommes âgés de 20 à 35 ans.
Comment s'appelle un homme avec un seul testicule ? Un homme qui n'a qu'un seul testicule n'a pas de dénomination. En revanche, on appelle cette anomalie de l'appareil génital masculin : la cryptorchidie (de kryptos « caché » et orkhis « testicule »).
une orchiépididymite : inflammation d'un épididyme (ou épididymite) et inflammation d'un testicule s'accompagnant le plus souvent de fièvre et de brûlures au moment d'uriner.
Quelles sont les raisons pour lesquelles un testicule peut être plus bas que l'autre ? En fonction de leur taille et de la gravité terrestre, il est normal qu'un des deux testicules soit plus bas que l'autre : le testicule gauche est d'ailleurs souvent situé un peu plus bas que le testicule droit.
Tabagisme et sédentarité sont des facteurs de risque dits modifiables. Ainsi arrêter le tabagisme, pratiquer une activité physique régulière et lutter contre le surpoids permet de limiter le risque de pathologies cardiovasculaires, augmenté par les traitements anti-cancéreux, et de second cancer.
En effet, il était considéré qu'étant privé de leurs testicules, les eunuques ne pourraient pas avoir de relations sexuelles avec elles. On sait cependant aujourd'hui que cela est possible pour un eunuque d'avoir une érection 1 et donc un rapport sexuel, tant qu'il n'a pas été privé de son pénis.
Le cancer du testicule est une forme de cancer qui répond bien aux traitements (95 % des hommes en guérissent). Cependant, les traitements, qu'ils soient par chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie, entraînent des risques d'infertilité.
L'ablation du testicule atteint par une intervention chirurgicale (ou orchidectomie) est le traitement initial, quel que soit le type de tumeurs, et y compris en cas de métastase.
L'intervention se déroule par voie inguinale ; le chirurgien effectue une incision de quelques centimètres au niveau de l'aine (voir illustration ci-dessous) pour aller retirer le testicule atteint. L'opération ne dure en général pas plus d'une heure. Dans le même temps, une prothèse testiculaire peut être posée.