La seule solution d'après les scientifiques : changer complètement de mode de transports, d'alimentation, de production. En gros, l'un des plus grands changements de l'histoire de l'Humanité.
5 solutions pour lutter contre le réchauffement climatique :
Privilégier les transports moins polluants. Manger moins de viande, plus de légumes et consommer local. Réduire ses déchets. Lutter contre la pollution numérique.
Le WWF y participe activement en prenant part aux négociations internationales sur le climat, en encourageant la décarbonation de l'économie et en soutenant l'adaptation aux changements climatiques.
Réduire à zéro les émissions de CO2 des navires d'ici 2050 est crucial dans la lutte contre le changement climatique. Il faut pour cela abandonner les combustibles fossiles traditionnels et adopter de nouvelles sources d'énergie neutres en carbone, telles que l'hydrogène, l'ammoniac, le méthanol ou le vent.
Le changement climatique est l'un des défis les plus pressants et les plus complexes de notre époque. Pour préserver l'écosystème de notre planète, nous devons réduire drastiquement nos émissions nettes de dioxyde de carbone (CO2) tout en continuant de répondre aux besoins d'une population en constante augmentation.
Les manifestations locales du changement climatique sont connues de manière très incertaine et donc, des préconisations trop rigides sont totalement contre-productives dans un contexte où précisément, seule la dynamique locale peut insuffler l'adaptabilité et la flexibilité indispensables.
Le réchauffement climatique menace les équilibres de la planète. Par exemple, la température croissante des océans et leur acidification (une partie du CO₂ de l'atmosphère se dissout dans l'eau de mer, ce qui augmente son acidité) conduisent à la mort des récifs de coraux tropicaux.
L'adaptation aux conséquences des changements climatiques permet de protéger les personnes, les habitations, les entreprises, les moyens de subsistance, les infrastructures et les écosystèmes naturels. Elle porte sur les effets actuels et sur ceux qui sont susceptibles de se produire à l'avenir.
Certains « négateurs » approuvent le terme de « déni », mais beaucoup préfèrent se dire « climatosceptiques », « climato-sceptiques » ou « climato-réalistes ».
Le réchauffement climatique dû aux humains augmente actuellement à un rythme de 0,2 °C par décennie.
Il ne fait aucun doute que les humains sont responsables de l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre, notamment via la combustion d'énergies fossiles. Selon le GIEC, les concentrations de CO2 et de méthane ont largement plus augmenté entre 1750 et aujourd'hui que depuis au moins 800 000 ans.
Le "changement climatique" est le résultat du réchauffement de la planète. Il s'agit de changements significatifs dans le système climatique de la Terre qui peuvent entraîner des phénomènes météorologiques extrêmes, des incendies de forêt, l'expansion des déserts et l'élévation du niveau des mers.
La neutralité carbone implique un équilibre entre les émissions de carbone et l'absorption du carbone de l'atmosphère par les puits de carbone. Pour atteindre des émissions nettes nulles, toutes les émissions de gaz à effet de serre dans le monde devront être compensées par la séquestration du carbone.
L'effet de serre en France
En outre, la France est également affectée par l'effet de serre. Les gaz à effet de serre tels que le dioxyde de carbone et le méthane retiennent la chaleur de la Terre. Ceci entraîne un réchauffement de l'atmosphère.
L'EFFET DE SERRE, GARDIEN DE LA TEMPÉRATURE DE LA TERRE… La Terre absorbe l'énergie reçue du soleil et réémet de la chaleur. Certains gaz, dits gaz à effet de serre (GES), interceptent une partie du rayonnement thermique émis par la Terre et sont à l'origine de l'effet de serre.
Principalement du CO2 (77% des émissions) avec l'utilisation massive des énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz) mais aussi du méthane avec l'agriculture intensive et les décharges. En cause également la déforestation, les forêts ayant un rôle de captage du CO2 (puits de carbone).
Derniers rapports spéciaux du GIEC
On peut les consulter sous la rubrique Rapports. Durant le sixième cycle d'évaluation, entre octobre 2018 et septembre 2019, le GIEC a apporté la touche finale à trois rapports spéciaux.
Les transports
Selon le dernier rapport Secten du Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique (Citepa), publié en juin 2022, le secteur des transports est celui qui émet le plus de gaz à effet de serre en France.
Grâce à ces données, l'équipe a calculé le réchauffement climatique actuel. Ils ont montré que la température moyenne de la France actuelle est 1,7 °C supérieure à celle de la France entre 1900 et 1930. Ce chiffre est bien au-dessus de la hausse moyenne de températures à l'échelle globale, que le Giec évalue à 1,2 °C.
Les gaz à effet de serre retiennent dans les basses couches de l'atmosphère une partie du rayonnement infrarouge émis vers l'espace par la surface de la Terre, réchauffée par le Soleil. Appelé « effet de serre », ce processus naturel a permis le développement et le maintien de la vie sur Terre.