Ainsi, un "canard boiteux" est un individu qui ne fait pas comme les autres, qui est différent et qui est bien souvent mis de côté. Cette expression rappelle également le conte d'Andersen "Le vilain petit canard", où le petit cygne est rejeté par tous ses compagnons canards.
boiteux adj. Qui n'est pas d'aplomb, bancal.
L'expression a été popularisée par le conte d'Andersen. Le vilain petit canard désigne celui qui suscite le mépris, en raison de sa différence physique, morale... Il est ainsi en général mis à l'écart du groupe.
En effet, «canard» était un terme préjoratif utilisé pour désigner les individus jugés trop bavards. C'est pourquoi, lorsque les premiers journalistes publièrent des textes relatant les événements du quotidien à l'attention de tous, le lien entre le journal et l'expression «canard» a été fait tout naturellement.
Familièrement. Mouillé, trempé comme un canard, très mouillé. Plonger comme un canard, très bien plonger ; et figurément, s'esquiver, se soustraire à un danger. Familièrement.
Difficultés. Ne pas écrire la cane (= femelle du canard) comme la canne (= le bâton). Canard, caneton, canette s'écrivent avec un seul n, comme cane.
Ainsi, un homme qui fait le canard est un homme dans une attitude de servilité par rapport à une femme.
«'Se mettre sur', écrit-il, est une ancienne tournure qui veut dire 'mettre sur soi'», «trente et un pour sa part, est la déformation populaire de 'trentain', nom d'une ancienne sorte de drap de luxe, dont la chaîne était composée de trente fois cent fils et qui, n'étant plus compris, est devenu trente-un».
Attitude de servilité d'un homme envers une femme, dans le cadre ou non d'une relation de couple. Le canard est capable de dépenser apparemment sans compter pour la femme qu'il veut séduire. De se déplacer à l'autre bout du département, de se montrer d'une patience infinie, jusqu'à l'absurde.
C'est-à-dire «avoir», mais aussi, par extension, «voler» et «dépouiller». Comme le pigeon était bien plus présent dans les rues que la huppe, les habitants ont naturellement préféré le mot «pigeon» au terme «huppe» pour qualifier une «dupe», puis, par vases communicants, un «sot».
La femelle du canard se nomme la cane. Le bébé canard possède plusieurs noms, tu peux l'appeler le caneton, la canette, le canardeau ou encore le canichon.
Ce conte parle d'un petit canard noir rejeté par ses frères canetons et qui a du mal à s'intégrer dans le monde des canards. A la fin du conte, il aura grandi et en vérité, on découvre que c'est un cygne, splendide quand il devient adulte.
Qui boite. nom Un boiteux, une boiteuse. (choses) Qui n'est pas d'aplomb sur ses pieds. ➙ bancal, branlant.
Selon Homère, tel qu'il le rapporte dans l'Iliade, le dieu est boiteux dès sa naissance, et Héra, honteuse de la difformité de son fils, le précipite dans la mer, où il est recueilli par la Néréide Thétis et l'Océanide Eurynomé.
« Être un canard » est purement péjoratif. On qualifie un homme de canard qui se comporte avec les femmes ou avec sa copine sans une once de virilité, un peu comme un non-alpha.
Un mot hongrois hérité de l'inventeur du téléphone
Mais, selon toute vraisemblance, cette interjection viendrait plutôt du hongrois "hallo", qui signifie "j'écoute". Cela fait sens, puisque Tivadar Puskas, l'inventeur du central téléphonique, était hongrois.
« Toucher du bois » exprime une superstition déjà pratiquée dans les années -660 av. JC par les Perses. Adeptes du mazdéisme (religion iranienne qui doit son nom à son dieu principal, Ahura Mazda), les Perses se mettaient en effet sous la puissance protectrice d'Atar, génie du feu, lorsqu'ils touchaient du bois.
L'origine de l'utilisation du mot lapin remonte à l'Antiquité, cet animal étant symbole de fécondité. Son absence signifie donc la pauvreté. À la fin du XIX e siècle, poser un lapin signifie « ne pas rétribuer les faveurs d'une fille », ou plus généralement partir sans payer.
Une cane : la femelle du canard.
Jusqu'au XIIIe siècle, le mot ''canard'' ne désignait pas l'animal mais était un surnom péjoratif que l'on donnait aux individus trop bavards. Par extension, ce nom fut donné au journal, faisant référence aux journalistes qui relatent des évènements.
Le canard colvert se met en couple à la fin de l'automne. Pour charmer la femelle, le mâle parade dès que le printemps arrive. Juste après la ponte, le couple coupe ses liens et les canards reforment un nouveau couple. Les partenaires vont ensemble vers une zone de reproduction pour se reproduire à leur arrivée.
Étymologie de « serpente »
( XIII e siècle) Féminin de serpent ; le papier portait à l'origine un serpent en filigrane.