Les plus riches d'entre eux vivent dans le quartier "Parc de Neuilly" (avec au minimum 193.000 euros par an, soit au moins 16.000 euros par mois). Un quartier de Boulogne-Billancourt et un de Rueil-Malmaison, toujours dans les Hauts-de-Seine, complètent le classement.
Plus précisément, c'est dans le 7e arrondissement de Paris que résident les ménages les plus fortunés de France avec un patrimoine moyen de 3,3 millions d'euros.
Dans le bassin parisien, le vent souffle principalement de l'ouest vers l'est. Les quartiers ouest de la ville étaient donc plus épargnés par les émanations des usines et des ateliers, et c'est ce qui a attiré la bourgeoisie au moment du développement de l'industrie.
1 – Bernard Arnault (LVMH)
Une fois diplômé, il entame une carrière d'ingénieur au sein de l'entreprise Ferret-Savinel. Il occupe de nombreux postes stratégiques au sein de l'entreprise. En effet, en 1974, il est nommé directeur de la construction puis directeur général, trois ans plus tard.
Dans le détail, la première place du classement est attribuée assez largement au quartier du “Gros caillou 6”, situé dans le VIIème arrondissement, entre les Invalides et la Tour Eiffel.
Pas seulement du côté de l'île Saint-Louis, de la place des Vosges ou de la rue Saint-Antoine, mais de plus en plus du côté de la rue de Turenne, de la rue de Bretagne, de la rue Vieille-du-Temple... dans toutes les petites rues alentours, les petites surfaces grouillent dans des immeubles rarement pourvus d'ascenseur.
Et, sans surprise, ce sont des quartiers des 7e, 16e, 8e et 6e arrondissements qui surpassent tous les autres en terme de niveau de vie moyen pour ses 10% d'habitants les plus riches.
« Gros caillou », là où se concentrent les plus riches
C'est le cas du quartier dit « Gros caillou » dans le 7ème arrondissement de Paris (entre les Invalides et la tour Eiffel) qui se situe au sommet du sommet du niveau de vie des riches selon les données de l'Insee.
1. La fortune de Françoise Bettencourt Meyers, la femme la plus riche du monde (12e mondiale)
« C'est un quartier très résidentiel, explique Pierre-Philippe Destruel. Il n'y a pas beaucoup d'immeubles de plus de cinq étages et il y a beaucoup d'extérieurs… Les appartements sont baignés de nature. » Ici, le m2 s'affiche à pas moins de 12 000 euros.
Les lieux de vie des plus riches
Et c'est Paris qui accueille le plus de ménages aisés. D'après les données de l'Insee, répertoriées par l'Observatoire des inégalités, les 7e et 8e arrondissements de la capitale ainsi que la ville de Neuilly-sur-Seine hébergent nombre de Français parmi les plus aisés.
Exemple : La banlieue de Paris est constituée des départements d'Île-de-France autres que Paris : l'Essonne, le Val d'Oise, le Val-de-Marne, la Seine-Saint-Denis, les Hauts-de-Seine, les Yvelines et la partie ouest de la Seine-et-Marne.
En première position, l'on retrouve New York. La mégalopole américaine compte pas moins de 106 milliardaires avec une fortune totale évaluée à 638,4 milliards de dollars (591 milliards d'euros au taux du jour).
Enclavée entre les Maréchaux, le périphérique et la porte de Bagnolet, la cité Python-Duvernois, construite dans les années 50, est aujourd'hui le secteur le plus pauvre de la capitale.
Le Raincy et Gournay, les plus riches.
Au Raincy, le revenu moyen est de 38198 €, plus haut niveau du département avec juste un peu moins de foyers imposables (71%). A Coubron, la plus petite commune du 93, on dépasse aussi les 30000 € de revenu moyen (31645 €) avec seulement 26% des ménages qui ne payent pas d'impôts.
L'observatoire des Inégalités a publié ce mois-ci son rapport sur les riches en France qui établit le seuil de richesse à 3.673 euros net par mois après les impôts pour une personne seule.
Outre les sites de rencontre de millionnaires, d'innombrables autres sites niche existent. Spark Networks (amex : LOV - news - people) basé à Beverly Hills, Californie, gère 30 sites de rencontres à thème, y compris JDate.com pour les célibataires juifs, BlackSingles.com et ChristianMingle.com.
En réalité, la grande majorité des milliardaires le sont devenus soit par héritage, soit par copinage, en se faisant élire ou nommer à des postes clefs et très juteux, parce qu'eux ou leur famille fréquentaient des gens "haut placés" et déjà très riches.
Le Parisien pas si bourgeois ? Le terme «bobo », qui est une contraction du néologisme « bourgeois-bohème », forgé dans les années 2000, véhicule de nombreuses représentations sociales : le “bobo” est fréquemment associé à « l'élite”, souvent diplômée, et à un mode de vie citadin jeune et branché.