Résumer un texte est une activité à la fois utile et formatrice. Produire un résumé aide à mieux comprendre le texte, à mieux en retenir le contenu et à développer ses habiletés de lecture et d'écriture. C'est pourquoi ce genre d'écrits est couramment demandé en milieu scolaire.
Il constitue souvent une étape préalable à la réalisation d'un travail de plus grande envergure, notamment lorsqu'il faut lire un nombre important d'articles ou d'ouvrages et en faire la synthèse. Le résumé peut également servir à évaluer la compréhension d'un texte à l'étude dans un programme.
Le résumé sert à expliquer le titre de votre mémoire. Il permet à votre lecteur de décider si votre mémoire a un sujet assez intéressant pour qu'il continue sa lecture.
Votre résumé de texte doit être facile à lire et retranscrire l'essentiel de la pensée de l'auteur en donnant des informations exactes. Évidemment, vous devez respecter le nombre de mots demandés dans la consigne en ne mettant en valeur que l'essentiel : dix mots de trop peuvent vous faire perdre un point…
Le résumé de texte est une « réexpression », dans une forme brève et claire, de l'essentiel de la pensée de l'auteur. Cette définition implique le respect des deux points suivants qui sont essentiels : d'une part fidélité au texte de base, et d'autre part clarté et concision.
Le résumé a pour objectif de présenter les informations de la manière la plus simple et efficace possible. Ce style de rédaction simple et clair facilite la compréhension des informations qu'il expose.
Insérer des références bibliographiques, sauf lorsque les travaux d'un auteur sont l'objet de votre article (dans ce cas, indiquez entre parenthèses : auteur, titre revue, numéro, année).
L'essentiel doit se trouver dans la première phrase, celle-ci doit éveiller l'intérêt des lecteur·rice·s. Par exemple, il est possible de commencer par évoquer un personnage central avec la présence de mots-clés. Ces mots-clés donnent une indication aux lecteur·rice·s sur le genre du livre.
Soignez donc particulièrement le début de votre résumé, son accroche. La première ligne doit être percutante et donner envie de lire la suite. Les premiers mots doivent interpeller le lecteur, soit en le questionnant, soit en l'intriguant. Pour cela, oubliez les phrases à rallonge ou les phrases trop descriptives.
Il est constitué de mots clés, de formules, de schémas qui te permettent de faire des liens entre les différents éléments de ta matière sans devoir la réécrire totalement. N'utilise pas des phrases complètes mais juste des mots clés, des articles de liaison, de comparaison, d'opposition.
Il existe trois types de résumés les plus utilisés : descriptif, informatif et visuel. Les résumés descriptifs sont généralement utilisés pour les documents moins formels, tandis que les résumés informatifs et visuels sont plus utilisés dans les documents de recherche.
Elle doit amener le sujet, l'analyser et le problématiser. Elle peut en outre annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir et énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon).
La taille du texte est la principale différence entre le résumé et l'analyse. Un résumé est court et toujours rédigé de manière claire et brève. L'analyse est une version plus détaillée du texte, qui est toujours rédigé de manière plus longue.
L'objectivité est de rigueur. Points communs du compte rendu et du résumé : réduire/contracter le texte d'origine ; ● dégager les informations essentielles ; ● éliminer les informations secondaires ; ● reformuler avec ses propres mots/ne pas faire du « copier-coller » de phrases prises dans le texte d'origine.
La conclusion doit comporter trois étapes et remplir les fonctions suivantes : – récapituler : il faut, en quelques phrases, résumer la démonstration, en rappelant les différents axes du développement ; – donner son avis, en prenant clairement position par rapport à la question posée dans le sujet.
le passé simple (et l'imparfait) pour raconter les événements contemporains du moment qui sert de repère ; le passé antérieur et le plus-que-parfait pour raconter les événements qui se situent avant ce moment repère ; le futur du passé pour raconter les événements qui se situent après ce moment repère.
Stratégies pour faire un résumé
Lors de la première lecture, il faut : analyser le titre, les intertitres et les images afin de prédire le sujet du texte; lire le texte au complet en ayant en tête de trouver les idées principales; verbaliser ce dont on se souvient (à la fin de la lecture).
Faire un résumé, c'est réécrire un texte, en respectant le ton, le style et les idées de l'auteur, de manière plus condensée. Un résumé n'est ni une critique, ni une analyse du texte, pas plus qu'il n'est un mémento ou une fiche personnelle sur le texte.
À l'heure où de nombreux Français se disent submergés par le nombre d'informations à assimiler chaque jour, l'outil Resoomer apporte une solution efficace en proposant de résumer les textes pour n'en retenir que les idées principales.
Comment compter les mots ? La règle de base pour le résumé repose sur une définition visuelle : un mot est une unité typographique isolée par deux blancs. Exemple : Jean de La Fontaine = 4 mots ; Charles de Gaulle = 3 mots. Tous les « petits mots » (articles, conjonctions, pronoms) comptent pour un mot.
Il doit être placé après la préface ou les remerciements, mais surtout avant la table des matières.
Le résumé partage un objectif avec l'introduction : attiser la curiosité du lecteur tout en présentant avec justesse votre travail. Cela dit, le résumé de mémoire doit remplir cet objectif en un temps bien plus restreint d'à peine quelques lignes.