Marqueur de la séparation entre les sexes, les femmes s'en servent pour s'émanciper dans les années 1960 en France, devenu aujourd'hui l'un des symboles de la lutte contre le sexisme aux quatre coins du monde. Jusqu'à l'excès.
Aujourd'hui, la plupart des femmes ont adopté le pantalon comme une base fiable et sécurisante de leur tenue. Porter une robe est donc une manière de s'affirmer, de se mettre en valeur et d'être pleinement féminine.
La jupe a existé bien avant l'invention, au XIe siècle, du mot arabe «djoubba» qui désigne une sorte de robe que le prophète a portée. Selon les régions, elle était revêtue par les hommes ou par les femmes. Mais cela fait maintenant des siècles qu'en France, elle symbolise le genre féminin.
La jupe et la robe ont de particulier qu'elles laissent voir une partie du corps souvent cachée, surtout chez les hommes. Les vêtements qui couvrent le haut du corps, explique l'historienne, sont toujours mieux acceptés dans leur version unisexe que ceux qui (dé)couvrent le bas.
Symbole de l'émancipation des femmes et de l'anticonformisme, la mini-jupe ne prend pas un faux pli. Popularisée par Brigitte Bardot, adorée par Meghan Markle et adulée par Brigitte Macron, voilà plus de cinquante ans que ce must have affiche fièrement les genoux et les cuisses des femmes.
La jupe grise se porte de façon classique : coupe droite et longue, avec chaussures à talon, chemise et blazer. Mais elle se prête aussi à une allure casual : coupe trapèze et courte, avec des baskets et un t-shirt. Et la jupe grise sait même se dévergonder, quand elle est moulante et fendue.
Créée par une styliste anglaise, elle est à l'origine d'une vraie révolution sexuelle, stylistique et commerciale. En 1965, le couturier André Courrèges présente en défilé une jupe courte qui fait sensation. Pourtant, c'est Mary Quant, jeune styliste du Swinging London qui en est à l'origine.
Dans les cultures « non-occidentales »
En dehors des cultures occidentales, les vêtements d'homme incluent des jupes et dérivés. Par exemple la dhoti ou le longhi en Inde, et le sarong en Asie du Sud et dans le sud-ouest asiatique, ainsi qu'au Sri Lanka.
Les hommes délaissent les robes pour une tenue deux-pièces. C'est une révolution vestimentaire profonde. À la Renaissance, malgré l'omniprésence du pourpoint, les robes ne sont pas effacées des gardes-robes masculines. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les bébés garçons et les vieillards portent le vêtement long.
Choisissez un style et des couleurs qui vont ensemble.
Le fait de porter des habits de couleur sombre au niveau de la taille et faire croire que l'on est mince et que l'on a une taille de guêpe. Optez pour des hauts en col V ou décolletés afin de lui donner un style plus féminin.
Vers l'an mil, à la fin du Haut Moyen Âge, les nobles abandonnèrent la tunique courte pour des vêtements plus longs. Les vêtements masculins et féminins étaient alors très similaires entre eux. Néanmoins, contrairement aux hommes, les jupes des femmes n'étaient pas censées découvrir les pieds de celles-ci.
C'est pour améliorer ses performances à vélo, qu'elle pratiquait assidument, et rivaliser avec les hommes, qu'une Nancéienne, Marie Marvingt, a inventé, dans les années 30, la célèbre jupe-culotte.
La jupe crayon trouve ses origines et devient un « classique » dans les années 1940, où l'interdiction de la ceinture en cuir, les restrictions de tissus durant la guerre raccourcissent et simplifient les jupes.
Être bien habiller, va vous permettre d'être plus sûr de vous à long terme et de prendre confiance en vos capacités. Ce qui va influencer vos décisions, vos relations, votre avenir professionnel et également la manière dont les gens vous traitent...
Lorsque vous essayez un top ou une robe l'indice à surveiller est la position de la couture à l'épaule. Si celle-ci épouse parfaitement votre épaule, vous êtes sur la bonne voie. Trop basse sur le bras : la pièce est trop grande. Remontant un peu trop vers le cou : vous aurez du mal à vous mouvoir correctement.
À l'image de ce siècle décisif en termes de bouleversements politiques, économiques et sociaux, la mode a accompagné l'émancipation sociale des femmes. Pour beaucoup, elle s'est même imposée comme un moyen de démontrer une volonté d'indépendance et de liberté. Un marqueur social. Un vecteur d'appartenance.
En 1800, période de retour à l'ordre après les troubles de la Révolution, une ordonnance de police de la préfecture de Paris interdit aux femmes de porter le vêtement masculin. En effet, le pantalon est d'une part un vêtement fermé, contrairement à la jupe qui souligne l'accessibilité du sexe féminin.
Mais historiquement, l'utilisation du pantalon a fait son apparition avec la domestication du cheval car il était plus simple d'être libre de ses jambes. Au Moyen-Age, les hommes portent des chausses avec des lacets. Puis les chausses vont être adaptées aux besoins.
La djellaba n'est pas très compliquée à mettre bien quel ne possède ni fermeture, ni ouverture sur le devant de la tenue. Il te suffit de la mettre en rentrant le bas de la djellaba a votre tête, puis ensuite de rentrer les bras dans les manches.
En effet, à l'heure actuelle, aucun texte n'impose le pantalon ni n'interdit de porter une jupe ou une robe à quiconque. Contrairement à cette loi qui était en vigueur de 1800 à 2013 (oui oui vous avez bien lu) et qui interdisait aux femmes de porter… un pantalon sans autorisation de la Préfecture de police.
la rédaction de Futura
Si le kilt est aujourd'hui l'image d'Épinal des nations celtes, et avant tout de l'Écosse, son histoire prend sa source dans le froid des pays scandinaves. Le mot vient d'ailleurs du danois normàn, désignant la jupe courte que portaient notamment les Vikings.
Pour les hommes, le port de la jupe devrait être une alternative au port du pantalon. D'autant plus qu'elle est parfaitement adaptée à la morphologie masculine laissant de la place à l'entrejambe. En occident la seule jupe couramment portée par les hommes est le kilt.
Mais le succès est tel chez les adolescentes et les jeunes femmes que la scène artistique s'approprie très rapidement le phénomène. Ainsi, le couturier André Courrèges contribue à populariser la mini-jupe dans le monde entier en lui dédiant sa collection Printemps-Été 1965.
Les jupes à privilégier quand on a du ventre :
En règle générale, pour vos jupes, privilégiez les tailles hautes qui gainent le ventre, les matières fluides, les couleurs sombres, les coupes trapèze ou droites en fonction de votre morphologie et les fermetures sur le côté.
Considérée il y a peu comme ringarde, réservée aux ensembles tailleurs et à certaines professions, elle revient de loin ! Mais opter pour la longueur genoux peut être un vrai positionnement mode ! Dans son sillage, la jupe longue, qui tombe au niveau des chevilles, voire des pieds, s'est aussi fait une place.