Les cris, les insultes et les menaces sont en effet considérés comme une forme de violence verbale et psychologique qui a un effet négatif sur le sentiment de sécurité que l'enfant peut ressentir en présence de ses parents.
Quand vous vous retrouvez dans cette situation, le mieux que vous puissiez faire est essayer de rester calme, de sourire à votre enfant et de baisser le volume de votre voix. Cela servira d'exemple à l'enfant et, si vous lui parlez tout bas, il se peut qu'il cesse de crier pour pouvoir vous écouter.
"Hausser la voix ça peut arriver, - ça m'est arrivé - mais si ça se répète cela peut avoir des conséquences. Hausser la voix ou hurler auprès d'un enfant qui a 6 mois, 1 an ou deux ans cela a des incidences. Ça le sidère, ça lui fait peur et interrompt son développement", a expliqué le Dr Lazimi.
On ne peut dès lors simplement parler d'enfants « mal élevés ». Ce dont il s'agit plutôt, c'est d'enfants qui épousent la cause de parents qui, pour des raisons singulières, sont en rébellion contre le reste du monde, et en conséquence contre ses codes de civilité et de courtoisie.
Parler avec tendresse et empathie, cela baisse le niveau de stress du parent et de l'enfant. Puis enchainer, en pratiquant l'écoute, avec un petit peu d'explication. Se dire que c'est un mauvais moment à passer et que l'enfant va forcément finir par se calmer afin de pouvoir en reparler avec lui tranquillement.
Je répète souvent aux parents qui me consultent : les cris sont souvent générés par excès de stress. Ils expriment un besoin d'être entendu pour stopper le processus. On crie parce qu'on vit une situation d'urgence qu'on a du mal à gérer.
Parlez à la personne qui vous a crié dessus.
Occupez-vous du problème, et excusez-vous si vous avez fait quelque chose de mal. Dites-lui ensuite ce que vous avez ressenti lorsqu'elle vous a crié dessus et demandez-lui poliment de vous parler plus calmement à l'avenir X Source de recherche .
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
Nous avons des émotions bloquées et les voir chez nos enfants nous exaspère/frustre. Nous nous interdisons d'exprimer nos émotions et ne supportons donc pas celles de nos enfants. Nous ressentons une émotion à la place d'une autre : la colère se déclenche pour cacher une ancienne tristesse par exemple.
Quand on est stressé, épuisé, les émotions au bord des lèvres, bref, à bout, on a forcément du mal à être disponible… Donc, si l'on ne se sent pas bien soi-même, il est difficile d'être bien avec ses enfants. Prendre soin de soi peut paraître être un luxe, mais j'ose dire que c'est une nécessité !
Le tout-petit désobéit aussi parfois parce qu'il veut vérifier si sa conduite est celle qui est attendue. Il peut aussi désobéir pour voir s'il est vraiment surveillé. De plus, le tout-petit a besoin de s'affirmer pour faire sa place et être autonome. Il s'agit d'ailleurs d'une étape normale de son développement.
Ce débordement émotionnel que l'on nomme burn-out ressemble beaucoup à de la dépression. Le cerveau est saturé et en état de stress majeur et cela peut entraîner des comportements dangereux pour soi ou pour l'enfant, ou un désintérêt face à sa situation familiale. Ce n'est pas un épiphénomène.
des vertiges, des maux de tête ou des palpitations liées à l'anxiété des tensions musculaires, voire des douleurs dorsales. des troubles alimentaires liés au stress (perte de poids importante, anorexie, boulimie, etc.) des douleurs gastriques (ulcères à l'estomac, troubles digestifs, etc)
Il est fréquent qu'un enfant rejette sa mère parce qu'il pense qu'elle préfère son frère ou sa sœur, en raison de situations répétées dans lesquelles la mère félicitait davantage l'autre, donnait des cadeaux à l'un et pas l'autre ou ne faisait pas attention à son enfant.
Définition de pleureur
nom vieilli (Personne) qui pleure facilement. Enfant pleureur. Par extension Air, ton pleureur. ➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
La colère est un signal d'alarme qui traduit une insatisfaction. Son utilité première est de nous aider à nous faire respecter. Elle est souvent accompagnée de réactions physiques soudaines : augmentation du rythme cardiaque, tension musculaire. On est prêt à se défendre, à défendre les nôtres et notre territoire.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Détournez l'attention de vous.
Plutôt que de l'écouter, regardez le désespoir et la frustration qu'il subit en ce moment. Souvenez-vous que vous ne validez pas les actes de cette personne. Vous sympathisez avec lui afin de voir les parties de sa vie dont vous pouvez prendre pitié lorsque le moment de réagir viendra.
Une faible estime de soi
Ce qui fonde l'autorité, c'est le sentiment de sa propre légitimité : savoir que l'on est en droit d'exprimer son désir, de demander, et parfois d'imposer. Lorsque cette représentation est claire, l'autorité en découle assez naturellement.