D'après Rachi, dans cet épisode, il est écrit que Dieu demanda à Abraham le sacrifice de son fils « unique » en parlant d'Isaac parce qu'il est vraiment le premier-né de sa femme Sarah, alors qu'Ismaël n'est autre que le fils d'Agar, la servante égyptienne de Sarah.
Il prouve qu'il est disposé à laisser Dieu prévaloir dans sa vie. En retour, Dieu change le nom de Jacob en Israël, ce qui signifie 'laisse Dieu prévaloir'. Dieu promet ensuite à Israël que toutes les bénédictions qui ont été prononcées sur la tête d'Abraham sont également siennes » (Russell M.
En Genèse 22, Dieu tente Abraham en lui demandant de tuer son propre fils..: Isaac. On explique généralement ce texte en disant que Dieu voulait savoir si la foi d'Abraham était assez grande. Abraham a prouvé qu'il était prêt à obéir à Dieu, même au prix de ce qu'il avait de plus cher.
Pour Maïmonide ( XII e siècle), la volonté d'Abraham de sacrifier son fils démontre la limite de la capacité humaine à aimer son prochain et craindre Dieu tout à la fois.
Signification : Le prénom Isaac est un dérivé du prénom hébraïque Yitsh'aq. Ce dernier s'inspire du terme tsahaq qui signifie "rire". Histoire : Dans la Genèse, Isaac est le fils d'Abraham et le père de Jacob.
C'est un personnage de la Bible (dans le livre de la Genèse) et il est également mentionné dans le Coran. Isaac est le fils d'Abraham et de Sarah, le mari de Rébecca, le père de Jacob et d'Ésaü, et le demi-frère d'Ismaël.
Suivant les uns ce fut Ismaël qu'Abraham offrit en sacrifice, et suivant les autres ce fut Isaac.
Treize ans après, Abram a 99 ans, Dieu apparaît et lui propose à nouveau une alliance. Il le nomme Abraham, car il lui promet de nombreux descendants parmi lesquels des rois qui régneront sur le pays de Canaan.
Pour caractériser le sacrifice proprement dit, la Bible emploie, plus précisément, deux termes, qui sont complémentaires. Le premier, le plus fréquent, est zèbach, un dérivé du verbe zabach, sacrifier, dont provient également mizbéach, autel.
Le récit des origines, c'est celui de l'Alliance entre un Dieu unique et « son » peuple. D'Abraham, le patriarche, à Moïse, l'homme de la Loi, la Bible retrace les étapes de la naissance de Dieu.
Ismaël (en hébreu : ישׁמעאל, Išma`e'l : « Dieu a entendu [ma demande] » ; en arabe : إسماعيل, Ismāʿīl) est un personnage de la Genèse et du Coran. Il est le premier fils d'Abraham dont la femme (et nièce) Sarah était stérile, et il est le demi-frère d'Isaac.
Le salut et la vie éternelle. Le Seigneur a promis à Abraham que, par ses descendants, « toutes les familles de la terre seront bénies des bénédictions de l'Évangile, lesquelles sont les bénédictions du salut, de la vie éternelle » (Abraham 2:11).
Comme la Terre était léguée à Noé, le pays de Canaan est promis à Abraham, descendant de Sem qui est un fils de Noé, et à sa descendance ; le signe de l'Alliance est alors la circoncision. L'alliance se transmet par le fils d'Abraham, Isaac, puis par le fils de celui-ci, Jacob, qui prit le nom d'Israël.
C'est parce que l'ange a voulu partir que Jacob a pu recevoir la bénédiction, ce qui peut nous enseigner que la recherche est source de bénédiction, certes, mais cette bénédiction n'est effectivement reçue qu'au seuil de l'action.
L'ange, dira la tradition, est celui qui acceptera de reconnaître les bénédictions que Jacob avait reçu de son père. Le texte dit que Jacob s'appellera Israël car « il a lutté contre Dieu ». Mais dans une autre version, il est celui qui s'est simplement contenté de lutter contre l'homme.
Nous devons donner de bon cœur
Il est important de donner de bon cœur. « Quand quelqu'un paye la dîme sans plaisir, il est privé d'une partie de la bénédiction. Il doit apprendre à donner de plein gré, de bon cœur et avec joie. Alors son don sera béni » (Stephen L.
Contrairement aux sacrifices offerts aux dieux olympiens, les holocaustes sont réalisés de nuit, sans vin avec des bêtes noires, offertes tête en bas sur un autel peu élevé.
La dîme et les offrandes que nous faisons à l'Eglise servent à l'œuvre du Seigneur. Les dirigeants l'utilisent de la manière désignée par le Seigneur. Ces dons contribuent à ramener nos frères et sœurs auprès de notre Père céleste.
« Et il appela son nom Jésus ».
Ainsi se concrétise l'acte par lequel Joseph enracine Jésus dans la descendance d'Abraham et de David. ) de la Promesse.
Bien que tourmenté, Abram (signifiant "père élève" en hébreu) accepta. Dieu empêcha au dernier moment Abram d'immoler son fils. Dès lors, il lui donna le nom d'Abraham : "père des peuples" (ou des nations). Abraham est alors considéré comme le gardien de la foi et de la vérité.
La promesse faite à Abraham d'avoir un jour non seulement un fils, mais aussi une descendance innombrable et une terre, est confirmée au chapitre 15.
Ce sacrifice est lié au rite du pèlerinage à La Mecque mais le Coran stipule que les pèlerins peuvent le substituer par un jeûne. Pour ceux qui n'effectuent pas le pèlerinage, le sacrifice d'un mouton n'a jamais été interprété comme une obligation canonique chez les premiers musulmans, bien au contraire.
Ibrahîm (arabe : إبراهيم) est un personnage du Coran. Dans l'islam, il correspond au personnage d'Abraham de la Genèse. Il porte le surnom de Hanif, et est communément appelé Khalil Allah (l'ami intime de Dieu) et Sayyidina Ibrahim (notre père/maître Ibrahim).
En souvenir de cette dévotion d'Ibrahim à son Dieu, les familles musulmanes sacrifient un animal (le mouton qui a six mois ou la chèvre qui a deux ans ou le bovin qui a deux ans et qui est entré dans la troisième année lunaire ou le chameau qui a complété cinq ans) selon les règles en vigueur.