La spécialiste préfère donc transformer la question d'Antoine en : "Où a-t-on le plus de bactéries dans le corps ?" La réponse est bien évidemment sans appel : "C'est dans l'intestin, c'est dans tout ce qu'on appelle le tractus gastro-intestinal.
Nous hébergeons des microorganismes au niveau de la peau (microbiote cutané), dans la bouche (microbiote bucco-dentaire), dans les organes génitaux (microbiote vaginal) et dans l'intestin (microbiote intestinal). Nous concevons aisément d'avoir des bactéries dans des zones de contact avec l'extérieur (peau, bouche).
Saviez-vous que votre nombril est la partie la plus sale du corps ? A cause de sa difficulté d'accès, il reste sale même après la douche, rappelle le site Reader's digest. A moins d'y mettre les doigts pour le nettoyer avec de l'eau chaude et du savon, évitez de toucher à votre nombril.
Bien que la flore normale se situe sur toutes les surfaces exposées à l'environnement (peau, yeux, nez, intestin grêle et côlon), la grande majorité des bactéries se situent principalement dans le gros intestin.
Ces chercheurs estiment que le nombre total de bactéries hébergées par un « homme de référence » (comprendre un être humain âgé de 20 à 30 ans, pesant 70 kg et mesurant 1,70 m) est de 3,9.1013, avec une marge d'erreur de 25%.
La plus grosse est l'ovule dont le diamètre est de l'ordre de 100 micromètres. Et les cellules les plus longues sont les neurones, dont certains peuvent mesurer plus d'un mètre.
Les masses des éléments extracellulaires (environ 24 kg) n'est pas prise en compte. Les globules rouges représentent une écrasante majorité des cellules humaines (84%). Ces cellules sont cependant très légères et ne participent donc que très peu à la masse totale d'un être humain.
Pour tuer des bactéries, notre système immunitaire utilise des « nanomachines » qui peuvent ouvrir des trous mortels dans leurs cibles.
Le diagnostic d'une infection bactérienne se fait surtout de façon clinique, c'est-à-dire par l'examen des symptômes et des signes cliniques. Par exemple, une fièvre élevée avec une gêne respiratoire, une toux, des expectorations purulentes signalent une bronchite aiguë suppurée.
Le vagin se protège seul
En réalité, le vagin est un organe admirablement bien protégé par son microbiote. En effet, y vivent en harmonie de nombreuses bactéries bénéfiques.
A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm. Puis viennent les paumes, le visage, les orteils et enfin la plante des pieds. A l'inverse, les cuisses et les épaules font partie des zones les moins sensibles.
Grand oublié du savonnage sous la douche, le nombril est pourtant un vrai nid à bactéries. Une mauvaise hygiène de cette zone peut ainsi entraîner des mauvaises odeurs voire, dans le pire des cas, une infection. De même, il faut penser à le sécher correctement, car l'humidité est favorable au développement des germes.
Pour lutter contre ces maladies infectieuses, la seule solution efficace est de se laver fréquemment les mains. En utilisant un gel désinfectant, vous éliminez 99,99% des bactéries et protégez votre santé et celle de votre entourage.
Les pathogènes présents dans les systèmes hydriques sont transmis à l'Homme par différentes voies telles que, les voies cutanées et conjonctivales, les voies respiratoires, la voie orale ou bien digestive.
Les virus sont des microbes, c'est-à-dire des “petits êtres vivants”. Ils ne se voient pas à l'œil nu et provoquent des maladies. Les bactéries sont également des microbes mais il ne faut pas les confondre car leur mode d'action est complètement différent.
La bactérie, un staphylocoque blanc dont le nom savant est Staphylococcus epidermidis, est apparentée au staphylocoque doré (Staphylococcus aureus) résistant à l'antibiotique méticilline (le SARM) plus connu et plus mortel. La bactérie S. epidermidis est naturellement présente sur la peau.
Les infections bactériennes peuvent être des otites, angines, infections de la peau (panaris, abcès…), diarrhées, infections urinaires et génitales. La prescription d'antibiotiques peut être nécessaire pour lutter efficacement contre la bactérie impliquée.
La plupart des bactéries peuvent croître sur des surfaces non vivantes comme des comptoirs de cuisine ou des téléphones. Les bactéries ne sont pas toutes nuisibles : plusieurs sont même essentielles à votre santé. Lorsque des bactéries infectieuses contaminent le corps, on peut devenir malade.
Le sang arrive dans le foie afin d'être débarrassé d'un certain nombre de substances toxiques, qui sont neutralisées puis excrétées dans l'urine ou la bile.
Dans ce cas, les bactéries nocives peuvent être combattues par les antibiotiques. Ce sont souvent des molécules synthétiques qui vont détruire ou bloquer la croissance des bactéries. Ils agissent de manière spécifique sur celles-ci, en bloquant la synthèse de la paroi de la cellule ou en inhibant leur métabolisme.
Le rôle des macrophages est d'ingérer et tuer les micro-organismes.
Les seules cellules qui semblent échapper à la sénescence cellulaire et qui peuvent se diviser indéfiniment sont les cellules souches embryonnaires et les cellules cancéreuses, mais ceci reste encore à être prouvé.
Les cellules ont des durées de vie variables. Une cellule de peau a ainsi une durée de vie de 3 à 4 semaines avant d'être renouvelée. Un globule rouge vit lui quelque 120 jours. Une cellule de la rétine ne dépasse pas la dizaine de jours.
Notre corps est constitué de 4 types principaux de tissu, soit épithélial, conjonctif, musculaire et nerveux.