Elle est utile pour comprendre qui on est, comment les autres nous voient, et la façon dont nous nous intégrons au monde. La connaissance de soi nous donne le pouvoir. Peut-être qu'on n'aimera pas forcément ce que l'on voit, mais c'est un grand réconfort et une grande aide de se connaître soi-même.
Les connaissances sont encore une fois une aide pour la dernière phase de l'apprentissage d'une nouvelle information qui est la mettre en mémoire. De façon simple, il est plus facile de retenir une information nouvelle quand on a déjà des connaissances sur le sujet.
Elle joue un rôle essentiel dans la santé mentale. Selon l'étude de Schaffner (2020), «la connaissance de soi développe notre capacité à vivre des vies cohérentes et enrichissantes. De plus, cela nous permet de connaître nos craintes et motivations et cela développe le contrôle de nos émotions».
La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous. Chercher à se connaître sert donc rien de moins que la réalisation de notre humanité.
Du point de vue chronologique, la perception constitue le fondement de la connaissance, dans la mesure où toute connaissance du monde se fonde sur la perception de celui-ci. Ainsi est-il nécessaire, pour définir la chaleur, d'avoir au préalable fait l'expérience sensible de divers objets ou phénomènes liés à celle-ci.
La connaissance acquiert du même coup une valeur privilégiée, puisque loin d'être abstraite ou relative, elle nous unit à l'être même, dans son intimité et dans sa vérité absolues.
La connaissance sert la vie humaine plutôt que des finalités spéculatives. L'activité de connaître repose et engendre des habitudes qui facilitent la transition d'une chose à une autre.
En général, nous pouvons affirmer que nous souffrons parce qu'une partie trop importante de notre comportement se produit inconsciemment. Nous gagnerions à mieux comprendre ce qui se passe réellement. L'équilibre par défaut entre conscient et inconscient à tendance à être erroné.
Conscience de soi interne : le degré de clarté avec lequel vous percevez vos propres valeurs, passions, aspirations, comment elles s'intègrent à votre environnement et interagissent avec les autres. Avantage : Vous développez une plus grande confiance en vous et une meilleure acceptation de vous-même.
- Jean Van Hamme. Le secret de la connaissance, c'est que tout ce qui nous entoure est à l'image de cet univers.
La connaissance de soi interne est fondamentale pour le développement d'une vie saine et équilibrée car, elle nous amène à remettre continuellement en question nos décisions et nos actions. C'est elle qui nous rend tout simplement conscient de notre propre existence.
Avoir confiance en soi passe inévitablement par une bonne connaissance de soi. Cela permet de reconnaître ses forces, comme ses faiblesses, et d'équilibrer les deux dans une maîtrise de soi saine. C'est la seule clé pour parvenir à surmonter ses peurs et ses doutes.
La connaissance de soi est plus facile que la connaissance d'autrui. a) La conscience comme accès immédiat à l'intériorité. La connaissance de soi, à première vue, est plus facile, car directe : parce que je suis conscient, j'ai un accès immédiat à mon intériorité, et je sais donc ce que je pense ou ce que je ressens.
Certes, oui on peut se connaître soi-même parce qu'il n'y a que nous-même qui savons ce que nous pensons. Les autres ne savent pas ce que nous pensons, nous sommes les seuls à avoir ces pensées, on ne les partage pas avec tout le monde.
Examiner de manière critique nos connaissances est en effet un moyen efficace de s'assurer de ce que l'on pense et d'éviter de tomber dans l'erreur et l'illusion. En ce sens, douter s'avère être une disposition féconde de l'intelligence en ce qu'elle aide la vérité à se dévoiler.
Apprendre à mieux se connaître, c'est avant tout prendre conscience de soi. C'est savoir quelles sont nos valeurs, nos besoins, nos qualités, nos défauts, ainsi que notre structure émotionnelle.
La définition traditionnelle suggère donc que lorsqu'une croyance s'appuie sur des bonnes raisons, et qu'elle est vraie, alors c'est une connaissance.
« Les connaissances déclaratives, procédurales et conditionnelles ».
Les enjeux de la connaissance sont multiples : géopolitiques (affirmation de la puissance des États, source de compétition et de tensions) ; sociaux et économiques (levier de développement) ; culturels et symboliques.
«La connaissance est une ressource magique: elle ne s'enrichit que si l'on s'en sert, ne vit que si on la partage, ne se développe que si on la conteste. Si elle ne progresse pas, elle meurt; si elle ne se transmet pas, elle se fige; si elle devient croyance, elle se tait.
La connaissance scientifique doit d'abord être empirique, émaner de phénomènes sensibles, se rapporter à une réalité tangible, objective et observable, être confirmée par répétition.
La conscience de soi, c'est d'abord la capacité à focaliser son attention sur sa propre personne, comme on le ferait avec n'importe quel “objet” cognitif2. Il s'agit de se voir de manière claire et objective grâce à la réflexion et à l'introspection.