Le fait de pleurer libère des endorphines, les hormones du bien-être, pour améliorer votre humeur. Cela peut également vous permettre de vous détendre en réduisant les hormones du stress telles que le cortisol. C'est pour cela qu'on se sent souvent beaucoup mieux après avoir pleuré.
Avec des larmes émotionnelles, le corps libère deux hormones puissantes responsables de notre bien-être : l'endorphine et l'ocytocine. Ces substances soulagent l'inconfort et créent une agréable sensation de tranquilité et de calme.
Pleurer élimine le stress
Pleurer aide contre le stress : les larmes réduisent les hormones du stress, le pouls et la respiration se normalisent. De plus, pleurer libère des endorphines et de l'ocytocine. Ces deux hormones améliorent l'humeur et induisent le bien-être.
Lorsque cette source de stress et de pleurs s'amenuise, l'adrénaline et le cortisol diminuent de manière rapide puisque les larmes permettent aussi leur évacuation. Les stocks énergétiques s'en trouvent par la suite assez faibles, ce qui explique en partie cette sensation de grande fatigue qui suit les larmes.
Garde du corps de la cornée
Les poussières, les pollens ou un moucheron, vont ainsi être évacués hors de l'œil, tout simplement. Les larmes empêchent l'œil d'être abîmé.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Un trop plein de larmes !
Lorsque celui-ci est plein, le liquide lacrymal s'écoule alors par le conduit nasolacrymal, situé au niveau supérieur du nez.
La biologie peut expliquer en partie cette différence. Les femmes seraient conçues pour pleurer plus que les hommes en raison de la forme de leurs glandes lacrymales, peut-on lire dans le « Wall Street Journal« . De plus, le conduit lacrymal masculin est bien plus large que celui des femmes.
Vous êtes fatigué(e).
Vous vous surprendrez peut-être à pleurer devant une publicité pour les céréales. Ces pleurnichements anormaux peuvent être le signe d'un manque de sommeil.
Anxiété : Les personnes souffrant de troubles de l'anxiété sociale ne veulent pas être vues en train de pleurer autour d'elles. Elles peuvent donc avoir l'habitude de réprimer ces sentiments par crainte d'être jugées.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
L'envie de ne rien faire
Si le découragement et la lassitude se ressentent à la perspective d'une nouvelle journée, il faut penser à la dépression saisonnière. On observe également un repli sur soi, une tendance à l'isolement et l'envie de ne rien faire avec un gros sentiment de culpabilité et de dévalorisation de soi.
Ces maux de têtes qui peuvent se produire après une séance de pleurs ne sont pas aussi faciles à expliquer. Bylsma estime que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec la déshydratation, en raison de l'eau que l'on perd avec les larmes.
On peut également se détendre les sourcils, car lorsque l'on est triste, ceux-ci ont tendance à se resserrer. Se pincer la peau entre le pouce et l'index stoppe également immédiatement les larmes. Si vous voulez cacher votre tristesse face à quelqu'un, pensez à pincer votre main dans votre dos, c'est plus discret.
Votre ado se désintéresse des activités qu'il aimait autrefois, il est plus irritable, s'isole ou est plus excité. « Rassurez-vous, temporise Aline Nativel Id Hammou. L'adolescence est une période d'instabilité et de confusion émotionnelle où les sautes d'humeur sont fréquentes. Il n'est pas pour autant bipolaire… »
A vos mouchoirs.
"Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau.
Comme mentionné plus haut, les larmes, avant de s'écouler, s'amassent dans le conduit lacrymo-nasal. À cet endroit se trouve le sac lacrymal qui a pour fonction de stocker les larmes.
La morve ou mucus nasal est en fait sécrété par la muqueuse qui tapisse les fosses nasales.
On pleure parce qu'on prend conscience des choses merveilleuses que peut nous apporter notre corps. "Ces larmes viennent du plaisir et de l'orgasme qui donnent à penser qu'on est dans un corps qui s'exprime et jouit, du moins qui en a la possibilité", poursuit le sexologue.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
La perte de la joie de vivre réside dans la tête, mais aussi dans le corps. On se sent épuisé, sans énergie et on n'a envie de ne rien faire. La solution la plus efficace à cet état est de pratiquer une activité physique régulière.
Dans certains cas, ce ressenti est associé à un type de situation bien précis. Cela peut avoir trait à la relation aux autres avec des schémas relationnels qui semblent se répéter sans fin. Une situation de vie dont on n'arrive pas à sortir. Cela peut aussi arriver vis à vis de soi-même.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.