Quand la passion amoureuse détruit le couple
La passion nous transporte et devient une véritable drogue. Pas simple de continuer à faire l'amour avec celui ou celle qui pourtant nous rendait heureux. Il n'y a plus de désir, même plus l'envie de sortir avec lui, tous nos sens sont dirigés vers l'objet de notre passion.
La passion la plus fondamentale est selon lui l'admiration (l'étonnement). Selon Baruch Spinoza, une passion est une idée confuse, essentiellement imaginaire et souvent abstraite, par laquelle l'esprit affirme une augmentation ou une diminution de la force d'exister de son corps (Cf.
Il y définit la passion comme une inclination qui n'est maîtrisée qu'avec peine, si elle l'est, par la raison du sujet. Ainsi être soumis à une passion c'est toujours une maladie de l'âme puisque la maîtrise de la raison est exclue.
La cause qui est à l'origine des passions est liée à nos sens et notre émotivité, donc à notre corps. Une passion met en cause à la fois le corps et l'âme, d'où sa puissance et sa capacité à nous motiver pour l'action".
Il faut surtout combattre nos passions au nom de la liberté : en effet elles nous conduisent à capituler, à s'abandonner à leur mouvement. Leur développement ne saurait s'effectuer sans une sorte de viol de la raison, qui perd alors sa fonction législatrice.
L'amour passionnel projette le plus souvent un idéal amoureux qui dépersonnalise complètement le partenaire et soi-même. Il s'agit d'une sorte d'emprise qui peut faire souffrir rapidement lorsque la réalité se confond avec le fantasme. La déception est tellement immense, que la relation n'y survit pas.
Les passions primitives se réduisent à trois : le désir, la joie et la tristesse. Le désir est l'essence même de l'humain, en tant que, étant donnée une affection quelconque, elle est conclue comme déterminée à quelque action.
Rien de grand ne s'est accompli sans passion ni ne peut s'accomplir sans elle. C'est seulement une moralité inerte, voire trop souvent hypocrite, qui se déchaîne contre la forme de la passion comme telle.
La passion est notre principal moteur. C'est elle qui nous permet de nous surpasser et de nous investir à fond dans tous les projets que nous entreprenons. Nous passons la plus grande partie de notre vie à travailler, ou à nous y préparer.
L'homme apparaît donc comme soumis aux passions. L'homme passionné n'est pas libre. Il a des idées inadéquates puisque, parallèlement à son corps, son âme subit aussi l'action extérieure et voit son conatus entravé. Elle ne peut donc plus raisonner correctement.
La passion dure 3 à 6 mois. Une vibration qui s'éteint progressivement pour faire place à autre chose. Le conscientiser, accueillir cet état de fait est permettre de s'ouvrir à l'amour, à la vie du bon côté ! L'amour en tant que tel n'est viable que dans 15 à 20% des couples.
La personne « frappée » ressent les mêmes symptômes que les toxicomanes en raison d'une poussée de dopamine, une substance chimique qui sert de neurotransmetteur dans le cerveau. La victime perd l'appétit, devient hyperactive et a besoin de moins d'heures de sommeil.
Vivre de sa passion, c'est motivant
Cela nous permet donc d'être très productif dans nos différentes tâches. Et c'est finalement tout un cercle vertueux qui se met en place : la fierté que l'on ressent à chaque étape, à chaque accomplissement, nous pousse à vouloir avancer encore et encore dans notre entreprise.
Il en donne une image positive dans la mesure où la passion est nécessaire : elle permet à l'homme d'appréhender le réel (en cela, elle ne peut être inféodée à la raison), et elle motive l'action humaine. Rien ne peut s'accomplir sans passion.
Pour vaincre son amour maladif, l'idée générale est donc de gérer ses émotions au lieu d'être contrôlé par elles. Il s'agit de trouver son bonheur en soi sans le rechercher chez les autres !
Oublier un amour impossible paraît irréalisable et pourtant il vous faudra d'abord accepter cette idée pour y arriver. Bien qu'il s'agisse sans doute de l'étape la plus douloureuse, c'est aussi la plus importante. Accepter d'oublier une relation c'est accepter qu'il est temps d'aller de l'avant.
Dans ce contexte, les contraires de passion sont : haine , détestation , exécration .
C'est bien « moi » qui parle quand je dis je. Il serait étrange qu'il s'agisse de quelqu'un d'autre quand je dis « je ». Le « je » est en effet l'expression du « moi » , nous nous en servons pour nous référer à notre personnalité , à notre identité.
Pour le sens commun, une proposition ou une théorie est « vraie » lorsqu'elle est conforme au réel et qu'elle peut être attestée par l'observation ou par l'expérimentation.
Bonjour, Il n'y a aucune raison de la surestimer, il faut être conscient " d'être conscient" conscient qu'une erreur peut être possible pour une mauvaise interprêtation de ce qui a été vu, entendu, ressenti... la conscience est soumise à la pensée, à la vue, à l'audition, au ressenti.
Selon un psychologue américain, une relation amoureuse peut être altérée de 4 manières : les critiques, le manque de respect (sarcasme et injures), être sur la défensive et la résistance à l'autre (le silence, résultat des trois précédents).
Pensez-vous qu'il y ait, sentimentalement parlant, un point de non-retour. Ce moment ou vous vous apercevez que quoi qu'il se passe, quoi que l'autre fasse, même au mieux qu'une situation puisse évoluer, même si l'autre devenait "l'idéal attendu" vous ne pourrez plus jamais revenir en arrière.