Le désir est la conscience d'un manque qui semble nous conduire à la souffrance et l'insatisfaction. Elle serait alors la cause de notre malheur. Toutefois, le désir est aussi un effort qu'on accompli pour atteindre ce qu'on recherche. Il permet alors à l'homme de s'affirmer, de progresser.
En effet, nous ne ressentons jamais un seul désir à la fois, nous ressentons toujours une multiplicité de désirs. Ce que dit Schopenhauer, c'est que la satisfaction d'un de nos désirs implique toujours le sacrifice d'une multiplicité d'autres, qui continueront par conséquent à produire de la souffrance en nous.
On dit souvent que le désir est un manque que rien ne peut combler. Celui qui éprouve du désir est un sujet humain, et il voit l'objet de son désir comme un bien, un élément positif. Le besoin est l'expression d'un manque réel, il naît d'un manque et exprime une nécessité organique.
« Le désir est l'essence de l'homme » écrit Spinoza dans l'Éthique. Il faut comprendre par là que l'homme est désir et qu'il s'affirme en exprimant pleinement la puissance qui le caractérise. Cette approche positive rompt avec l'idée selon laquelle le désir ne serait que manque et marquerait l'imperfection humaine.
Le désir est une marque spécifique de l'espèce humaine. L'Homme désire, alors que l'animal n'a que des besoins. Par ses désirs, l'Homme peut s'élever au-delà de l'aspect vital du besoin. Le désir est ambivalent car il est fait de souffrance et de manque, mais aussi de vitalité et de joie.
Le désir est un mouvement qui porte les hommes à vouloir posséder quelque chose, ou atteindre un but, qui devront leur procurer une satisfaction. C'est donc un état caractérisé par un sentiment de manque et de privation.
Quelles sont les causes d'une perte de libido ? La perte d'intérêt pour le sexe est souvent liée au stress, à la fatigue ou à un souci dans la relation. Mais parfois, cela peut être le signe d'un problème médical sous-jacent, comme un problème de thyroïde ou un dérèglement hormonal.
Le désir est un souhait irrationnel, obsédant et impossible à satisfaire, qui porte sur la possession de quelque chose. On dit en souvent que le désir est un manque que rien ne peut combler. Celui qui éprouve du désir est un sujet humain, et il voit l'objet de son désir comme un bien, un élément positif.
Le désir est la conscience d'un manque qui semble nous conduire à la souffrance et l'insatisfaction. Elle serait alors la cause de notre malheur. Toutefois, le désir est aussi un effort qu'on accompli pour atteindre ce qu'on recherche. Il permet alors à l'homme de s'affirmer, de progresser.
Chacun doit s'imaginer une conception de la vie heureuse tout en respectant les lois. Il faut donc tout de même acquérir une certaine vertu afin de désirer le bien et diffuser le bonheur. Ainsi l'on peut donc dire que le désir n'est pas toujours un obstacle au bonheur.
Le désir est un processus conscient (masquant tout de même des manifestations inconscientes sous-jacentes) qui incite les personnes à partir à la quête d'un fait, d'une situation ou d'un objet, source de plaisir et de contentement.
Chez l'homme comme chez la femme, la testostérone est l'une des hormones clé dans le déclenchement du désir et le comportement sexuel. Elle est produite dans les testicules, les ovaires et les glandes surrénales.
La tension se propage dans tout l'organisme, se rigidifie et devient notre talon d'Achille. S'il devient trop fort, le désir conduit à l'obsession et à la perte de contrôle. On finit par tenter de trouver un équilibre entre la pression que nous met la voix du désir et celle de notre sens moral.
Pour Jean-Paul Sartre (1905-1980), le désir ne se distingue pas du manque. Si tout est plein, si tout est complet, il n'y a plus de place pour le désir. Mais Sartre situe l'origine du désir, donc de ce manque, au sein même de la conscience. Pour Sartre, parler du désir, c'est parler de l'être.
La théorie lacanienne du désir
La demande, quant à elle, est formulée et s'adresse à autrui. Elle peut porter sur un objet, mais là n'est pas l'essentiel, car la demande articulée ne peut s'analyser, au fond, que comme demande d'amour. Quant au désir, il naît de cet écart qui existe entre le besoin et la demande.
Le désir semble contradictoire. D'une part il traduit la puissance d'exister d'un être qui enchante par son dynamisme sa vie et le réel et produit grâce à lui une réalité aux couleurs de ses rêves ; d'autre part il confronte l'homme à l'impuissance et au désespoir du désir insatisfait.
Le désir ne nous tombe pas dessus par hasard. Il est plutôt le fruit de tous les messages perçus par nos sens et des réactions chimiques que ceux-ci déclenchent dans notre cerveau. Quand le désir naît dans nos hémisphères, il se produit une communication entre les neurones.
L'amour s'apparente au désir et au besoin d'attachement, mais il est modifié par des facteurs biologiques, socioculturels et psychologiques qui déterminent son développement." – Shannon Chavez, psychologue et sexologue. "Lorsque vous désirez quelqu'un, vous voulez absolument satisfaire ce désir.
Selon Faith Popcorn, l'individu poursuit une quête frénétique de beauté, de santé et de longévité. Dans le discours, ce fait est indéniable.
Le désir désigne la sensation d'attraction et d'attente à l'égard d'une personne, d'un objet, d'une situation ou d'un futur particulier. Le désir et son contentement engendrent une tension chez l'individu qui le ressent et qui cherche à résoudre celle-ci pour combler le manque induit.
Le désir a un caractère signifiant : Il semble aller au-delà de l'objet du désir, qui n'est qu'un support : Pour Freud, l'homme a un désir d'un temps originel de plénitude. Pour Platon, l'homme a un désir d'immortalité. Pour Hegel, l'homme a un désir de reconnaissance.
D'une part en effet, Platon reconnaît que la motivation qui pousse quelqu'un à désirer quelque chose est le manque, et donc l'envie de pouvoir posséder ce qu'il n'a pas encore ; d'autre part, il est aussi conscient du fait que le désir ne peut être identifié à la simple envie de posséder, cette identification revenant ...
Rhumes, grippes et infections ont donc une voie royale pour attaquer le corps qui est ainsi privé de sa principale ligne de défense. Autre effet du manque de sexe chez les femmes, les parois du vagin s'amincissent et la lubrification est réduite, notamment pour les femmes en ménopause.
Le système immunitaire fragilisé
C'est normal, votre système immunitaire est affaibli. La production d'immunoglobulines, qui nous aide à lutter contre les virus et les bactéries qui traînent, est diminuée. Le corps est donc privé d'une ligne de défense importante.
Éprouver à l'égard de quelqu'un un désir sexuel ; convoiter : Il désire cette femme plus qu'il ne l'aime.