Exposition à des contenus pour adultes. Instagram n'a pas été conçu pour les enfants. L'exposition aux contenus pour adultes est un danger de cette plateforme. En effet, elle regorge de pornographie, de drogues, de sujets sombres…
Dépression et anxiété
Passer trop de temps sur ces applications pourrait fortement nuire à votre humeur. En effet, les utilisateurs chroniques des réseaux sociaux sont plus susceptibles de signaler une mauvaise santé mentale, y compris des symptômes d'anxiété et de dépression.
De nombreuses recherches l'attestent : plus les ados vont sur Instagram, plus leur bien-être général, leur confiance en soi, leur satisfaction à l'égard de la vie, leur humeur et l'image qu'ils ont de leur corps se dégradent.
Comme principal inconvénient de ce réseau, et comme c'est le cas pour les autres réseaux sociaux, Instagram a la faculté d'amplifier les effets provenant d'une publication ou d'un commentaire. Et plus encore, cette ampleur est redoublée lorsque ce sont des photos qui sont à l'appui.
Suivre les actualités (78%), parler avec leurs amis (72%), se détendre (61%) ou avoir des nouvelles de leurs contacts (52%) sont les principales raisons pour lesquels les jeunes utilisent les réseaux sociaux en 2019.
ENQUÊTE - Un rapport interne réalisé par Facebook reconnaît que des problèmes de santé mentale sont amplifiés par le réseau social. Témoignages. Héloïse a commencé à surveiller son poids à l'automne 2020.
Instagram est un média très utilisé par les jeunes, 74% des utilisateurs ayant entre 18 et 34 ans. Bien exploité, Instagram peut donc être un excellent levier de communication institutionnelle et promotionnelle pour les entreprises, et notamment pour celles dont l'offre s'adresse à une population jeune.
A travers la publication d'images d'elles-mêmes jolies et avantageuses, souvent retouchées par des filtres, elles cherchent à attirer le regard pour être rassurées sur leur propre apparence. »
Les réseaux sociaux peuvent provoquer une addiction. Un usage excessif peut mener à des taux d'anxiété et de dépression plus élevés, et à des troubles du sommeil, ainsi qu'à des problèmes d'estime de soi, voire à l'isolement social.
crée de l'anxiété et même de la dépression chez certains et surtout chez les jeunes. C'est inquiétant lorsque l'on considère à quel point l'image de soi et de sa vie que les gens se créent sur les réseaux sociaux est « plus que parfaite » et reflète rarement la réalité.
02/ La productivité quotidienne peut diminuer. En étant constamment branché sur ses réseaux sociaux, on développe la peur de manquer quelque chose. Ainsi, on peut être facilement porté à regarder son téléphone au travail, à l'école… pouvant de ce fait réduire son efficacité et sa productivité.
« Une photo perd de son impact au bout de six mois. Elle ne va plus créer la surprise, vos contacts ne la regarderont plus. Sur la Toile, il faut toujours apporter du mouvement et mettre ses données à jour. Notre photo doit évoluer tout comme notre carrière professionnelle » explique encore Murielle Edin.
Vous y perdez trop de temps… Ce n'est pas anodin si de nombreuses entreprises bloquent l'accès à Facebook ! En effet, le réseau social vous fait perdre beaucoup de productivité, car il est très chronophage : certaines personnes le consultent plus d'une dizaine de fois par jour.
Facebook est un réseau social où chaque inscrit possède une page personnelle, qui parle de lui-même, et de façon parfois très personnelle. Pourquoi ce besoin d'exposition ? La particularité de Facebook, c'est que les internautes divulguent leur véritable identité, voire leur ville et leur parcours scolaire.
Le compte français le plus suivi est Kylian Mbappé avec 47,6 millions d'abonnés, suivi par : Paul Pogba : 43,1 millions. Karim Benzema : 37,2 millions.
Cristiano Ronaldo, qui ne manque pas une occasion de se dévoiler pour ses aficionados, est la première personnalité du "top" avec 374 millions de followers, derrière le compte officiel "Instagram", suivi par près de 447 millions d'inscrits sur la plateforme.
Via Facebook. Instagram est donc plus efficace pour tout ce qui cible les influenceurs et vise à exposer une marque gratuitement. Les utilisateurs d'Instagram se connectent plus souvent pour rechercher activement une recommandation produit, contrairement à Facebook où ils les ignorent activement…
Ils veulent avoir l'impression de contribuer à la conversation. Les jeunes sont également plus susceptibles de choisir des plateformes qui leur permettent de contrôler leur vie privée. Ils ne veulent pas tout partager avec le monde entier.
Facebook propose également des stories, mais, contrairement à Instagram, il n'est pas possible de créer une mise en avant ou une section “En vedette” où les stories peuvent vivre en permanence. Cela signifie donc qu'après 24 heures, votre story disparaîtra de votre profil Facebook.
J'ai toujours eu de la difficulté à accepter l'autorité et, ici, tirer la langue à un photographe qui s'attend sûrement à une pose plus solennelle, cela signifie que l'on refuse de se prêter au jeu de la représentation, que l'on se refuse à livrer une image de soi conforme aux règles du genre. »
POURQUOI CE DÉSIR DE S'EXPOSER SUR LES RESEAUX SOCIAUX
Des expériences nous démontrent que la mise en scène de soi sur les réseaux sociaux résulte de l'amour pour sa propre image. Les classes moyennes cherchent en permanence à se rapprocher des classes supérieures, en imitant leurs mœurs.
Le succès du selfie s'explique premièrement par l'aspect narcissique que revêt ce phénomène. Le selfie permet de contrôler l'image qu'on souhaite donner de soi-même. On réalise généralement une image flatteuse de soi-même, on s'embellit au détriment de la réalité pour avoir une meilleure estime de soi.
Il est tout à fait possible de vivre sans réseaux sociaux en 2019, mais cela demande de l'organisation et le renoncement à certaines opportunités. Cette expérience me permet de les aborder différemment. De les utiliser à ma manière.