Dans l'Yonne, cette production a longtemps été « un appoint » pour les familles, qui en cultivaient quelques rangs dans leur potager pour en vendre une partie à la conserverie Amora-Maille d'Appoigny. Puis elle s'est professionnalisée et le département a compté jusqu'à 35 producteurs.
La filière française s'est reconstruite depuis 2016, du champ au bocal, en Pays-de-la-Loire et Centre-Val-de-Loire. Le saviez-vous ? 80% des cornichons consommés en France viennent d'Inde. Les presque 20% restants viennent d'Europe de l'Est.
Aujourd'hui, 80 % des 60 millions de bocaux de cornichons vendus chaque année en France viennent d'Inde, et 20 % des pays de l'Est. Il reste une toute petite production nationale : 1.424 tonnes de cornichons produits sur 116 hectares en 2016, selon Agreste, le service statistiques du ministère de l'Agriculture.
Les cornichons « Croq'Vert Extra-fins» ne font pas exception. Le sujet avait déjà été révélé par foodwatch en 2017, et la situation n'a pas changé pour Amora : les cornichons proviennent en grande majorité d'Inde.
Le moutardier Edmond Fallot vaut aussi pour la qualité de ses cornichons extra-fins (5,50 € les 340 g) dont le croquant offre une résistance rare. Sans parler de leur goût légèrement acidulé. Avis aux amateurs.
On retrouve ses cornichons, disponibles en version « sachet pratique », XXL aigre doux ou mini à l'estragon, dans les magasins Auchan, Carrefour, Intermarché ou encore Monoprix. Ailleurs, on retrouve Maison Marc, une entreprise familiale qui, bien avant Le Jardin d'Orante, commercialisait des cornichons français.
Il se caractérise notamment par sa teneur intéressante en fibres alimentaires, en bêta-carotène et en vitamine B9. Ces différents composants font du cornichon un aliment de choix pour favoriser le bien-être digestif, lutter contre le stress oxydant et prévenir certaines pathologies chroniques.
Maille, dans un cahier aux armes du roi… Aujourd'hui présente dans soixante-dix pays à travers le monde, la moutarde est intégralement fabriquée à 10 kilomètres de Dijon, à Chevigny- Saint-Sauveur (Côted'Or), la première usine de fabrication condimentaire en Europe.
Maille est une marque de condiments de la société Amora-Maille, filiale du groupe Unilever. Cette marque commerciale identifie des vinaigres, moutardes, mayonnaises, huiles, cornichons, épices, faïences, etc.
Chevigny-Saint-Sauveur, à 9 km de Dijon, deviendra "le plus grand centre européen de fabrication de condiments", selon une porte-parole de la direction qui a ajouté que "la moutarde Amora restera dijonnaise".
La Chine est le 1er producteur mondial de concombres et cornichons, suivie par l'Iran et la Turquie. Chaque seconde, ce sont plus de 1830 kilos de concombres et cornichons qui sont produits dans le monde. Cela représente une récolte de 57,5 millions de tonnes de concombres par an dans le monde.
Le cornichon vient de s'ajouter à la liste des aliments du quotidien qui se font rares dans nos rayons. En cause, la grave sécheresse en Inde, qui concentre 80% de la production. Alors, un industriel français a décidé de relocaliser dans l'Hexagone. Son usine du Loir-et-Cher tourne à plein régime.
L'immense cornichon de Peter Glazebrook qui pèse un peu plus de 54 kg, porté par le bodybuilder Jonathan Walker. La plus grande salade du même éleveur que le cornichon, qui pèse 36,75 kg.
Consommé à travers le monde, il n'est autre qu'un concombre juvénile qui, à force d'être sélectionné, a évolué. La culture du cornichon français débute au 17ème siècle, sous l'impulsion de Louis XIV, avant d'être délocalisée dans les années 1990 en Asie.
Les plus grands producteurs mondiaux
La Chine est le premier producteur mondial avec 72 779,78 millions de kilos, soit 79,75 % de la récolte mondiale de concombres.
Par extension, « malossol » peut désigner en particulier une sorte de gros cornichons (ogourtsi) macérés avec des aromates dans de la saumure. Les malossols sont typiquement présents dans la gastronomie slave et peuvent être préparés à l'aide d'épices, d'ail, d'aneth ou de fenouil.
Le terme « Moutarde de Dijon » n'est pas juridiquement protégé. Si la recette doit utiliser des graines de moutarde brune, du vinaigre, du sel et de l'acide citrique… mais rien n'empêche que cette fameuse moutarde soit fabriquée ailleurs qu'à Dijon et avec des ingrédients dont la provenance peut être très lointaine.
La moutarde de Dijon est une moutarde forte à la renommée internationale. Elle est fabriquée comme autrefois à la meule de pierre par la Moutarderie Fallot à partir de graines de moutarde brune et de vinaigre.
En effet, la « moutarde de Dijon » ne bénéficie pas d'une appellation d'origine protégée (AOP) ou indication géographique protégée (IGP). Il suffit au fabricant de respecter une composition inscrite un cahier des charges pour que, où qu'elle soit produite dans le monde, une moutarde puisse se prétendre « de Dijon ».
Le groupe Unilever acquiert Amora Maille pour 4,7 milliards de francs.
La production de la moutarde et de la mayonnaise restent à Dijon, non plus dans l'usine du centre-ville, mais à Chevigny-Saint-Sauveur, à 10 kilomètres, où nous fabriquons d'ailleurs depuis longtemps une partie de nos volumes de moutarde.
Paris, Saint-Maixent et Besançon sont alors reconnus comme centres de production. Au XVIIIe siècle, une famille dijonnaise (les Naigeon) donne à la moutarde de Dijon ses lettres de noblesse en la confectionnant non pas avec du vinaigre mais avec du verjus (jus de raisin vert). C'est là toute la spécificité du produit.
le cornichon réduit le taux de sucre dans le sang, grâce au vinaigre et serait bénéfique aux personnes qui ont du diabète. Il renferme de la provitamine A (0,8 mg) et du fer (1 mg), comme c'est souvent le cas des aliments bien pourvus en chlorophylle.
Le Bilimbi (Averrhoa bilimbi), appelé arbre à cornichons, est un arbre fruitier tropical originaire d'Asie du sud-est (Indonésie, Malaisie, Philippines, Thaïlande) qui s'est implanté dans les pays tropicaux du reste du monde puisque le fruit est comestible, à savoir la Réunion en 1764, la Jamaïque et la région ...
Le concombre ou cornichon est un légume-fruit de la famille des cucurbitacées qui se plante après les saintes glaces, c'est-à-dire hors de tout risque de gel.