Phobie sociale : pourquoi je n'aime pas les gens ? Repli sur soi, sentiment d'être en décalage constant avec la société, impression de ne pas être compris, peur d'être jugé, dénigré… Les craintes qui entourent les rapports aux autres sont aussi intenses que diverses.
Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
Selon le biopsychologiste Sebastian Ocklenburg, le fait de ne pas apprécier ses semblables serait un signe d'intelligence supérieure. Nos confrères de GQ relatent certaines de ses expériences. Le scientifique a étudié des adolescents encore scolarisés pendant plus d'un an et les résultats sont bluffants.
Le trouble de la personnalité évitante (ou trouble de la personnalité anxieuse) est un trouble de la personnalité caractérisé par un sentiment de mauvaise adaptation, d'une très forte sensibilité aux situations négatives et à l'évitement d'activités ou relations humaines.
Cette peur se manifeste par un désir d'éviter la société, une peur morbide des gens et de leur présence. Considéré comme une forme pathologique de la timidité, le mot anthropophobie vient du grec « anthropo » qui signifie homme, et « phobie » qui signifie peur.
A la croisée des chemins entre l'anxiété, la timidité et l'introvertisme, l'anxiété sociale est à la fois un trouble à part et un savant mélange des trois. Laurie Hawkes, psychothérapeute, nous guide pour mieux comprendre les subtilités de l'anxiété sociale.
Cette irritabilité profonde peut être le symptôme d'un mal-être installé, qui dure depuis longtemps. Lorsqu'on se sent saturé à ce point, c'est probablement que la capacité de résistance est utilisée trop fort depuis trop longtemps.
L'une des raisons pour lesquelles vous pourriez ne pas être très sociable est que vous considérez peut-être que les personnes que vous rencontrez n'ont rien en commun avec vous. Peut-être pensez-vous que cette personne est trop bête ou trop timide pour être votre ami.
La vie sociale diminue le sentiment d'isolement et d'inutilité, elle améliore l'estime de soi, permet progressivement de s'affranchir du regard des autres et, au final, de mieux vivre avec la maladie.
La sapiosexualité est le fait d'être sexuellement ou sentimentalement attiré(e) par des personnes intelligentes, instruites ou charismatiques. Pour les sapiosexuels, l'intelligence rend sexy.
insociable adj. Qui n'est pas sociable, difficile à vivre.
Dans certains cas très graves, l'asociabilité peut avoir des conséquences judiciaires très importantes, en lien avec l'agressivité (parfois sexuelle), sur d'autres personnes. Les personnalités asociales sont particulièrement présentes en milieu carcéral.
Quelles sont les causes ? En fait, on ignore la cause de ce trouble de la personnalité, même si l'on suspecte des facteurs biologiques, génétiques et environnementaux, ce que confirment les études sur les jumeaux adoptés : le comportement antisocial est partiellement héritable.
Les vrais solitaires sont des personnes qui embrassent le temps passé seul. Ceux qui deviennent violents sont généralement des personnes seules contre leur volonté : ils veulent s'intégrer , ils veulent être aimés et être l'objet de désir. Mais ils ont au contraire été exclus et rejetés.
La solitude comme clé de la liberté individuelle
Cette confiance en soi mêlée au travail de pleine conscience et au développement personnel, permet de libérer l'esprit, de gagner en indépendance, de se libérer de ses angoisses, de devenir autonome affectivement et même d'être plus responsable.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
La timidité maladive est une forme de timidité sévère au point de ne plus avoir envie d'entretenir de contacts avec l'extérieur. Les personnes qui souffrent de timidité maladive vont éviter les relations humaines, se renfermer sur elles-mêmes.
Le traitement le plus efficace. Chez les adultes, le traitement recommandé est une psychothérapie cognitivo-comportementale individuelle adaptée à la phobie sociale. D'une durée moyenne de quelques mois, ce traitement est considéré comme le plus efficace et le moins coûteux par le NICE.
Sources éventuelles de la blemmophobie
La peur du regard des autres est à mettre en lien avec une mauvaise estime de soi et, notamment avec un rapport à son corps déficient. Les personnes interrogées parlent fréquemment de la peur que l'on voie leur corps qu'il soit habillé ou nu.