Pour n'importe quel nombre x, son inverse est donc x' tel que x x x' = 1. Or, zéro n'a pas d'inverse puisque n'importe quel chiffre multiplié par zéro donne toujours zéro. Par conséquent, la division par zéro est impossible et aboutirait à des contresens mathématiques.
En termes vulgarisés, quand x est très petit, 1x est très grand, ce qui peut pousser à convenir que 1/0 vaudrait l'infini. Le problème est que quand x est très petit mais inférieur à 0, 1x devient très important en dessous de zéro. On ne peut donc définir si 1/0 vaudrait plus l'infini ou moins l'infini.
0÷0 est une opération indéfinie! En effet, il est impossible de diviser un nombre par 0. Cependant, si on avait plutôt 0÷6 par exemple, alors le résultat serait 0. En bref, 0 peut être divisé par n'importe quel nombre, le résultat sera toujours 0, mais on ne peut diviser aucun nombre par 0, c'est simplement impossible!
Concrètement, il est impossible de diviser un gâteau en 0 part : cette action n'a pas de sens (cela équivaut à ne rien faire). Diviser un nombre A par un nombre B revient à chercher combien il y a de fois B dans A. Par exemple : 6/3=2 signifie que dans 6 il y a deux fois 3.
De nombreuses formules impliquant des entiers naturels nécessitent de définir 00 = 1. Par exemple, si l'on voit b0 comme un produit vide, il faut le définir comme étant 1, même lorsque b = 0. En combinatoire, b0 est le nombre de 0-uplets dans un ensemble à b éléments ; il y en a exactement un, même si b = 0.
Ce sont les Babyloniens qui vont les premiers utiliser le zéro (vers le IIIe siècle après J. -C.), non pas comme un nombre ni même un chiffre, mais en tant que marqueur signifiant l'absence.
des entiers relatifs, seuls 1 et –1 ont un inverse : eux-mêmes respectivement. des rationnels, l'inverse de 2 est 1⁄ 2 = 0,5 et l'inverse de 4 est 0,25.
Contraire : borné, limité, mesuré.
Un nombre premier est un entier naturel qui admet seulement deux diviseurs distincts entiers et positifs : 1 et lui-même. Selon cette définition, 0 et 1 ne sont pas des nombres premiers puisque 0 est divisible par tous les entiers positifs et 1 n'est divisible que par un seul entier positif.
D'une certaine manière, mathématiquement, l'infini, c'est ça : pouvoir toujours ajouter 1 à n'importe quel nombre, aussi grand soit-il, et construire ainsi des nombres de plus en plus grands. On en vient donc à la conclusion qu'il n'y a pas de nombre plus grand que tous les autres.
Le zéro n'est plus seulement un symbole utilisé pour marquer un vide, mais il devient un nombre à part entière. En 628, dans un traité d'astronomie appelé le Brahma Sphuta Siddhanta, Brahmagupta (598 ; 660) définira le zéro comme la soustraction d'un nombre par lui-même (a - a = 0).
Pour la civilisation indienne, le signe infini fait référence aux 8 bras du dieu Shiva. Il désigne aussi les 8 règlements de conduite et les 8 vœux prononcés par les moines bouddhistes. En Chine, ce symbole représente les 8 pétales des fleurs de lotus ainsi que les 8 piliers du Ming-Tang et les 8 sentiers du Tao.
Par exemple : l'opposé de 7 est égal à -7 car 7 + (-7) = 0. l'opposé de -0,3 est 0,3 car -0,3 + 0,3 = 0.
L'élément opposé de 8 est –8, car : 8 + (–8) = 0.
Réponse. Explications étape par étape : Le produit d'un nombre et de son inverse est toujours égal à 1.5 × 0,2 = 1. On peut en déduire que l'inverse de 5 est 0,2 et que l'inverse de 0,2 est 5.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.
Les chiffres (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et le système décimal (selon leur place dans un nombre, ces chiffres sont des unités, des dizaines, des centaines…) ont été inventés par les Indiens. Au 9e siècle, les Arabes trouvent que ces chiffres facilitent beaucoup les calculs et ils les diffusent dans le monde entier.
Le nombre 9 est celui qui contient en son sein la totalité, c'est l'inclusion totale, la non différenciation. Le neuf ne s'impose pas, il s'efface devant les autres nombres et leur laisse toute la place. C'est magique non ! : 9 = 0.
Le nombre de décimales de Pi est infini : après 3,14, il y a un nombre infini de chiffres. Infini on vous dit : on ne peut pas en voir la fin car Pi est un nombre irrationnel, c'est-à-dire qu'il n'est pas le résultat du rapport entre deux entiers (on ne peut pas l'écrire sous forme de fraction).
L'infini potentiel
À un nombre succède toujours un autre nombre, et il n'en existe pas de dernier, car ce dernier nombre a un successeur. C'est le principe de la récurrence, processus fondamental générateur de l'infini potentiel.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Celle-ci se base simplement sur des matrices de dimensions 2. On "note" la première matrice comme étant 1 et la deuxième matrice comme étant i. On remarque évidemment que i²=-1. On définit C comme étant l'ensemble des combinaisons (par addition, par multiplication, par multiplicication par un réel) de 1 et de i.
Ici le zéro symbolise la place accordée par le régime soviétique `a l'individu, l'infini celle que lui attribuent les humanistes.