Cela découle naturellement de la méthode de construction de la gamme pythagoricienne. Pourquoi les intervalles sont-ils nommés ainsi ? Parce que l'intervalle de quarte équivaut à l'écart entre quatre notes (do, ré, mi, fa), la quinte équivaut à cinq notes (do ~ sol), l'octave à huit notes, etc.
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal: il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
C'est Guido d'Arezzo - moine bénédictin lui aussi, mais italien – qui découvre l'astuce au début du XI siècle.
Si tu es déjà allé un peu sur les sites de guitare anglais ou américains, tu as dû remarquer que les notes de musique en anglais ne sont pas seulement différentes, elles sont aussi plus simples. Au lieu de les appeler : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, les Anglais les nomment : A, B, C, D, E, F, G.
Dans la musique occidentale, douze fréquences fondamentales différentes portent un nom. Sept d'entre elles sont considérées comme les principales et ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si. Elles correspondent aux harmoniques naturels lorsque la note do est jouée.
Ut, ré, mi, fa, sol, la et si
Au XI e siècle, le moine Guido d'Arezzo a l'idée, pour nommer les notes de la gamme, d'utiliser des syllabes d'une hymne liturgique fameuse, l'hymne des vêpres de la fête de la Naissance de saint Jean-Baptiste.
Au 17e siècle, le 'Ut' est remplacé par le 'Do', en référence à la première syllabe du mot 'Domine', qui signifie 'Seigneur' en latin. Ce n'est pas pareil dans tous les pays : en Allemagne, les notes sont ainsi écrites par des lettres de l'alphabet : C-D-E-F-G-A-H-C."
Alors pourquoi apprendre ce système de notation avec les lettres de l'alphabet si ce n'est pas celui que l'on utilise en France ? Tout simplement parce que le système anglo-saxon est très répandu ! Il ne se limite pas qu'aux frontières des pays anglophones, on le retrouve aussi beaucoup sur internet.
Donc une ronde, ça équivaut à deux blanches. Mais en même temps, la blanche c'est le double d'une noire donc une blanche est égale à deux noires, ce qui nous permet d'en déduire qu'une ronde vaut 4 noires et ainsi de suite.
Ainsi, une blanche pointée vaut 3 temps car 1.5*2=3. Cela est valable pour n'importe quelle note. L'image à droite représente une croche pointée de valeur 0.75 temps (0.5*1.5=0.75).
Les intervalles mi-fa et si-do forment un intervalle d'1/2 ton. Car il n'y a pas de touches noires entre elles.
Au XVIe siècle, un autre religieux italien a eu l'idée d'ajouter le si, composé avec les premières lettres des mots du dernier vers. Puis, le ut, qui était jugé peu musical, a fini par être remplacé par le do (pour «dominus», dieu).
Étymologiquement, diatonique signifie dans le ton, ou à travers le ton. La gamme diatonique est donc la gamme qui contient les notes naturellement présentes dans les harmoniques de la note de départ.
A l'origine, un moine
C'est au XIe siècle que notre système de notation musicale fut mis au point par Guido d'Arezzo, un moine bénédictin originaire de Toscane. En facilitant la transcription des notes, il révolutionna l'apprentissage de la musique.
F = FA (FACILE !) A = LA (C'est simple !)
octave. 1. Intervalle consonant entre deux notes séparées par 8 degrés dans l'échelle diatonique.
B+ (75-79 %) : Le travail de cette qualité est satisfaisant et méthodique, indique une bonne connaissance du sujet et témoigne d'une capacité d'effectuer un examen critique du domaine de recherche.
Chaque année, des lycéens affolent les compteurs en décrochant leur bac avec une moyenne supérieure à 20 sur 20. Mais cette fois, Caroline Houriet a fait encore plus fort, en dépassant la note de 21.
Les Anglais comme les Français se servent de cette expression pour qualifier ce phénomène inexpliqué, et l'emploient également lorsqu'un événement présent est similaire à un autre événement qui s'est déroulé dans le passé.
L'UT est devenu plus tard DO.
La gamme est une suite de sept notes qui augmentent d'un ton à chaque mesure. Il nous faut remonter au XIe siècle pour en découvrir l'origine. C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui.
Chaque vers monte d'un ton. Guido retient la première syllabe des vers : Ut, Re, Mi, fa, Sol, La. Le Si sera ajouté plus tard. Et le Ut sera remplacé par Do, plus facile à prononcer.
C'est à Guido d'Arezzo (992-1050) que nous devons le système occidental de dénomination des notes de musique.