Re : 1+1=1? Ben mathématiquement ce n'est pas possible donc il n'y a rien à comprendre. Sinon, on aurait parfaitement pu dire que 1+1=1 mais çà n'aurait strictement servi à rien. A la base, on utilise quand même les maths pour compter et dire qu'une chêvre + une chêvre çà fait une chêvre, çà me semble un peu idiot.
Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1. Ce qui devient une définition plus qu'une convention.
Le 1 ici 1=1 n'est pas un chiffre c'est un nombre et pour le nombre 1 1=1 est faux. Car on n'arrive pas à faire une quantité identique d'un seule 1 pour deux 1 identique. Mais pour 2 ou 3 c'est possible.
Elle fait partie de l'ensemble des nombres imaginaires. Ainsi le nombre i est défini comme suit : i est un nombre dont le carré est -1, algébriquement : i2 = -1.
L'expression 2 + 2 = 5 (« deux plus deux égale cinq ») est parfois utilisée comme une représentation d'un sophisme destiné à perpétuer une idéologie politique. Elle illustre également le caractère formel de la logique, qui étudie les mécanismes du raisonnement indépendamment du sens des énoncés qu'elle utilise.
Solution La solution est 3.
Si le montant de l'achat est diminué par une offre promotionnelle, alors le solde se voit augmenter, ce qui traduit la logique élémentaire se cachant derrière la règle du « moins par moins donne plus ».
Bombelli (1526-1572) aurait alors remarquer que cette méthode était inapplicable sur certaines équations, et inventa "quelque chose" dont le carré serait négatif. C'est alors Euleur qui dans ces éléments d'algèbre posa i²=-1.
Les nombres complexes se révèlent très tôt utiles dans la résolution des équations polynomiales, ainsi que l'expose Bombelli dès 1572. Ils permettent également aux mathématiciens de s'intéresser dès 1608 au théorème fondamental de l'algèbre. Ils sont utilisés dès le début du XVIII e siècle dans le calcul intégral.
Les nombres complexes permettent de trouver des solutions à certaines équations qui n'ont pas de solutions en nombres réels. Ils sont incroyablement pratiques pour comprendre la réalité et fonctionnent comme un outil dans presque tout ce qui implique une rotation ou des vagues.
La preuve de 1+1 = 2 de Alfred North Whitehead et Bertrand Russell apparait à la page 362 du livre Principia Mathematica. Ce livre fait 674 pages. Il faut donc construire des éléments mathématiques pendant 362 pages avant d'arriver à la preuve de ce résultat simple : 1 + 1 = 2.
Re : 1+1 = 3
Comme le dit Shiho, c'est une démonstration totalement fausse (et bien connue des gens qui veulent blaguer un peu).
Combien font 1+1 ? Avant toute chose, on va quand même répondre à la question ; dans la plupart des cas, 1+1=2. Mais d'après Jean-Claude Van Damme, 1+1=11 (parce que ça serait beau), et d'après les lois universelles de l'amour, 1+1=3 (ou 4, 5, 6 pour ceux qui veulent beaucoup d'enfants).
Re : 1+1=3
voila la demonstration de 1+1=3 de bernard werber ! La fusion des talents est supérieure à leur simple addition.
Sa création est liée à une polémique entre deux mathématiciens : Isaac Newton et Gottfried Wilhelm Leibniz. Néanmoins, on retrouve chez des mathématiciens plus anciens les prémices de ce type de calcul : Archimède, Thābit ibn Qurra, Pierre de Fermat et Isaac Barrow notamment.
Réponse simple : Au sens large, un paradoxe est une absurdité qui découle d'un raisonnement supposé vrai1. Il y a donc une contradiction apparente entre la démarche – considérée comme correcte – et le résultat obtenu – considéré comme erroné.
Dans ce cas, i=(0;1), et on devrait avoir i²=(-1;0), mais pourquoi est-ce le cas ? La notation i² est un raccourci de i*i, avec * la multiplication. Suffit de trouver et définir une multiplication qui marche, c'est tout!
On peut remarquer que √0=0, √1=1, √4=2, √9=3, √16=4, …
Cela étant fait on CONSTRUIT formellement C à partir des couples de R^2, en prenant les règles de calcul sur les coules déterminées ci-avant. On DEFINIT ensuite le complexe i comme étant le couple (0,1). Donc i^2 =-1 par CONSTRUCTION.
Le produit deux nombres négatifs est positif.
En effet, si l'on additionne deux nombres négatifs, on obtient un résultat négatif avec une distance à zéro supérieure à celle de chacun des termes de l'addition. Souvenez-vous, les pertes s'accumulent … ! Voici quelques exemples où l'on multiplie un négatif par un négatif.
Parce que le calcul est très utile !
Par exemple, nous pourrions dire que 2 garçonnets + 2 fillettes = 4 enfants. Mais qu'en est-il de 2 tranches de pain + 2 tranches de jambon ? Cela fait 1 sandwich. Pour calculer, il faut accepter les chiffres pour ce qu'ils représentent, c'est-à-dire pas grand-chose.
Règle des signes : Lorsqu'on divise deux nombres relatifs : – s'ils sont de même signe, le résultat est positif ; – s'ils sont de signe contraire, le résultat est négatif.