Cela développe la capacité des enfants à suivre des consignes et à s'y tenir. Jouer c'est aussi apprendre à perdre mais aussi apprendre à gagner. Jouer c'est aussi développer sa pugnacité, sa capacité à persévérer, notamment avec les jeux de casse-têtes.
Jouer permet à l'enfant d'apprendre à vivre avec les autres. Quand il joue avec d'autres enfants, un tout-petit apprend à partager, à attendre son tour, à faire des compromis et à régler de petites chicanes. Quand il joue, l'enfant apprend à dire de nouveaux mots, à exprimer ses idées et à se faire comprendre.
le jeu permet à l'enfant de développer des méthodes de travail, de suivre une logique, un raisonnement; le jeu permet de stimuler diverses compétences en même temps: le verbal, le mental, la logique, le calcul... le jeu donne à l'enfant un but précis, concret et l'incite à s'impliquer dans celui-ci.
Il facilite l'acquisition de compétences (-faire, -être) dans une ambiance décomplexée et moins astreignante qu'une formation traditionnelle. Le jeu permet de « mêler plaisir et travail ». Il peut amener le groupe à mettre en pratique l'apprentissage dans la situation du jeu avant d'imaginer comment chacun.
Apprendre chez soi permet de créer une atmosphère personnelle et propice aux études. Il peut s'agir d'éliminer les sources de distractions, de disposer d'un espace de travail confortable et d'avoir tout le nécessaire pour travailler à portée de main, sans devoir transporter quantité de choses dans une classe.
Un espacement particulièrement efficace puisqu'avec un espacement idéal entre les séances d'apprentissage, les sujets arrivaient à retrouver 65% de réponses en plus aux questions, par rapport aux sujets chez qui les deux séances d'apprentissage avaient été faites immédiatement l'une après l'autre.
“Le but du jeu est…” est souvent la première phrase que l'on entend lorsqu'on découvre un jeu. Et pour cause, le but oriente l'action du jeu et lui donne son sens. Exemple : aux dames, le but du jeu est de “capturer ou immobiliser les pièces de ses adversaires”.
Le jeu permet le développement moteur, social, intellectuel, sensoriel et il favorise également l'apprentissage du langage.
Il faut lui proposer des choses très variées, mais surtout ne pas chercher à exploiter le jeu à des fins d'apprentissage, sous peine de le dégoûter. » Le jeu comme stratégie d'apprentissage présente un intérêt considérable : il va inscrire chez l'enfant l'idée que c'est amusant de découvrir de nouvelles choses.
La pédagogie par le jeu ou l'apprentissage par le jeu offre aux enfants la possibilité de s'engager activement et avec imagination avec les personnes, les objets et l'environnement. La représentation symbolique est un aspect critique.
L'objectif principal d'un jeu vidéo est de divertir et d'amuser les personnes qui y jouent. Ils sont conçus pour mettre à l'épreuve les compétences et les capacités des joueurs, créant ainsi une expérience immersive qui peut transporter les joueurs dans un monde différent.
Jeux dramatiques et jeux de rôle favorisent en effet la motivation des élèves, servent de levier aux apprentissages et sont des outils précieux dans une approche de l'enseignement orientée vers le développement de compétences.
Nalebuff et Brandenburger (1996) voient ici le principal avantage de la théorie des jeux : « la théorie des jeux est particulièrement efficace lorsque l'on doit tenir compte de nombreux facteurs et que l'on ne peut prendre aucune décision sans qu'elle entraîne une myriade d'autres décisions ».
Pourquoi le fait de s'amuser peut améliorer votre santé mentale. Selon la Mme Kostiuk, l'amusement et la santé mentale sont reliés. Elle estime que l'amusement favorise le plaisir et le bonheur. Il induit un changement d'humeur qui réduit la tristesse et l'anxiété.
Plus précisément, les enfants adeptes des jeux vidéo auraient une meilleure mémoire de travail, celle qui est sollicitée pour faire du calcul mental ou encore retenir les syllabes et les mots lors de la lecture. Chez les enfants joueurs, les scientifiques ont également noté une meilleure capacité d'inhibition.
› Le jeu permet à l'enfant de développer des concepts et de résoudre des problèmes situés dans sa zone proximale de développement. › Le jeu libre permet à l'enfant de se questionner, de faire des tentatives variées et modifiables et de trouver des solutions créatives, multiples et changeantes.
Il permet aux enfants d'exercer leur autonomie, d'agir sur le réel, de construire des ficQons et de développer leur imaginaire, d'exercer des conduites motrices, d'expérimenter des règles et des rôles sociaux variés.
Le jeu étant essentiel pour le développement social normal de l'enfant, la perte des opportunités de jouer est particulièrement inquiétante. Grâce au jeu, l'enfant apprend à coopérer et à adopter un comportement socialement approprié.
« Il favorise la communication avec les autres et la construction de liens forts d'amitié. A travers le jeu, l'enfant établit des liens avec ses pairs et avec les adultes. Il s'installe dans une situation fictive lui permettant d'explorer et d'expérimenter les règles et relations du jeu social.
Le jeu est une activité fictive « accompagnée d'une conscience spécifique de réalité seconde ou de franche irréalité par rapport à la vie courante » (Caillois, 2003, p. 43).
Alterner régulièrement le temps de travail et les pauses relaxation pour une meilleure concentration et des conditions optimales d'apprentissage. Espacer les temps de révision pour une mémorisation durable. Utiliser tous ses sens pour une bonne mémorisation. Travailler en groupe pour parler ensemble des apprentissages.