Le traitement de référence pour le cancer de la plèvre est la chimiothérapie, c'est-à-dire l'usage de médicaments par voie orale ou par injection pour éliminer les cellules cancéreuses.
Le plus souvent, le symptôme révélateur est un épanchement pleural, un essoufflement, une toux persistante, une voix enrouée, une perte de poids inexpliquée, une perte d'appétit, une difficulté à avaler ou des vomissements, voire une douleur thoracique et une enflure du visage, cou, bras…
Le liquide peut s'accumuler dans l'espace pleural en conséquence de troubles très divers, y compris des infections, des tumeurs, des blessures, une insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique, la formation de caillots sanguins dans les vaisseaux sanguins des poumons (embolie pulmonaire.
la complication de la ponction pleurale la plus fréquente est le pneumothorax. Une radiographie de thorax de contrôle post ponction est pour cette raison souvent demandé
Le cancer de la plèvre a une origine bien déterminée : une exposition l'amiante. Il s'agit d'un cancer primitif touchant la membrane qui tapisse la cavité pulmonaire et les poumons eux-mêmes. De fortes douleurs thoraciques, dues à un épanchement pleural, et un essoufflement en sont les signaux d'alerte.
Le cancer primitif de la plèvre ou mésothéliome, est généralement consécutif à une exposition prolongée à l'amiante. Mais ce cancer peut survenir fort longtemps, jusqu'à 40 ans, après l'exposition.
Le cancer du poumon à petites cellules est le type le plus agressif de cancer du poumon. Dans de nombreux cas, il s'est déjà propagé à d'autres parties du corps au moment où il est diagnostiqué.
La plèvre est une membrane fine, constituée de deux feuillets, qui se situe au niveau des poumons. L'espace pleural situé entre ces deux feuillets contient une petite quantité de liquide appelé liquide pleural. La plèvre a pour fonction de protéger les poumons lors des mouvements respiratoires.
Stade 4. Le cancer s'est propagé à d'autres parties du corps (métastases à distance). On parle aussi de cancer du poumon non à petites cellules métastatique.
Une biopsie est indiquée pour diagnostiquer d'éventuelles maladies de la plèvre, fine couche composée de deux feuillets qui tapissent la surface du poumon et l'intérieur de la cavité thoracique.
Les pleurésies infectieuses sont souvent sérofibrineuses (présence d'un liquide non purulent dans la plèvre) ou purulentes. Le traitement comprend des séances de kinésithérapie respiratoire, un drainage pleural et des lavages en cas de pleurésie purulente, le traitement du germe responsable.
Il réalise l'anesthésie locale de la peau et de la paroi thoracique, introduit l'aiguille à biopsie dans l'espace pleural et prélève un petit fragment. On répète ce geste 3 à 5 fois. Ce geste est peu ou pas douloureux une fois l'anesthésie faite.
L'épanchement pleural (pleurésie cancéreuse) est une complication relativement fréquente des cancers : des nodules cancéreux implantés sur la surface séreuse de la plèvre entraînent une production excessive de liquide séreux.
Il touche davantage les hommes que les femmes (66 % d'hommes et 34 % de femmes). Son incidence est stable depuis 1980 chez l'homme mais en progression chez la femme du fait de l'augmentation du tabagisme féminin. Il peut atteindre des sujets jeunes (moins de 40 ans) car le tabac est parfois initié dès l'adolescence.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Un cancer du poumon fréquent
Les cancers du poumon stade III non opérables (où la totalité du cancer ne peut pas être enlevée par la chirurgie) représentent le tiers de tous les malades souffrant de cancer du poumon non à petites cellules.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Les problèmes de santé associés à l'amiante sont rares dans la population en général. Cependant, toute exposition à des fibres d'amiante dans l'air, notamment lors de travaux de rénovation, peut entraîner un risque de cancer ou de maladie pulmonaire chronique. Plus vous êtes exposé, plus ce risque augmente.
Habituellement la ponction se fait au bloc opératoire, en position assise, l'aiguille est introduite en arrière sous la pointe de l'omoplate. Elle n'est pas douloureuse. Le liquide ou l'air est aspiré à la seringue.
Pendant ou après une ponction du thorax, de l'air peut passer dans la plèvre (entre la paroi et le poumon), entraînant une douleur du dos et de l'épaule, et une gêne à la respiration.
Causes. Un épanchement pleural peut se former : en cas d'inflammation, qu'elle soit d'origine infectieuse (principalement bactérienne, rarement viral), néoplasie (de la plèvre ou du poumon) ou systémique : lupus, polyarthrite rhumatoïde…
une douleur localisée au niveau de la cage thoracique, allant d'une simple gêne à une douleur violente selon son importance, des difficultés à respirer (en particulier lors de l'inspiration) et une toux sèche.