Les personnes qui souffrent d'anxiété ont la sensation de toujours déranger les autres ou, au contraire, de devoir constamment les satisfaire. Elles passent donc leur temps à s'excuser. À s'excuser pour tout, pour rien, à chaque instant. Il semble s'agir d'une habitude impossible à contrôler.
Prenez le temps de bien respirer et lâchez prise jusqu'à ce que les symptômes s'estompent après leur survenue ; apprenez à accepter les sensations qu'ils vous imposent. Cette approche peut être difficile à mettre en place, mais elle propose une alternative qui parfois réussit à éliminer totalement les symptômes.
Sensation que vos pensées, vos sentiments et votre corps ne vous appartiennent pas ou que vous ne les contrôlez pas. Impression d'être à l'extérieur de son corps et de s'observer. Perception déformée de votre corps, par exemple l'impression que vos membres sont gonflés ou déformés.
Vous avez du mal à trouver une direction, un but, des objectifs qui vous ressemblent. Nous sommes souvent submergées par les sollicitations de nos proches, qui déteignent sur nous à la longue et nous en oublions de vivre pour nous. Nous avons alors tendance à vivre "à côté de notre vie", déconnectés de nos émotions.
La dissociation est un moyen que le cerveau trouve pour supporter des situations de stress intense. La dissociation est avant tout un mécanisme de survie, elle est aussi un moyen souvent utilisé pour supporter des situations stressantes qui rappellent de loin ou de près les traumatismes du passé.
Insécurités et faible estime de soi
En tout cas, nous attribuons l'apparence à un défaut ou à un défaut qui nous est propre. Pour cette raison, il est courant que les personnes qui se sentent observées souffrent également d'une faible estime de soi, les mêmes qui les font se sentir en insécurité.
Chez les personnes avec un Haut Potentiel Emotionnel, le vécu de décalage vient du niveau très élevé de leur intelligence émotionnelle. Ce qui va souvent avec, c'est une empathie particulièrement développée, c'est-à-dire une compréhension des intentions, des pensées et des émotions des autres qui est très fine.
Et le manque de joie de vivre c'est aussi votre corps qui vous dit que votre alimentation ne lui convient pas. D'ailleurs, peut-être souffrez-vous aussi d'autres symptômes liés à votre alimentation ? Comme de la fatigue après les repas, digestion difficile, flatulences, transit difficile, problèmes de peau, etc.
Trouver la cause du malaise
Je me sens mal chez moi, OK, mais pourquoi ? Des causes psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un appartement en solo suite à une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager après une mutation ou un changement de situation professionnelle (chômage, etc).
Aujourd'hui, une prise en charge adaptée, une psychothérapie ciblée et des antidépresseurs permettent de briser le cycle infernal pour retrouver la joie de vivre. A condition d'être bien entouré et surtout de bien suivre son traitement.
L'abus de substances psychoactives peut également entraîner des expériences de dépersonnalisation et de déréalisation. C'est un effet secondaire lié à l'ingestion de drogues psychédéliques ou à la prise de cannabis, parfois considéré comme un bad trip.
Une dépersonnalisation et/ou une déréalisation empirique peut survenir chez un patient à cause d'un état d'anxiété, d'un stress temporaire, tandis que la dépersonnalisation chronique est concerne des individus ayant fait l'expérience d'un traumatisme ou d'une angoisse/ d'un stress prolongé.
Une dépersonnalisation est un état dans lequel on se sent étrange. Les gens qui en souffrent voient leur vie de l'extérieur, comme un film. Son propre corps, ses sentiments, mais aussi d'autres personnes et objets semblent étranges.
En règle générale, les personnes atteintes de déréalisation se sentent à la limite de l'aliénation. Il est assez courant que ces gens consultent systématiquement leur médecin traitant qui parfois propose des prescriptions et, dans la plupart des cas, des antidépresseurs ou des anxiolytiques.
Par exemple, vous pourriez recourir à des stratégies comme rester à proximité de la porte pour pouvoir sortir rapidement. Ces comportements d'évitement réduiront en quelque sorte votre anxiété. Vous pourriez aussi utiliser des tranquillisants quand vous devez faire face à des situations angoissantes.
troubles psychologiques : irritabilité, impulsivité, dépendance affective, difficulté à se concentrer, baisse des performances intellectuelles, incapacité à faire des projets, désintéressement du quotidien, vision négative de l'avenir, peur irrationnelle et sans fondement...
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
épuisement physique et émotionnel. Le parent est vidé de son énergie, n'a l'impression de ne plus pouvoir endosser son rôle, ni même de réfléchir correctement ; démotivation et perte de sens dans son rôle de parent.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Lutter contre la déprime en exprimant ses émotions
Parlez des choses qui vous contrarient. Il ne s'agit pas ici d'apprendre à gérer ses émotions mais de les extérioriser. Le simple fait de parler de vos problèmes à une personne aide énormément. Cela s'appelle le partage.
Le fait d'aider les autres va également permettre de satisfaire son égo que ce soit à ses yeux ou au yeux des autres. L'empathie est donc un trait de caractère particulièrement développé chez ces personnes. On les retrouve notamment souvent dans les métiers ayant un lien avec l'aide à autrui.
Il s'agit d'un déficit identitaire, d'un vide intérieur qu'il faut à tout prix combler à l'extérieur par l'action. Quand ils font, ils sont. S'ils arrêtent de faire, l'anxiété monte, le sentiment de perdre toute épaisseur s'installe, comme une petite mort d'eux-mêmes. Alors la course effrénée continue.
La déprime peut être due à un déséquilibre de la chimie du cerveau lorsque la fabrication de certains neurotransmetteurs jouant sur la régulation de l'humeur comme la sérotonine ou la dopamine diminue. Ce déséquilibre hormonal peut provoquer un « coup de cafard », sans vraiment avoir de raison particulière.