La morve est fabriquée par les membranes muqueuses qui tapissent ton nez et ta gorge. Ton corps a besoin de cette morve. Elle agit comme un piège, empêchant poussière et saleté d'atteindre tes poumons.
L'écoulement dans l'arrière-nez peut être provoqué par diverses affections, notamment la sinusite (une inflammation des sinus), des infections virales comme le rhume, la rhinite (un écoulement nasal qui se produit de façon soudaine ou chronique), des allergies ou des infections bactériennes.
Utiliser un vaporisateur nasal salin doux ou des gouttes trois à quatre fois par jour peut aider à enrayer l'écoulement nasal et faciliter la respiration. La solution saline apaisera les membranes muqueuses à l'intérieur du nez.
On le doit à sa composition : de l'eau, des sels, des lipides et des glycoprotéines. Ces dernières s'agglomèrent pour former une sécrétion nasale épaisse et collante qui fait barrage aux particules. Lorsqu'on est malade, ce rempart est renforcé par la présence d'immunoglobulines et d'enzymes antiseptiques.
[…] À l'état normal, elle [la morve] contient près de 95% d'eau mais aussi du chlorure de sodium, d'où son goût salé, du potassium, des particules inhalées comme la poussière par exemple... Cela crée un mélange, pas forcément bon mais au goût prononcé d'où la curiosité qu'elle suscite. »
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
Si l'écoulement est épais, jaune ou vert, cela signale qu'il contient beaucoup de globules blancs - mais pas forcément une infection aigûe, donc, pas forcément des antibiotiques à prendre. S'il est transparent, c'est seulement du mucus (similaire à de la salive...)
Ne le martyrisez pas, le stress, la fatigue, la nervosité ou l'ennui peuvent être des facteurs déclencheurs. Le nez qui coule, vite je renifle ! Si le reniflement peut apparaître comme un geste peu élégant en société, il peut parfois s'avérer très utile.
La rhinorrhée, qu'est-ce que c'est ? La rhinorrhée, plus communément appelée écoulement nasal ou encore « nez qui coule » est un excès de mucus produit et qui s'écoule par l'avant du nez ou vers la gorge.
L'évacuation des glaires est normale et nécessaire pour nettoyer les bronches. Mais une expectoration excessive peut être le signe d'une maladie des voies respiratoires.
La toux grasse se manifeste par l'expectoration de glaires et crachats qui s'accumulent dans les voies respiratoires. Comme elle intervient souvent dans le cadre d'une infection virale ou bactérienne, la toux peut s'accompagner d'écoulements nasaux et de maux de tête.
Courante en cas d'allergie, la rhinite peut provoquer la sensation de gorge qui gratte et un écoulement nasal dans l'arrière de la gorge, qui va accentuer la toux allergique à l'heure du coucher. Un traitement anti-allergique peut vous être prescrit par un médecin.
Description. L'hémoptysie désigne le fait de cracher du sang ou du mucus teinté de sang en toussant. C'est un signe grave, qui révèle l'existence d'une maladie sévère des voies respiratoires et requière de consulter un médecin au plus vite. Autrement dit, c'est une urgence !
Nez qui coule jaune
Il s'agit d'une inflammation de la muqueuse tapissant la partie interne des sinus, qui donne lieu à un mouchage muco-purulent (mucus jaunâtre). Un mucus jaune révèle donc une évacuation de pus. Cette infection peut être d'origine virale ou bactérienne.
Ces points noirs sont vraisemblablement des résidus de fumée du tabac, des restes de goudrons... Elles sont plus petites car il y en a moins.
Lorsque la muqueuse nasale se gonfle d'un côté, elle se dégonfle de l'autre. On observe une alternance de phases de vasoconstriction et de vasodilatation. Ainsi l'air passe mieux et plus rapidement du côté où la muqueuse est dégonflée. Et la respiration se fait alors plus par l'une des narines que par l'autre.
Symptômes. Classiquement la sinusite se présente sous la forme d'un écoulement nasal aggravatif associé à une douleur d'un ou de plusieurs sinus augmentée par l'effort et la position penchée en avant. Elle s'accompagne plus ou moins de maux de tête, d'une toux, d'éternuements, d'une perte d'odorat et de fatigue.
À la manière d'un filtre, elles piègent aussi les microparticules présentes dans l'air pour protéger nos poumons. En cas d'infection (rhume par exemple), la muqueuse nasale gonfle et la production de mucus (composé à plus de 95% d'eau) augmente pour évacuer un maximum de virus hors de la cavité nasale.
Parmi les symptômes pouvant survenir par la suite, il y a les maux de tête, le nez bouché, les yeux larmoyants, une toux quinteuse, des frissons, des muscles endoloris et des malaises généraux (se sentir malade), qui durent de deux à sept jours. Dans certains cas, ils peuvent durer deux semaines.
À l'état normal, elle contient près de 95% d'eau mais aussi du chlorure de sodium, d'où son goût salé, du potassium, des particules inhalées comme la poussière par exemple... Cela crée un mélange, pas forcément bon mais au goût prononcé d'où la curiosité qu'elle suscite.
Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
"Les expectorations sont simplement le reflet du mucus qui contient plus ou moins des débris cellulaires. Et l'expectoration grise est une expectoration presque normale, elle est souvent blanche. C'est la couleur du mucus" rassure-t-il.
La congestion de la poitrine est causée par un excès de liquides (mucus et mucosités) qui s'accumulent dans les poumons lorsque les muqueuses en ont trop produit. La surproduction de mucus résulte d'une irritation des membranes par des bactéries ou des virus, provoquant une inflammation.
Il faut veiller à ne pas se moucher trop fort, et de préférence une narine après l'autre. En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.