Il est possible qu'il soit actuellement dans une période dite de “régression”. Derrière ce mot, se cache un comportement tout naturel dû à des périodes de changements ou de stress. Votre bébé grandit, il apprend à gérer son horloge biologique et découvre le stress et l'angoisse de s'endormir seul.
Dans l'idéal, l'enfant qui refuse de dormir devrait être mis au lit à la même heure chaque soir, suivant une routine du coucher pouvant comprendre par exemple le dîner, le bain et une histoire. Embrassons-le et souhaitons-lui « bonne nuit » d'une voix ferme, puis quittons la chambre alors qu'il est encore éveillé.
Difficulté du bébé à se séparer de ses parents. Conditions d'endormissement (lumière, température, musique, objet rassurant, présence du parent). Excès de liquide pouvant mener à des coliques juste avant l'heure du dodo. La réaction du parent quand bébé a de la difficulté à s'endormir.
Au-delà de six mois, l'insomnie peut prendre des formes variées : difficultés à s'endormir, terreurs nocturnes ou réveils multiples pendant la nuit peuvent être de bonnes raisons de consulter ton pédiatre.
Dites-lui qu'il est en sécurité dans son lit, caressez-lui le dos ou la tête pour qu'il se calme. Si besoin, prenez-le dans vos bras pour lui faire un câlin et l'aider à s'apaiser, puis dites-lui doucement que vous allez le reposer dans son lit pour qu'il dorme.
Lorsque bébé se réveille après 30 minutes de sieste, c'est qu'il est peut être soit trop fatigué lorsqu'il est couché, ou au contraire que la pression sommeil n'est pas tout à fait assez importante. Le noir complet va aider votre bébé à enchainer ses cycles, ses phases de sommeil lors de sa sieste.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
Si le bébé a faim par exemple, il se met à pleurer. C'est donc la même chose pour l'endormissement : si le bébé pleure, c'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas, et souhaite le faire ressentir par le seul moyen de communication qu'il connaît : les pleurs.
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
Ne pas intervenir d'emblée et le laisser un peu crier pour lui donner une chance de se rendormir seul. Au bout de 5 à 10 minutes selon l'intensité des cris allez le voir et câlinez le un peu puis reposez le. Au bout de quelques nuits, cela va aller mieux.
Si vous voulez que votre bébé fasse ses nuits sans pleurer, il doit apprendre à se rendormir seul. Pour y parvenir, mettez-le au lit avant qu'il ne soit complètement endormi. Ne le laissez pas devenir dépendant d'un rituel de bercement ou de lait pour s'endormir. S'il pleure, c'est à vous de décider.
Un bébé doit se sentir en sécurité. Il peut donc avoir besoin de la présence d'un de ses parents pour pouvoir s'endormir. Parfois, un bébé âgé de 1 mois ne veut pas dormir dans son lit. C'est ce qu'on appelle l'« association sommeil-dépendance » : votre enfant ne peut s'endormir que lorsqu'il se sent en sécurité.
La couleur définitive apparaît généralement au bout d'un an, mais les changements se font plus lents une fois que votre bébé est âgé de 6 mois environ. Cependant, dans certains cas, il peut falloir plusieurs années avant que la couleur définitive n'apparaisse.
La micro sieste est un phénomène naturel, car c'est physiologique. Un bébé a des cycles de sommeil plus courts qu'un adulte. En effet, un cycle complet dure entre 30 et 45 minutes, soit deux fois moins que chez un adulte. En grandissant, les cycles de sommeil deviennent de plus en plus long, jusqu'à durer 1 h 30.
Par exemple, si vous transportez beaucoup bébé dans la journée, il vaut mieux opter pour le couffin ou la nacelle. Si vous restez à la maison, un lit parapluie ou son berceau seront de meilleures solutions.
Tandis que, dans les pays nordiques, on a tendance à considérer qu'avant 9 mois l'enfant n'est pas capable de comprendre que ses parents ne l'abandonnent pas, en France, on essaie souvent d'habituer bébé à s'endormir seul dès 3 mois, voire dès 2 mois pour les plus impatients.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
En effet, à cet âge, le cerveau de l'enfant n'est pas assez développé pour qu'il en soit capable. S'il pleure pour être pris, c'est qu'il a besoin d'être rassuré. Ainsi, en le prenant, vous n'êtes pas en train de « céder », vous êtes plutôt en train de lui montrer qu'il peut compter sur vous : vous le sécurisez.