Le plus courant des deux, c'est pourquoi en un seul mot. Pourquoi sert à poser une question sur la cause, sur le motif de quelque chose. On répond à cette question en disant parce que ou car . On l'emploie aussi dans les formules c'est pourquoi , voilà pourquoi , pourquoi pas .
La règle : - Entre une voyelle et une consonne, la lettre « s » se prononce [s]. Exemples : un escargot, une veste, …………………………………………………………………..……………… - Entre 2 voyelles, la lettre « s » se prononce [z]. - Entre 2 voyelles, il faut mettre 2 s (« ss ») pour obtenir le son [s].
Pourquoi / pour quoi. En un seul mot ou en deux mots selon le sens. Pourquoi = pour quelle raison.
Le s qui fait le son [ s ]
Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
- deux 's' entre deux voyelles se prononcent 's'; - 'c' suivi de 'a, o, u' se prononce 'k'; - 'c' suivi de 'e, i, y' se prononce 's'; - 'ç' suivi de 'a, o, u' se prononce 's'.
Lorsqu'un mot se termine par une consonne muette il arrive, quand on parle, que cette consonne soit liée à la voyelle ou à l'h muet qui débute le mot suivant. On dit que l'on fait une liaison. Paul joue avec ses_amis. Michel est un enfant intelligent.
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
Susurrer vient du latin susurrare (un S, deux R, là aussi, on a donc conservé cette orthographe), qui veut dire bourdonner, en parlant des abeilles.
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
Pourquoi -> Adverbe interrogatif -> Peut être remplacé par "pour quelle raison ?". Le pourquoi -> Nom -> Peut être remplacé par "la raison", "le motif". Pour quoi -> Préposition (pour) et pronom relatif (quoi) -> Peut être remplacé par "pour quelle chose / dans quel objectif ?"
L'expression pourquoi pas est généralement suivie d'un point d'interrogation, même lorsqu'elle répond à une question : Êtes-vous prêts à vous lancer dans une telle entreprise? — Pourquoi pas?
Beaucoup plus rarement, le mot pourquoi s'emploie comme nom. Dans ce cas, il est invariable. On écrit au pluriel les pourquoi des enfants .
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
Lorsqu'il y a un seul s dans le mot, il peut donner soit le son [z] soit le son [s]. En effet, la règle générale est que le son [z] se produit lorsque le -s- est précédé et suivi par une voyelle. Dans le cas contraire, il s'agit du son [s].
En dehors de certains cas définis par l'usage (comme « sans détour », « sans encombre »), le nom qui suit « sans » se met au singulier ou au pluriel selon qu'il désigne une ou plusieurs choses manquantes. > Ce film muet narre une histoire sans paroles. (Une histoire comporte d'habitude plus d'une parole.)
Le s de mésange et le s de oiseau se prononcent [z] parce qu'ils sont entre deux voyelles. On est obligé de mettre deux s à passereaux pour obtenir le son [s] parce que le s est entre deux voyelles. En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z].
« La consonne t peut aussi être prononcée [s] lorsqu'elle est suivie de la voyelle i dans les groupes tia, tie et tion. Souvent, les mots composés avec ces groupes appartiennent à une famille dans laquelle on trouve un t dans d'autres mots.
Enfin, ne prennent point de s au pluriel, les mots employés accidentellement comme substantifs, tels que les on dit, les qu'en dira-t-on, les un, les quatre, les cinq, les car, les si, les pourquoi, etc. Le pluriel des noms.
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
Lorsque la lettre 'c' doit se prononcer comme 's' devant ces voyelles 'a, o, u', il est nécessaire de placer une cédille sous la lettre 'c'. Par contre, il n'y a jamais de cédille sous la lettre 'c' devant les voyelles 'e, i, y' ni devant les doublons 'ae, oe'.
Prononciation en français
En français, la règle générale est que s se prononce [z] quand elle est située entre deux voyelles, et [s] dans tous les autres cas (début de mot, ou située entre une consonne et une voyelle — y est une voyelle en français.
Aujourd'hui, l'absence de liaison est devenue monnaie courante. "On ne fait plus de liaisons car on n'apprend plus la règle des adjectifs numéraux", précise Jean-Joseph Julaud, un ancien professeur de français qui organise la dictée du Salon du livre de Paris samedi 19 mars.
En général, en français moderne, le « h » initial est aspiré pour les mots d'origine germanique et muet pour les mots d'origine latine. En latin, la lettre « h » est devenue muette dès l'époque de l'Empire et les locuteurs du gallo-roman ignoraient la fricative laryngale [h].