Il doit en partie sa couleur à la souche de volaille à laquelle il appartient (la race) mais aussi et surtout à son alimentation, riche en maïs. Sa chair devient en effet d'une belle couleur jaune, presque dorée, en raison des caroténoïdes que contient de dernier.
La chair jaune de ce poulet est définie en partie par son alimentation au maïs de nos éleveurs. Le poulet jaune aura tendance à contenir plus de graisses que les autres poulets blancs ou noirs. Sa chair, lorsqu'elle est cuite lentement, a un rendu moins doré et offre à vos plats une saveur délicate et intense.
Le poulet jaune, avec sa chair souvent plus grasse due à son régime riche en maïs, offre une saveur intense. Il contient également des caroténoïdes provenant du maïs, qui sont bénéfiques pour la santé. Le poulet blanc, en revanche, a une chair moins grasse, mais demeure une excellente source de protéines maigres.
Une idée reçue laisse à penser, que le poulet jaune est de meilleure qualité que le poulet blanc. Et bien cette idée est fausse ! La couleur du poulet est principalement définie par son alimentation (et sa race aussi).
Commencez d'abord par regarder la couleur de la viande. Si cette dernière tourne au grisâtre, c'est que le poulet n'est plus de première jeunesse. Parallèlement, si vous remarquez des traces de moisissure ou tout aspect disgracieux sur votre poulet cuit, on vous conseille d'éviter de le consommer.
La couleur jaune des poulets fermiers jaunes provient de la souche différente de volaille. Elle est également accentuée par une alimentation adaptée enrichie en maïs.
Une viande périmée peut contenir différentes bactéries très dangereuses comme les staphylocoques, le E. coli, la listéria, ou encore les salmonelles.
Les gages de qualité sont les labels (rouge, AOC ou certifié biologique). Autant de signes que la volaille a été élevée en plein air et pas en batterie. Enfin, sachez que c'est une viande peu calorique (à l'exception de la peau). Consommez-la toujours bien cuite pour éviter tout risque de bactéries.
Pour le poulet entier, comme le poulet fermier Label Rouge élevé en plein air, les mentions « fermier » et « élevé en plein air » indiquées sur l'étiquette, garantissent un mode d'élevage valorisant le bien être animal et le respect de l'environnement.
Un bon poulet doit d'abord peser plus d'un kilo, sinon cela signifie que la volaille a été mal nourrie ou abattue trop tôt. Le poulet doit aussi avoir des os solides, signe qu'il a pu s'épanouir à l'extérieur. Surveillez également la qualité de la chair du poulet, signe d'une bonne nutrition de l'animal.
Sa recette originelle nécessite ainsi le riz bomba de la région, auquel on ajoute du poulet, du lapin, des haricots verts, des petits pois et du safran. C'est ce dernier qui donne au riz sa reconnaissable couleur jaune.
Pour bien choisir votre poulet, optez pour le bio ou le Label rouge fermier (élevage en 81 jours) plutôt que pour un poulet standard (40 jours), ou « certifié » (56 jours)… Sans être chauvins, recommandons les volailles élevées et abattues en France où les normes sanitaires sont généralement correctement respectées.
[2] Une volaille de classe A est dotée d'une bonne proportion graisse / muscle et correctement plumée, sans déchirure de la peau ni hématome. Si ces conditions ne sont pas remplies, le produit est classé B. [3] L'établissement a fait l'objet d'une transmission d'un dossier contentieux.
La différence entre un poulet "classique ou industriel" et un poulet fermier ne tient pas seulement à l'intitulé du texte. Un poulet fermier est élevé en respectant certaines normes qui garantissent une nutrition avec des céréales qui bannissent l'utilisation de pesticides, d'antibiotiques et d'OGM.
Pour s'y retrouver dans les labels
En attendant, si on veut opter pour un poulet élevé dans de bonnes conditions, on peut se fier à deux labels : le Label rouge et le bio. Lidl, justement, tout comme Carrefour, propose du « poulet fermier bio » sous sa marque « L'étal du volailler ».
Le poulet de Bresse, de loin le meilleur poulet du monde, est élevé à Bourg-en-Bresse selon une méthode d'élevage traditionnelle et une alimentation identique depuis des décennies, nourri aux céréales de Bresse.
Sachez premièrement qu'un poulet à chair blanche n'est pas signe de mauvaise qualité ou d'élevage en batterie. Le poulet jaune cru est plus gras que le poulet blanc. Cependant, une fois cuit, c'est l'inverse : le poulet jaune contient un peu moins de graisse que le poulet blanc.
Des traits blancs, une chair plus dure par endroit ou une viande qui s'effiloche façon spaghettis : autant de signes qui indiquent un filet de poulet de mauvaise qualité. La faute à l'élevage industriel.
Le filet de poulet, c'est ce que l'on appelle communément le blanc, ces morceaux sont prélevés sur la poitrine de l'animal. Le suprême de poulet est une recette de filets de poulet auxquels on a enlevé la peau et que l'on accompagne d'une sauce faite de crème fraîche, vin blanc et champignons.
Le sot-l'y-laisse (\so. li. lɛs\) est une pièce de viande de volaille, et plus particulièrement du poulet, réputée pour son goût et sa tendreté.
le logo « Volaille Française », garantie de choisir une volaille 100 % française, des signes officiels de qualité et d'origine (SIQO), comme le Label Rouge, le Bio (AB), l'AOC – AOP (Appellation d'Origine Protégée-Contrôlée) ou l'IGP (Indication d'Origine Protégée)
Pour résumer, pour un bon poulet rôti, on préfèrera une volaille fermière, élevée en plein air, nourrie sans OGM et labellisée ou bio.
Il est fortement déconseillé de manger de la viande périmée.
Et si vous avez un doute même avant sa DLC, pensez à vérifiez l'odeur, la texture et la couleur de la viande avant de vous aventurer dans une quelconque recette.
L'odeur du poulet
Si vous avez un doute sur sa fraîcheur, sentez le morceau. Une odeur un peu forte, même si sa couleur vous semble bonne, doit vous inciter à la plus grande prudence. Mieux vaut ne pas la consommer en cas de doute.
Les salmonelles (bactéries Salmonella) sont couramment présentes dans la volaille crue ou sous-cuite comme la dinde ou le poulet. Les bactéries sont le plus souvent transmises aux personnes qui manipulent, mangent ou font cuire incorrectement des aliments contaminés.