Carte israélienne de 1988 de la ceinture occupée au Sud-Liban. En 1982, Israël a envahi le Liban en réponse à une série d'attaques menées depuis le territoire libanais par des militants palestiniens, déclenchant la guerre du Liban de 1982.
La raison invoquée était de riposter à la mort de soldats de l'armée israélienne dans la "zone de sécurité", qu'Israël avait créée en 1985 au Sud-Liban pour protéger ses frontières nord à la fois du Hezbollah et du Front populaire pour la libération de la Palestine - Commandement général.
Première guerre israélo-arabe ou guerre d'indépendance : 1948-1949. Son origine provient du refus opposé par la Ligue arabe de reconnaître le partage de la Palestine décidé par l'ONU en novembre 1947 à la suite de la décision de la Grande-Bretagne de renoncer à son mandat datant de 1919.
Le 13 avril 1975, des fedayins tentent d'assassiner Pierre Gemayel, chef du parti des Kataëb. Le même jour, à Beyrouth, un commando de Kataëb tire sur un bus de militants palestiniens, faisant 27 morts. C'est le début officiel de la guerre au Liban.
Le 14 septembre 1982, trois semaines après son élection, le président Béchir Gemayel est assassiné par des opposants. Israël rompt alors le cessez-le-feu obtenu par les États-Unis et étend l'occupation de Beyrouth.
Parfois considérée comme la « tendre mère » du Liban, la France a conservé une partie de son rôle de protectrice. Une protection à la fois diplomatique et militaire. Depuis 1982, l'armée française y est présente sous l'égide des Nations unies au sein d'une force de maintien de la paix.
En 1948, lors de la guerre israélo-arabe de 1948 à la suite de la naissance de l'État d'Israël, environ 140 000 Palestiniens se sont réfugiés au Liban. Une grande majorité des réfugiés est logée dans des camps de l'ONU. Cette population, musulmane à 80 %, s'installe au Liban, et est l'objet de tensions.
En effet, officiellement, l'État hébreu est le seul ennemi du Liban et contre qui le Hezbollah monopolise d'ailleurs la résistance. Néanmoins, cette fois-ci, le parti libanais ne fait pas face à cet unique ennemi déclaré, mais se bat dans un pays « frère » et contre des confrères musulmans notamment.
-Les droits de l'homme ne sont pas respectés au Liban. -Les causes: pas de pouvoir politique recherchant à améliorer le sort des citoyens libanais, pas de surveillance de la part du gouvernement et même absence de gouvernement, la loi du plus fort est toujours la meilleure, non-respect et non- application des lois.
Les Juifs souhaitent protéger des territoires afin d'y établir leur État, et les Arabes veulent instaurer un État palestinien. Plusieurs trêves permettent aux parties de se réarmer. Israël reçoit notamment des armes de la part de l'Union soviétique, par le biais de la Tchécoslovaquie.
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Originaires d'Égypte, les Cananéens occupèrent la Palestine et l'actuel Liban au IIIe millénaire avant notre ère.
De mars à décembre 1989, Michel Aoun, soutenu par l'Iraq et par de nombreux chrétiens, lance contre la présence armée syrienne une guerre de libération nationale. L'armée libanaise se scinde en deux et achève de détruire Beyrouth en d'incessants bombardements.
Les États-Unis sont le plus grand fournisseur d'armement à Israël. Selon l'U.S. Congressional Research Service, entre 1998 et 2005, les États-Unis ont fourni la quasi-totalité de l'approvisionnement de l'État juif pour des contrats portant sur plus de 9,5 milliards de dollars.
Les musulmans du Liban représentent plus de la moitié de la population du pays. C'est le pays du Proche et Moyen-Orient où ils constituent la proportion la moins importante après l'État d'Israël. Les musulmans représenteraient 54 % de la population totale du Liban, où 40,5 % sont chrétiens et 5,5 % druzes.
Depuis le début de la crise économique sans précédent déclenchée en 2019, la livre libanaise a perdu plus de 95 % de sa valeur par rapport au billet vert. Les épargnants n'ont plus accès à leurs économies bloquées dans des banques, qui ont restreint les retraits et transferts d'argent.
La Fondation de France s'est rapidement mobilisée pour identifier les besoins sur place et soutenir, dès la mi-août 2020, des actions d'urgence et de post-urgence dans la capitale libanaise.
La part réservataire est de 50% de la totalité des biens de la succession pour les descendants qui la partagent à égalité, de 30% pour le conjoint resté en vie et de 30% pour les parents à égalité ou pour celui d'entre eux qui est encore vivant.
Le Liban est en proie depuis 2019 à une crise économique et sociale inédite qui a poussé plus de 80 % de la population sous le seuil de pauvreté.
Une inflation de 190 %
L'inflation annuelle a atteint en février près de 190 % et dépasse les trois chiffres depuis 2020. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 261 %. Parmi les causes de cette flambée des prix, la dépréciation de la livre de plus de 98 % par rapport au dollar sur le marché noir.
Présente depuis 1978 au Liban, la France est l'un des principaux pays contributeurs de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL). Elle déploie près de 700 soldats au Liban dans le cadre de l'opération DAMAN, nom de la participation française à la force internationale.
Marocains en Israël
La communauté juive au Maroc est issue d'une présence historique longue. Le gouvernement marocain a toujours accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États.
En 2018, PCBS dénombre plus de 13 millions de Palestiniens vivant dans le monde. La majorité des 5,85 millions vivent dans les pays arabes. L'autorité palestinienne évalue le nombre de Palestiniens à 4,91 millions dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, et à plus de 1,5 million en Israël.
Israël a bombardé un village dans le sud du Liban après que des explosions aient été entendues dans la zone frontalière contestée.