Interrogée par: Nath Da Silva | Dernière mise à
jour: 7. Oktober 2022 Notation: 4.1 sur 5
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Au fond, c'est difficile de lâcher prise parce que c'est une question de perspective d'exigences et de personnalité. Un comportement « sous contrôle » pour moi est peut-être normal à tes yeux. Ce que tu considères comme un lâcher prise incroyable fait peut-être simplement partie de mon lot quotidien… Peu importe…
Si tu ressens que tu as des difficultés à lâcher prise, c'est que tu as de la peine à accepter les choses telles qu'elles sont. Autrement dit, la situation génère chez toi des émotions désagréables que tu n'as pas envie ou que tu n'es pas en mesure d'accueillir. Ton ressenti peut t'effrayer pour plusieurs raisons.
Débarrassez-vous de vos croyances : « je suis nul(le), je n'y arriverai jamais, je dois absolument être à la hauteur, il faut que tout soit parfait…». Nul besoin de jouer les héros. Vous devez seulement accepter vos limites et déterminer ce qu'il vous est possible de faire.
La thérapie EMDR peut vous aider à chasser vos pensées obsessionnelles et à redéfinir vos priorités. En combinant des exercices de visualisation et des séries de mouvements oculaires avec l'encadrement de votre praticienne EMDR à Nice, vous parviendrez petit à petit à lâcher prise.
Pour faire face à nos émotions perturbatrices, nous pouvons avoir recours à plusieurs moyens : l'exercice physique, la relaxation, le yoga, la méditation zen... Bref, les outils ne manquent pas ! Mais, nous avons souvent besoin de réagir sur le coup d'une émotion.
Accepter la situation, c'est d'abord conscientiser et accueillir qu'on est dans la résistance. Ensuite, on avance vers l'acceptation par l'accueil des émotions souffrante déclenchée par cette réalité.
S.T.- La meilleure façon de les aider ou de les encourager à lâcher prise est effectivement de leur faire confiance, de les laisser vivre et faire leurs propres expériences, tout en les réconfortant. L'essence du lâcher-prise est dans la liberté, l'inspiration et l'impermanence de la vie.
Et ce risque, pour les personnes contrôlantes (souvent qualifiées de control freaks), prend des proportions démesurées à cause justement d'une anxiété à fleur de peau qui, elle, peut être issue d'un traumatisme, de parents eux-mêmes contrôlants, d'un manque important de confiance et d'estime de soi...
Les raisons. Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement qui peut être excessif, les rassure.
Si vous avez besoin de pleurer pendant un cours, vous pouvez tourner votre visage vers le bureau ou le couvrir avec un livre. Ne faites pas de bruit et ne sanglotez pas. Essayez de ne pas renifler non plus. Gardez un mouchoir dans votre main et essuyez rapidement vos larmes dès qu'elles se mettent à couler.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
La précrastination est souvent le réflexe de personnes consciencieuses, perfectionnistes mais aussi anxieuses. On pourrait se dire que c'est un bon réflexe car nos tâches sont faites immédiatement, mais cela pose plusieurs problèmes : Perte d'efficacité : Pour être efficace, on doit s'organiser.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Les personnes psychorigides sont également peu chaleureuses, voire froides, même avec des personnes qu'elles apprécient. Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié.