Pourquoi réaliser un rapprochement bancaire ? Le rapprochement bancaire est une méthode qui vous permet de vérifier et fiabiliser la comptabilité de votre entreprise. Elle vous permet d'identifier toute incohérence entre les opérations bancaires et vos écritures comptables.
Les opérations étant souvent enregistrées à des dates différentes, des décalages peuvent apparaître. L'objectif d'un rapprochement bancaire est alors de s'assurer de la concordance entre la comptabilité de l'entreprise et le solde du compte en banque.
L'utilité d'établir un état de rapprochement réside dans le fait que déjà il est très courant de constater que les soldes (solde initiale ou solde final) des opérations (encaissement et décaissements) des comptes tenus par la banque et l'entreprise ne coïncident pas.
A quel moment faut-il réaliser le rapprochement ? Au moins une fois par an ! Cependant, il est aussi recommandé de faire un rapprochement bancaire plusieurs fois par an (2 à 3 fois). S'il devait y avoir des erreurs, les détecter sera ainsi plus facile.
Qui doit réaliser l'état de rapprochement bancaire ? La personne qui devra procéder au rapprochement bancaire en fin de mois (ou fin d'exercice comptable) dans une entreprise est celle qui s'occupe de l'établissement de ce document. Il s'agit du responsable de la comptabilité de l'entreprise.
Il convient donc d'effectuer périodiquement un rapprochement entre le résultat analytique et le résultat de la comptabilité générale afin d'éliminer tout risque d'erreur dans les calculs des coûts.
En comptabilité, les charges fixes représentent les charges qui restent stables malgré le niveau d'activité de l'entreprise. Les charges variables sont celles qui varient en fonction de l'activité de l'entreprise, comme le coût des matières premières par exemple.
Définition du seuil de rentabilité
Il s'agit donc du niveau d'activité qui permet, grâce à la marge réalisée (différence entre le niveau des ventes et les charges variables découlant implicitement du chiffre d'affaires) d'avoir les moyens de payer toutes les autres charges de l'exercice, c'est-à-dire les charges fixes.
La Courdes comptes et les chambres régionales des comptes
Elle juge les comptes des comptables publics et certifie la régularité, la sincérité et la fidélité des comptes de l'État et de -la Sécurité sociale. De plus, elle assiste le Parlement et le gouvernement en matière de contrôle.
L'ordonnateur n'a pas le droit de manipuler l'argent public, seul le comptable public peut le faire. Il appartient à ce dernier, sur l'ordre de l'ordonnateur, d'encaisser ou de décaisser l'argent public.
Le commissaire aux comptes formule un refus de certifier pour incertitudes lorsqu'il est dans l'impossibilité d'exprimer une opinion en raison de multiples incertitudes dont les incidences sur les comptes ne peuvent être clairement circonscrites.
S'il s'agit d'une comptabilité centralisée, la justification des comptes revient prioritairement au personnel comptable. Par contre, ce sont les métiers qui sont en charge de justifier les écritures comptables dès lors qu'ils ont la charge de les enregistrer.
Seuil de rentabilité = Charges fixes / Taux de marge sur coûts variables, soit le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour ne pas perdre d'argent. Le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour être rentable est de 80 000 euros. En savoir plus sur "Comment faire le business plan de reprise d'entreprise ?"
- Le ratio "capitaux propres/endettement total" traduit la solvabilité globale de votre entreprise, c'est-à-dire son aptitude à rembourser ses dettes. S'il est supérieur à 1, c'est excellent (mais rarissime parmi les entreprises françaises, connues pour le faible niveau général de leurs fonds propres).
Est considéré comme un bon ROI Marketing, un ratio de 5:1. Autrement dit : pour 1 euro investi, vous devez gagner 5 euros. Cependant, cet objectif dépend de votre entreprise, de votre secteur d'activité et de l'univers concurrentiel.
(1) La convention de l'entité ; (2) La convention de l'unité monétaire ; (3) La convention de l'indépendance ou séparation des exercices ; (4) La convention du coût historique ; (5) La convention de réalisation du revenu ; (6) La convention de rattachement des charges aux produits ; (7) La convention de l'objectivité ; ...