«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Puisque le système immunitaire passe à la vitesse supérieure pendant le sommeil, les symptômes deviennent plus graves. Cette activité accrue du système immunitaire peut durer toute la nuit. C'est pourquoi le réveil peut nous sembler très pénible.
Marcher, bouger et masser les jambes aident à calmer ces sensations désagréables. Certains ont remarqué que poser un oreiller lourd sur leurs jambes avait un effet préventif.
Les personnes souffrant de fibromyalgie ont tendance à se réveiller en ayant mal partout, et plus fatiguées qu'au moment du coucher. D'autres troubles du sommeil peuvent se déclarer lorsqu'on souffre de fibromyalgie.
Il y a cinq signes, ou symptômes, pouvant indiquer une inflammation aiguë : la rougeur, la sensation de chaleur, l'enflure, la douleur et la difficulté à bouger normalement la zone touchée du corps.
L'arthrose peut également influer sur la qualité du sommeil lors des poussées inflammatoires. Toutes les formes d'arthrose peuvent affecter le sommeil pendant la nuit. Les parties du corps les plus concernées par la douleur nocturne sont toutefois le cou, le dos et les hanches1.
Le tabagisme, l'hypertension artérielle ou certaines maladies auto-immunes touchant par exemple la thyroïde, sont également en mesure d'engendrer une inflammation chronique, tout comme l'obésité, la sédentarité ou le stress.
En général, la cause de la fibromyalgie est inconnue. Cependant, certains états peuvent contribuer au développement de la maladie. Il s'agit, par exemple, d'un sommeil de mauvaise qualité, de tensions répétées ou d'une lésion. Le stress mental peut lui aussi y contribuer.
Les anti-inflammatoires stéroïdiens, eux, sont des corticoïdes, dérivés du cortisol et de la cortisone, et ont un effet plus puissant. " Parmi les anti-inflammatoires stéroïdiens, on trouve le prednisone, prednisolone, méthylprednisolone ,ou encore, avec un effet plus prolongé, le bêtaméthasone ou le dexaméthasone.
Recrudescence nocturne des douleurs : elle signe l'aspect inflammatoire de la douleur. En effet, à partir de quatre heures du matin, le cortisol plasmatique est au plus bas de son cycle et permet ainsi l'expression des douleurs inflammatoires.
Car sous l'effet d'un stress prolongé, le niveau de résistance des cellules au cortisol augmente et, dans ce cas, l'inflammation donc le développement de l'infection sont favorisés puisque l'effet anti-inflammatoire du cortisol est atténué.
Une douleur articulaire dite inflammatoire ou d'horaire inflammatoire est une douleur présente lors du repos et qui diminue, voire qui disparait, lors des mouvements et des activités.
Symptômes. Dans le cas des douleurs neuropathiques, les sensations douloureuses sont variées et peuvent associer : Des sensations permanentes de type brûlures, picotements, engourdissements, fourmillements, sensations de chaud et/ou de froid.
L'ibuprofène pris au-delà de 2 400 mg par jour (dose maximale autorisée) n'est pas dénué de risques cardiovasculaires. Si vous souffrez d'hypertension ou d'une autre pathologie cardiovasculaire, il est prudent de limiter la dose d'AINS au minimum recommandé et la durée de traitement à deux à trois jours.
L'aspirine, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène…), et la cortisone sont les plus couramment utilisés. Ils diminuent la fièvre, le gonflement, la fatigue. Ils suffisent en cas de goutte ou de tendinite.
L'acétaminophène (Tylenol®, Tempra®) est l'antidouleur recommandé en premier lieu en cas d'arthrose. Ce médicament est fort efficace, surtout si l'arthrose est légère.
L'arthrose primitive peut être favorisée par certains facteurs, comme le vieillissement ou la surcharge mécanique de l'articulation (surpoids, anomalie architecturale de l'articulation) ; les anomalies du métabolisme (diabète, etc.) et peut-être une origine hormonale.
Certaines bactéries, à l'origine de maladies infectieuses libèrent des endotoxines qui sont à l'origine d'une fatigue musculaire supplémentaire. L'hépatite virale est un exemple de pathologie engendrant une fatigue particulièrement intense conduisant les personnes qui en sont atteintes à ne pas pouvoir se lever.
Une fièvre élevée, souvent supérieure à 39°C. Une altération marquée de l'état général : apathie, asthénie extrême, perte d'appétit, frissons, pâleur, douleurs diffuses, marbrures.
L'inflammation se produit lorsque les vaisseaux sanguins se dilatent pour laisser passer plus de sang vers les tissus lésés. C'est la raison pour laquelle la zone devient rouge et chaude.