On l'appelle
les émotions sont latéralisées à droite; la prise de décision reposerait plutôt sur des régions du lobe frontal droit.
Le système limbique fait figure du centre des émotions et de la mémoire. Le néocortex représente le centre des fonctions cognitives supérieures et concerne ainsi par exemple la stratégie, les raisonnements spatiaux et long terme, la perception, la pensée consciente ou encore le langage.
Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
Dans le cerveau, l'amygdale, notamment son noyau central (en vert) et son noyau latéral (en blanc), sont le siège des réponses comportementales de peur.
Le tronc cérébral est considéré par beaucoup comme la partie la plus importante de l'ensemble du cerveau et du système nerveux. Il est connecté à la colonne vertébrale et effectue l'envoi de messages à toutes les parties du corps.
Le système limbique est un ensemble de noyaux de neurones connectés à la fois au cerveau reptilien et à l'écorce cérébrale, le cortex. Ces neurones réagissent à la colère, tout en ayant un effet notable sur le comportement.
L'hémisphère gauche, lui, serait le siège de la logique et de la rigueur. Il serait plutôt monotâche, ne traitant qu'une seule information à la fois, et nous permettrait de planifier des taches et de se fixer des objectifs.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
A titre indicatif : Les principales sources d'oméga-3 et d'acides gras polyinsaturés sont les poissons gras (le thon, la sardine, le maquereau, le saumon, le hareng) et les huiles de noix et de soja.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
La source du bonheur et du plaisir dans le cerveau
Une autre source du bonheur pour l'être humain qui est liée au plaisir sont les relations sociales et leurs stimulations, comme les caresses, ou les visages familiaux qui activent les zones du cerveau lié au plaisir.
Les causes d'un manque de sérotonine
le stress, qui a tendance à diminuer la quantité de sérotonine produite au sein du cerveau. ou une mauvaise alimentation, donnant lieu à une carence en tryptophane, l'acide aminé dit “précurseur de la sérotonine”, qui est nécessaire à la production de sérotonine.
Son rôle est de stimuler les glandes surrénales, qui à leur tour libèrent le cortisol. Le cortisol a pour but de fournir au cerveau un apport en énergie suffisant pour nous préparer à faire face au stress.
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Le cerveau, ce super outil de stockage
L'hippocampe est une petite région du cerveau ancien (limbique), ayant la forme d'un cheval de mer. L'étude de patients devenus amnésiques après une opération chirurgicale du cerveau a montré que l'hippocampe joue un rôle fondamental dans la formation de nos souvenirs.
Il existe quatre cerveaux décisionnels : le néocortex préfrontal, les territoires reptiliens, le cortex automatique et les territoires paléo-limbiques.
La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas. La peur (Kong) est associée aux Reins.
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Neuroplasticité et dépression
La dépression entraîne au niveau cérébral des changements morphologiques et fonctionnels définissant la neuroplasticité ; ces changements s'opèrent au niveau du cortex préfrontal, de l'hippocampe et de l'amygdale et ont pu être révélés grâce aux progrès de la neuro-imagerie.